Paris. Lemoine. Beauvais. Dupont-Diot. 1829. In-8 (150 x 223 mm) dos lisse joliment orné et coins veau rouge, 213, (2) pages. A la suite 1. Le Siège du Paradis, Macédoine Infernalico - Diabolico - Comique En quinze Chants. Paris. Lemoine. 1830. 52 pages. 2. Chansons sur sa captivité en Silésie à son retour de Pologne et autres; précédés d'une Lettre au Maire de la Ville de Rheims. Paris. Lemoine 1832. 16 pages. Notes au crayon au verso de la 1re garde, bords de feuilles brunis, assez nombreuses rousseurs, jolie reliure en bel état. Rare. L'auteur, né à Reims en 1800, ouvrier menuisier, chansonnier, combattant révolutionnaire de juillet 1830 à Paris, d'août-septembre 1830 en Belgique, de 1831 à Varsovie et de Juin 1848 à Paris est mort en déportation à Batna en 1854 après une vie mouvementée.
Reference : ORD-18485
Librairie Les Vieux Ordinaires
Mme, M. Jeannine et Francis Etienne
6 rue Molière
83000 Toulon
France
livres.vieux-ordinaires@wanadoo.fr
0494895924
Les prix (en euros) s'entendent frais de port en plus (emballage gratuit), expédition en colissimo suivi à réception du règlement. Nous acceptons les chèques bancaires français, les mandats et virements internationaux en euros, (nous n'acceptons pas les paiements par carte bancaire). IBAN: FR 68 20041 01008 0533649T029 clé 81. BIC: PSSTFRPPMAR. <br />
1908 année 1908 ( 385 pages ) - 1909 ( 416 pages ) - 1910 ( 416 pages ) / trois volumes1/2 toile brune à coins à l'imitation de cuir - 1 fer doré - reliure de l'époque
bel état
Superbe recueil entièrement gravé, texte et musique, sur grand papier de Hollande. S.l., 1744. Petit in-8 étroit de (1) f.bl., 1 titre gravé dans un joli cartouche surmonté des armoiries du comte de Clermont avec les emblèmes maçonniques, 40 pp. contenant la Dédicace de Naudot, suivi de « Recueil de chansons nouvelles de la Maçonnerie »51 pp., (1) p., suivi de « Chansons notées pour l'ordre de la Félicité » 16 pp. Maroquin olive, large roulette dorée autour des plats, guirlande dans les angles, armoiries au centre, dos lisse orné, roulette intérieure et sur les coupes dorées, doublures et gardes de moire jaune, tranches dorées. Reliure de l'époque. Etui.178 x 90 mm.
« The dedication copy for the Comte de Clermont, one of the most eccentric personages of the Ancien Regime: destined at the age of nine for the church and endowed with enormously rich benefices, he took up a military career without renouncing these, became nominal commander-in-chief of the French armies, but was relieved of his command after a disastrous campaign against the Prussians in 1758. He had literary ambitions, maintained a kind of salon and engineered his election to the Académie which gave rise to much ridicule. In 1744 he was made Grand Master of the French Free Masons, but soon abandoned this dignity to his dancing master Lacorne (Dict. de Biogr. franç.). He amassed a not inconsiderable library (sold by Prault in 1771) employing no less than five different versions of his arms on his bindings ; that on the above binding is reproduced by Olivier, Hermal (pl. 2633, No. 2) from it. - The British Union Catalogue of Early Music identifies the author with Jean-Jacques Naudot, a flute virtuoso who published several compositions for that instrument, although Eitner (VII, 151) doubts their identity. The Hirsch copy (III, 952) also with Clermont's arms, lacks the last 8pp. of part II. - A delightful volume.” (Martin Breslauer)Edition originale de ce recueil ainsi constitué.Bulletin Morgand et Fatout, 4266.C'est en 1737 que paraissait la première édition du recueil ‘Chansons notées de la très vénérable Confrérie des Francs Maçons, précédées de quelques pièces de poésie convenables au sujet et d'une Marche, le tout recueilli et mis en ordre par Frère Naudot’.Superbe recueil entièrement gravé, texte et musique, sur grand papier de Hollande.Le catalogue de l'Union Britannique de la musique identifie l'auteur avec Jean-Jacques Naudot, un virtuose de la flûte qui publia plusieurs compositions pour cet instrument, bien qu’Eitner (VII, 151) doutât de son identité.Certaines de ces chansons sont la transposition de celles des Constitutions d'Anderson, avec des musiques soit arrangées, soit originales.La question de savoir si ces musiques sont de la composition de Naudot, de Lansa, ou même d'autres, ne semble pas encore tranchée. Lansa publia en effet vers 1744 les Chansons originaires des Francs-Maçons, en s'attribuant dans la préface la paternité de la musique et (en collaboration avec la Tierce) des textes.Après tout, Naudot ne prétend pas avoir fait autre chose que recueillir et mettre en ordre les chansons qu'il publie - à l'exception de la Marche, seule partition d'ailleurs où il fait figurer son nom.Nous avons en tout cas pu identifier que parmi les chansons du recueil certaines utilisent des airs préexistants.Bel exemplaire de dédicace aux armes de Louis de Bourbon-Condé, comte de Clermont (1709-1771), placées dans un support comprenant des emblèmes maçonniques. Le comte de Clermont fut l'un des personnages les plus excentriques de l'Ancien Régime.Destiné à l'âge de 9 ans à une carrière militaire, sans renoncer à ses biens, il devint Commandant en Chef des Armées Françaises, mais fut destitué de son commandement après une campagne désastreuse contre les Prussiens en 1758. Il avait des ambitions littéraires, entretenant un genre de salon et présentant sa candidature à l'Académie des Francs-Maçons français, il abandonna bientôt cette dignité à son Maître de danse, Maître Lacorne.Exemplaire cité par Olivier. (Pl. 2633, fer 2).Provenance : J. Hennessy (1929, n° 196). A figuré au catalogue Breslauer, 104, n° 85, année 1980.
