Région Nord Pas de Calais Dos agrafé 2002 In-12 (16x16 cm), dos agrafé, 36 pages, texte en anglais et en français et regard ; couverture légèrement salie; bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
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PARIS, Flammarion - 1947- In-8 - 1/2 Reliure cerise à coins ((signée Georges Querruel) - Dos à nerfs orné) - Couverture conservée - Signet - Illustrations Nb HT - Bien complet des 7 cartes dépliantes in-fine - 370 pages - très bon exemplaireReliure signée Georges Querruel, Maître relieur, Premier Artisan de France
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1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...
S. n. | Nice 1er Novembre 1934 | 13.50 x 21 cm | une feuille
Lettre autographe signée de Roger Martin du Gard adressée depuis Nice à ses amis Rim (3 pages, 46 lignes à l'encre noire) grands pourvoyeurs de bonbons et autres gourmandises pour l'auteur des Thibault qui semble retrouver, sous le soleil et la quiétude provençales; une douceur et une insouciance apaisées de vivre simplement, la proximité d'une école facilitant encore cette paixidéale : "Nice. 1er novembre 34 Chers amis, pour si agréable qu'il soit, c'est un rôle bien gênant à tenir que celui du vieux monsieur qu'on gave de sucreries ! Je suis attendri jusqu'aux larmes que vous pensiez ainsi à me régaler à distance, et le coeur me fond dans la poitrine en même temps que les caramels dans la bouche... J'ai refusé autrefois de participer à l'érection d'un buste de Blasco Ibanez, sous le prétexte que les vrais bienfaiteurs de l'humanité, Gillette et Eversharp, n'avaient pas leurs statues sur toutes les places publiques de France. Je refuse aujourd'hui toute obole pour le monument du roi Alexandre, tant que Marseille reconnaissante n'aura pas fait à Castelmuro (pâtissier-chocolatier qui était une véritable institution marseillaise) la statue en pied, sur socle de nougat, qu'il mérite depuis longtemps ! Que devenez-vous ? Ou peut-on lire du Carlo Rim ? Mr Virgule me réjouit chaque semaine fidèlement ; mais la prose alerte et mordante, qui me donnait, de loin, l'impression d'avoir assisté aux fêtes de Paris, me manque. Et plus encore le volume substanciel que Rim pourrait nous donner tous les trois mois, s'il le voulait. Pour moi, j'ai trouvé à Nice le climat idéal. C'est seul coin du monde, je crois bien, où s'est réfugié la douceur de vivre d'avant-guerre. Nous y menons une vie "sans obligations ni sanctions" ; une vie laborieuse aussi, car j'y travaille bien, sans voir personne. Mes fenêtres s'ouvrent sur une école, et c'est la cloche des élèves qui règle mon lever, mon travail, mes repas. Pendant les récréations, je fume ma pipe, entre les deux coups de cloche. C'est admirable. C'est la vie de couvent, à domicile. Donnez-moi de vos nouvelles. Les nuages qui s'accumulent à l'horizon ne jettent-ils pas leur ombre sur votre irréductible bonne humeur ? Je vous souhaite mille prospérités ! Ne doutez pas de l'affectueuse fidélité de ma pensée, ni de ma gastronomique reconnaissance, Roger Martin du Gard." Trace de pliure inhérente à la mise sous pli. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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PLON. 1916. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos abîmé, Intérieur frais. III+286 Pages - Coiffes abîmées. . . . Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
Sommaire : Origines de la guerre - Situation des neutres - La vie intérieure de la France : organisation du travail ; organisation des secours - La guerre de manoeuvres - Jours d'épreuves - Victoire de la Marne - Les Falaises de l'Aisne ... Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945