Gosselin, Sautelet A., Mame, Delaunay-Vallée Relié 1827 Trois volumes in-12, reliure papier de l'éditeur, pièce de titre et de tomaison, tome IV, V et VI des oeuvres complètes, gravures hors texte, cartes dépliante en fin du premier volume ; relliures frottées mais agréables, quelques rousseurs, bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
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Librairie Hachette Paris 1934 Grand in-4 ( 310 X 225 mm ) de 238 pages, demi-toile bleue à coins, tête bleue. Dos lisse titré. Ouvrage orné de nombreuses illustrations de A. PECOUD hors-texte en noir. Parfait état.La famille joyeuse-Les vieux-La chèvre de M.Seguin-Les douanniers-La dernière classe-L'enfant espion-Tartarin de Tarascon etc...
Passard Paris 1851 7 tomes reliés en 6 volumes in-8 ( 215 X 135 mm ) de 319 317 302 317 335 293 et 202 pages, demi-chagrin vert-sapin, dos à nerfs ornés de caissons dorés, filets dorés gras et maigre d'encadrement sur les plats, couronne dorée frappée au centre de chaque premier plat, tranches dorées. Quelques rousseurs, belle série très décorative enrichie d'un envoi autographe signé de l'auteur.
Presses de la Cité, 1960, in-8°, 249 pp, traduit de l'allemand, 16 pl. de photos hors texte, cart. éditeur, une carte sur les gardes, sans la jaquette, bon état
Voici les Mémoires d'un des espions les plus surprenants de l'histoire. Hussein Gaafar (alias John Eppler), fils d'une Allemande et d'un Egyptien, illustre à merveille les liaisons sulfureuses entre nationalistes arabes et nazis pendant la Seconde Guerre mondiale. Recruté en 1937 par l'Abwehr, il parcourt la Turquie, l'Iran, l'Afghanistan et l'Egypte, et devient l'agent de Berlin pour le Moyen-Orient. Parmi ses nombreuses missions, il infiltre les services secrets britanniques sous l'uniforme anglais, accompagne le grand mufti de Jérusalem auprès de Hitler, et travaille avec un jeune officier du nom d'Anouar el-Sadate. Son principal fait d'armes est son ultime mission d'espionnage pour le compte de Rommel, sous le nom de code "Condor". Au printemps 1942, l'Afrika Korps semble en mesure de battre la 8e armée britannique et de s'emparer du Caire. Gaafar, muni d'un émetteur-radio, s'installe dans la capitale égyptienne et informe Rommel des mouvements de l'armée anglaise. Mais, une monumentale erreur de l'Abwehr met en péril sa mission... Ces Mémoires à l'indiscutable parfum romanesque sont aussi un document de première main sur le fonctionnement des services secrets allemands et l'alliance entre nazis et dignitaires musulmans. — « Good morning, mister Gaafar » : c'est par ces mots qu'un officier de l'Intelligence Service met fin, au Caire, en 1942, au travail de l'espion John Eppler, alias Gaafar, qui, pour le compte de l'Abwehr, envoie des messages depuis des semaines en direction des troupes de Rommel en marche vers le Nil. Mais cette mission de Eppler – la mission Condor – n'est que le dernier épisode de la vie extraordinaire que l'espion allemand raconte ici. Fils d'une Allemande et d'un chef bédouin, élevé en Egypte, John Eppler est, à la fois, arabe et allemand. Pour le Service de renseignement de la Wehrmacht, il est l'espion parfait. Recruté dès 1937, il va, de la Turquie à l'Iran, de l'Afghanistan à l'Egypte, devenir « l'agent » de Berlin pour le Moyen-Orient. Tout est vrai ici : les rencontres avec les agents du « grand adversaire », l'Intelligence Service ; comment Eppler accompagne le grand Mufti de Jérusalem auprès de Hitler ; comment il entre en relation avec l'actuel président de la République égyptienne, Sadate – alors officier – qui, par nationalisme, est décidé à lutter contre les Anglais par tous les moyens ; comment, en uniforme de lieutenant anglais, il pénètre dans le Q.G. de Montgomery au Caire ; sa randonnée dans le désert, derrière les troupes britanniques... Voici le métier d'espion mis à nu, et révélé le fonctionnement d'un grand service de renseignement : l'Abwehr. C'est fascinant.
