Babel éditeur Broché 1993 In-12, (12x15 cm), format à l'italienne, livret non paginé accompagné d'un carton et d'une enveloppe vierges ; le tout en bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
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( Bibliographie - Bibliophilie ) - Alain Gourdon dit Aslan - Collectif.
Reference : 30922
Bulletin des Amis du Roman Populaire / Revue Le Rocambole n° 16 de 2001. In-8 broché de 176 pages au format 14 x 20 cm. Couverture illustrée. Illustrations. Bibliographie du Roman Populaire Français à l'étranger. Dossier sur l'illustrateur Alain Gourdon dit Aslan. Livre en état superbe, proche du neuf. Edition originale.
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(Paris), Imprimerie des 86 départements, s.d. (1794). In-8 de 23 pp.
Tirage différent de l'édition originale. Rapport du 13 mars 1794 dénonçant la conspiration de Batz, dite de "l'étranger" prélude à la la loi du 22 prairial an II (10 juin 1794), dite loi de Prairial, qui ouvrit la Grande Terreur : « Si quelqu'un courait dans Paris, criant il faut un roi, il serait arrêté et périrait sur l'heure ; si quelqu'un dans une société populaire, osait dire rétablissons la tyrannie, il serait immolé. Que doivent donc faire ceux qui n'osent point parler ainsi ? Ils doivent dissimuler ». Ami de Chabot, le baron Jean-Pierre de Batz avait eu grâce à lui des informations de première main sur les activités du Comité de sûreté générale et compromit Delaunay d'Angers, Julien de Toulouse et d'autres conventionnels dans des spéculations sur les fonds publics, notamment sur les actions de la Compagnie des Indes. Il disparaît à temps tandis que ses amis sont arrêtés et guillotinés. Robespierre en fait une des têtes de la conspiration contre-révolutionnaire et mit sa tête à prix.Tourneux 4229 a ; Martin et Walter 30717.
(Paris), Imprimerie Nationale des Rédateurs-Traducteurs des Séances de la Convention Nationale, s.d. (1794). In-8 de 32 pp.
Tirage différent de l'édition originale. Rapport du 13 mars 1794 dénonçant la conspiration de Batz, dite de "l'étranger" prélude à la la loi du 22 prairial an II (10 juin 1794), dite loi de Prairial, qui ouvrit la Grande Terreur : « Si quelqu'un courait dans Paris, criant il faut un roi, il serait arrêté et périrait sur l'heure ; si quelqu'un dans une société populaire, osait dire rétablissons la tyrannie, il serait immolé. Que doivent donc faire ceux qui n'osent point parler ainsi ? Ils doivent dissimuler ». Ami de Chabot, le baron Jean-Pierre de Batz avait eu grâce à lui des informations de première main sur les activités du Comité de sûreté générale et compromit Delaunay d'Angers, Julien de Toulouse et d'autres conventionnels dans des spéculations sur les fonds publics, notamment sur les actions de la Compagnie des Indes. Il disparaît à temps tandis que ses amis sont arrêtés et guillotinés. Robespierre en fait une des têtes de la conspiration contre-révolutionnaire et mit sa tête à prix.Inconnu à Tourneux. Martin et Walter, 30717.
A Lyon, de l'Imprimerie du Roi, 1777. In-4 broché de 3 pp.
Publications de la Sorbonne, 2000, gr. in-8°, 308 pp, une carte, broché, couv. illustrée, bon état (XXXe congrès de la Société des historiens médiévistes de l'Enseignement supérieur public, Göttingen, juin 1999)
Au Moyen Age, cherche-t-on à intégrer l'étranger ou à l'exclure ? Et inversement, comment vivre au Moyen Age en tant qu'étranger ? Lors d'un colloque accueilli par la Mission historique française en Allemagne, une vingtaine de contributions, qui ont trait pour la plupart au Moyen Age tardif, ont tenté de répondre à ces questions. — Où commence l'étranger dans la société médiévale ? Comment y vit-on en étranger ? Peut-on au Moyen Age supporter "l'autre", celui qui n'est pas du village, de la ville où l'on naît et travaille, celui qui ne parle pas la même langue ? Ce sont les questions, si fort d'actualité, qui ont servi de trame aux travaux du XXXe Congrès de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public, accueilli en juin 1999 à Göttingen, lieu hautement symbolique, par la Mission historique française en Allemagne et l'Institut Max Planck d'histoire. Les communications, prolongées par les conclusions d'Otto Gerhard Oexle, font le point sur la manière dont les hommes du Moyen Age concevaient l'altérité. Les pratiques, les institutions, et aussi l'imaginaire ont contribué à faire de l'étranger une figure marquante de l'ordre social. Mobiles par vocation ou par nécessité, marchands, hommes d'armes, hommes d'Eglise, intellectuels et artistes ont suscité et façonné des manières d'être, des lieux de rencontre, des statuts codifiés, mais aussi des comportements de méfiance et de rejet, dans un constant va-et-vient entre exclusion et intégration.