‎Arden Katherine‎
‎La Fille dans la tour‎

‎Denoël Lunes d'encre Dos carré collé 2019 In-8 (14,2 x 20,5 cm), dos carré collé, 414 pages ; pliure au dos, par ailleurs bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎

Reference : lr1205


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‎SPRINT - Le match de la vie sportive‎

Reference : 99457

(1947)

Phone number : 04 78 38 32 46

EUR14.00 (€14.00 )

‎WEBER (Joseph)‎

Reference : 93557

‎Mémoires concernant Marie-Antoinette archiduchesse d'Autriche, Reine de France ; et sur plusieurs époques importantes de la Révolution française, depuis son origine jusqu'au 16 octobre 1793, jour du martyre de Sa Majesté ; suivis du récit historique du Procès et du Martyre de Madame Elizabeth ; de l'empoisonnement de Louis XVII dans la Tour du Temple ; de la délivrance de Madame Royale, fille de Louis XVI, et de quelques événements ultérieurs. Par Joseph Weber, frère de lait de cette infortunée souveraine ‎

‎A Londres, de l'imprimerie de Daponte et Vogel, 1804 - 1807 3 vol. gr. in-8, 2 ff. n. ch. (fx-titre et titre), XIX, 1 f. n. ch., 432 pp., 1 f. d'errata, 16ff. n. ch. (y compris le fx-titre, le titre, la table et la liste des souscripteurs), 420 pp.,CVI pp., V pp. , maroquin rouge, dos lisse richement orné, dentelle encadrant les plats, filet doré sur les coupes, chaînette dorée intérieure, tranches dorées (reliure de l'époque).‎


‎Edition originale rare.Tiré sur papier fort, cette édition est ornée de 10 portraits et une planche allégorique, la plupart gravés par Schiavonetti d'après des dessins ou peintures de Danloux, Stroehling ou Boze. Exemplaire relié avec les avis au relieur pour le placement des gravures, placés au verso des pages de titre.La tradition bibliographique (Quérard, Tourneux) donne la paternité de cet ouvrage à Lally-Tollendal. La réimpression de ces mémoires dans la Collection des mémoires relatifs à la Révolution française "donna lieu à un procès entre Weber et les frères Baudouin. Ces derniers alléguèrent que Weber n'était pas l'auteur des mémoires, et qu'en conséquence l'accusation était sans fondement. Ils citèrent en preuve un lettre de M. le marquis de Lally-Tollendal, qui avoue avoir rédigé, d'après ses mémoires personnels et d'après quelques instructions particulières du duc de Choiseul, ce qui regardait l'intérieur domestique de la reine à Vienne et à Versailles ; et d'après un petit nombre de notes de Weber l'avant-propos, les 1, 2 et 3e chapitres de ces Mémoires" (Quérard)L'avant-propos de l'édition de 1822 signale en outre que les exemplaires entrant en France furent saisis par la police impériale et que cette nouvelle édition fut faite sur le seul exemplaire restant, ce qui est somme toute peu probable ...Il s'agit, dans tous les cas, de l'un des meilleurs témoignages d'un proche de la Reine. Fils de la nourrice de Marie-Antoinette, Weber suivit sa sœur de lait en France et se montre un biographe attentif.Le tome 3 de cet exemplaire est d'un tirage inconnu. En effet, les exemplaires référencés sont de 1809 (non de 1807), avec une pagination différente. L'imprimeur est également différent (Schulze à Londres) mais la diffusion se faisait chez l'auteur, comme pour les autres volumes). Légère différence de taille et de décor au tome 3.Très bel exemplaire.Quérard, IV, 466. Tourneux, Marie-Antoinette devant l'histoire, 46. Fierro, 1494. ‎

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Phone number : 33 01 43 26 71 17

EUR3,000.00 (€3,000.00 )

‎PERRIN, Emile‎

Reference : 44449

(1860)

‎Chronique Musicale. [ Manuscrit autographe signé de 12 pp. in-8, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860 ] "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎

‎Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎


‎Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR390.00 (€390.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110541972

(1932)

‎L'étoile Noëliste n° 972 - Dans le sillage du Noël, Les mouettes de Noël par Charlotte Mayval, Monsieur Corbie et Monsieur Parent, Madame Anais Ségalas (1814-1893), Le tour du monde d'une petite fille et de trois garçons (suite) par Denisèle, Le rayon‎

‎Maison de la Bonne Presse. 22 décembre 1932. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 769 à 800. Nombreuses illustrations monochromes dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION‎


‎Sommaire : Dans le sillage du Noël, Les mouettes de Noël par Charlotte Mayval, Monsieur Corbie et Monsieur Parent, Madame Anais Ségalas (1814-1893), Le tour du monde d'une petite fille et de trois garçons (suite) par Denisèle, Le rayon de soleil (suite) Classification Dewey : 200-RELIGION‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎Collectif‎

Reference : R110541981

(1933)

‎L'étoile Noëliste n° 981 - La fugitive par Alice Meunier, A coté de la grande histoire : l'enlèvement de Jacques Coeur par H. de Villiers, Encouragements au poète, Conversation dans une berline, L'amiral Hamelin, Le tour du monde d'une petite fille‎

‎Maison de la Bonne Presse. 23 février 1933. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 225 à 256. Nombreuses illustrations monochromes dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : La fugitive par Alice Meunier, A coté de la grande histoire : l'enlèvement de Jacques Coeur par H. de Villiers, Encouragements au poète, Conversation dans une berline, L'amiral Hamelin, Le tour du monde d'une petite fille et de trois garçons Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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