Laffont, 1974, in-8°, 328 pp, 8 pl. de photos hors texte, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Vécu)
Voici les Mémoires d'un des espions les plus surprenants de l'histoire. Hussein Gaafar (alias John Eppler), fils d'une Allemande et d'un Egyptien, illustre à merveille les liaisons sulfureuses entre nationalistes arabes et nazis pendant la Seconde Guerre mondiale. Recruté en 1937 par l'Abwehr, il parcourt la Turquie, l'Iran, l'Afghanistan et l'Egypte, et devient l'agent de Berlin pour le Moyen-Orient. Parmi ses nombreuses missions, il infiltre les services secrets britanniques sous l'uniforme anglais, accompagne le grand mufti de Jérusalem auprès de Hitler, et travaille avec un jeune officier du nom d'Anouar el-Sadate. Son principal fait d'armes est son ultime mission d'espionnage pour le compte de Rommel, sous le nom de code "Condor". Au printemps 1942, l'Afrika Korps semble en mesure de battre la 8e armée britannique et de s'emparer du Caire. Gaafar, muni d'un émetteur-radio, s'installe dans la capitale égyptienne et informe Rommel des mouvements de l'armée anglaise. Mais, une monumentale erreur de l'Abwehr met en péril sa mission... Ces Mémoires à l'indiscutable parfum romanesque sont aussi un document de première main sur le fonctionnement des services secrets allemands et l'alliance entre nazis et dignitaires musulmans. — « Good morning, mister Gaafar » : c'est par ces mots qu'un officier de l'Intelligence Service met fin, au Caire, en 1942, au travail de l'espion John Eppler, alias Gaafar, qui, pour le compte de l'Abwehr, envoie des messages depuis des semaines en direction des troupes de Rommel en marche vers le Nil. Mais cette mission de Eppler – la mission Condor – n'est que le dernier épisode de la vie extraordinaire que l'espion allemand raconte ici. Fils d'une Allemande et d'un chef bédouin, élevé en Egypte, John Eppler est, à la fois, arabe et allemand. Pour le Service de renseignement de la Wehrmacht, il est l'espion parfait. Recruté dès 1937, il va, de la Turquie à l'Iran, de l'Afghanistan à l'Egypte, devenir « l'agent » de Berlin pour le Moyen-Orient. Tout est vrai ici : les rencontres avec les agents du « grand adversaire », l'Intelligence Service ; comment Eppler accompagne le grand Mufti de Jérusalem auprès de Hitler ; comment il entre en relation avec l'actuel président de la République égyptienne, Sadate – alors officier – qui, par nationalisme, est décidé à lutter contre les Anglais par tous les moyens ; comment, en uniforme de lieutenant anglais, il pénètre dans le Q.G. de Montgomery au Caire ; sa randonnée dans le désert, derrière les troupes britanniques... Voici le métier d'espion mis à nu, et révélé le fonctionnement d'un grand service de renseignement : l'Abwehr. C'est fascinant.
Cologne, s.n., 1765. 6 tomes en 3 vol. in-12, veau fauve marbré, dos à nerfs ornés de fleurons dorés, pièces de titre en maroquin rouge, pièces de tomaison en maroquin noir, roulette dorée sur les coupes, tranches jaspées de rouge. Reliure de l'époque. Titres en rouge et noir, vij-201 pp.; (1) f., 208 pp.; (1) f., 224 pp.; (1) f., 204 pp.; (1) f., 238 pp., (1) f., 144 pp.
Seconde édition, probablement imprimée en Hollande, moins d'un an après la publication de la rarissime édition originale de 1764. Elle comprend 542 lettres, soit deux de plus que l'édition originale. "L'Espion chinois est sans doute un des plus intressants parmi les innombrables ouvrages qui surgirent dans le sillage des Lettres persanes" (Sgard). L'Espion Chinois est une violente satire contre les moeurs mais surtout contre les différents régimes politiques européens. Il y critique l'incompétence et la corruption des ministres ainsi que l'indignité des chefs d'Etat et des courtisans. Ange Goudar, dont les revenus en France provenaient surtout de l'exploitation des tripots et des filles publiques, s'était réfugié à Londres en 1761. Il y rencontra Casanova en 1763 pour lequel il joua le rôle d'entremetteur et devint rapidement son ami. On sait que Casanova, lors de sa rencontre avec Ange Goudar, rédigea quelques unes des lettres de l'Espion Chinois. Ces lettres sont d'aileurs les premiers écrits publiés pde l'illustre aventurier.Casanova a contribué aux lettres n°46, 48, 72, et 75 du tome IV et aux lettres 12, 39, 80 et 83 du tome V. "Dès sa publication à Londres, L'Esprion chinois fut poursuivi : "cet ouvrage", note le policier d'Hémery le 29 novembre 1764 (...) "est un libelle affreux contre le Roy, les ministres, et la nation" (...) Bien des libraires, colporteurs, relieurs, etc. feront à cause de lui un séjour à la Bastille". L'édition de 1764 eut du mal à pénétrer le territoire français, aussi l'édition hollandaise de 1765 fut-elle souvent prise pour l'originale" (Sgard). Sgard, 387.
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