‎Collectif,Gleizes Serge‎
‎Ecueils‎

‎Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

‎1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

‎Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

‎Idée du Génie et de l'Héroïsme des Femmes , de la conduite des Maris , des Ecueils de la Beauté et des Passions. P[ar] L.P.‎

‎Louis-Marie Prudhomme, Idée du Génie et de l'Héroïsme des Femmes , de la conduite des Maris , des Ecueils de la Beauté et des Passions. P[ar] L.P. Paris, Achille Desauges, 1826. 2 volumes in-12, 258p & [4]-284p. Edition originale, ornée de gravures. Ces gravures sont au nombre de 2, uniquement dans le tome 2, pour l'Histoire de la marquise de Gange, et il semble bien que ce soit complet (aucune trace d'autre gravure dans l'ouvrage). L'ouvrage contient des textes de plusieurs auteurs, des exemples de femmes de l'Antiquité ou de femmes héroïques depuis 1789, des sujets abordés comme la beauté (et ses dangers), la jalousie, la vengeance, l'adultère, les maris assassinés par des séducteurs, etc. Ouvrage à peine répertorié, trois exemplaires uniquement sur le CCfr et le WorldCat (BnF, un en Allemagne et un en Pologne), aucun exemplaire passé sur le marché récemment. Plein veau d'époque, dos à nerfs orné, décor doré et à froid sur le dos et les plats, roulette dorée sur les coupes et en bordure des contreplats, tranches marbrées. Quelques petits frottement, une petit épidermure sur le dos du tome 2, quelques rousseurs. Rare ouvrage. ‎

‎La science pour tous n° 4 - L'aphalbet universel, Tortola et le raz de marée, Les planètes en janvier 1868, Le barométrographe Bréguet, Les écueils et les hauts fonds par Gouezel, Le monde des bois par M. le Dr Hoefer, Les arachnides et les aranéides‎

‎Bureaux du journal. 26 décembre 1867. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 25 à 32. Une gravures en noir et blanc en première page. Texte en colonnes.. . . . Classification Dewey : 500-SCIENCES DE LA NATURE ET MATHEMATIQUES‎

‎Sommaire : L'aphalbet universel, Tortola et le raz de marée, Les planètes en janvier 1868, Le barométrographe Bréguet, Les écueils et les hauts fonds par Gouezel, Le monde des bois par M. le Dr Hoefer, Les arachnides et les aranéides, Les étoiles filantes en novembre, Les observations ozonoscopiques, Dialyse des courants d'induction, L'étoile de mer, Extirpation de la rate hypertrophiée Classification Dewey : 500-SCIENCES DE LA NATURE ET MATHEMATIQUES‎

‎Sciences et voyages n° 97 - L'utilisation des aveugles dans l'industrie par C.O., Le rayon PHI par José Moselli, Le fétichisme sur la cote d'Ivoire par le Dr André Petit, Les icebergs sont des écueils flottants par le capitaine Harry, Le cheptel canadien‎

‎Bureau de la revue. 7 juillet 1921. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 18 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages‎

‎Sommaire : L'utilisation des aveugles dans l'industrie par C.O., Le rayon PHI par José Moselli, Le fétichisme sur la cote d'Ivoire par le Dr André Petit, Les icebergs sont des écueils flottants par le capitaine Harry, Le cheptel canadien va s'enrichir de races nouvelles par Pierre Aliamet Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages‎

‎Eve n° 306 - Les plaisirs des vacances, Le vingtième anniversaire de l'Ondine, Sucette, dilatation d'estomac, solution digestive, Une femme de lettres est-elle une épouse idéale ?, La bonne dame de Nohant, Sur la plage, Les écueils du bonheur par Charles‎

‎Bureau du journal. 8 aout 1926. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

‎Sommaire : Les plaisirs des vacances, Le vingtième anniversaire de l'Ondine, Sucette, dilatation d'estomac, solution digestive, Une femme de lettres est-elle une épouse idéale ?, La bonne dame de Nohant, Sur la plage, Les écueils du bonheur par Charles de Bussy Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