Reference : 18363
Société de la gravure sur bois originale, 1932. 2 vol in-folio, en feuilles, couvertures originales conservées (3 chansons dont les partitions n'ont pas été imprimées pour des raisons légales, quelques déchirures des couvertures, insolation des couvertures, quelques rousseurs).
Édition collective unique en six livraisons de ce recueil de chansons populaires illustrées. Un des 145 exemplaires numérotés. Il comprend des chansons telles que : Jenny l'ouvrière illustré par R. Drouart, Le Pendu de Louis Jou, La Chansons des blés d'or par Picart Le Doux; En revenant de la revue de R. Bonfils, Lison-Lisette de G. de Coster, Petite Tonkinoise de Méheut,, Chansons des heures par Schmied, Mon Homme de Dignimont et Les P'tits Pois de Laboureur. Les chansons Cach'ton piano, Mon Homme, la Chanson des Blés d'or sont en double. Le second volume comprend la suites des bois gravés illustrant les chansons ainsi qu'une lettre tapuscrite signée de Léon Comar, président de la Société de la gravure sur bois originale, invitant son destinataire à un dîner et à l'assemblée générale de la société. Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Sans lieu, , 1760. Manuscrit in-4 broché (17 x 22 cm) à 14 lignes par page de (1)-264 pp. (17) pp., "Table alphabétique des chansons contenues au présent recueil", (4) pp. entre les pages 24 et 25.
Recueil compilé de 105 chansons grivoises avec l’indication des airs sur lesquels les couplets sont chantés dont La Tentation de Saint Antoine attribuée à Michel-Jean Sedaine (pages 217-227, imprimée en 1752 dans les Pièces fugitives de M. S***). Les autres pièces ne sont pas attribuées, parmi lesquelles : Ah Lucas que m’allés vous faire, Après avoir fourni trois fois, C’est à l’hameçon, C’est ma faute Michelle, Colin à la chasse, Dans un bois planté par l’amour, Foutre des Mousquetaires, Je guettais près d’un bosquet, Jeunes gens pleins d’audace, Il était un Père Célestin, l’hypocrite Babet, le gros Guillot d’amour épris, La Brune fait le bonheur, Le curé de St Sulpice, Mesdames voici Pierrot, Pour jouer à la chemisette, Vive le frère Oignon etc. Le recueil daté 1760 s'inscrit dans le goût chansonnier et gaillard de l'époque, contemporain des compilations manuscrites ou imprimées de Pierre-Antoine de La Place, André-Charles Cailleau (Almanach polisson ou Etrennes boufonnes et poissardes pour l'année 1761 enrichies de chansons grossières sur des airs distingués), Charles Collé (Chansons qui n'ont pu être imprimées et que mon censeur n'a point du me passer 1784).Joint : 1. La Guillotine d'Amour. Air : du Serein qui te fait envie. (1) f. manuscrit sans date (1760) ; Examen subi par M.elle Flora, à l’effet d’obtenir un diplôme de putain et d’être admise au bordel de Mme Lebrun. 68 bis rue de Richelieu. Manuscrit in-12 en feuilles de (13) pp. Sans date (vers 1860). Par Louis Protat, d'après Pascal Pia (Livres de l'Enfer, 257). Publié une première fois en 1864, il sera réédité plusieurs fois de manière clandestine, avec ou sans illustrations. Gay, II, 200.Manuscrit XVIIIe d'une belle et large écriture ; les cahiers sont cousus, prêts à être reliés.
Avallon, À l'enseigne du Bonnet a Poil ; Rome, À l'enseigne des sept péchés capitaux, 1901-1902. 2 fort vol. in-4 manuscrits de 905 et 1182 pp., demi-maroquin vert à coins, dos lisse orné d’un bouquet pour le "Recueil" et d'un feuillage pour le "Parnasse", double filet doré sur les plats, tête dorée, étui (L. Dartus rel.). PLAT DÉTACHÉ (1 vol.)
Recueil en partie inédit, établi par Pingray membre de la Lice Chansonnière, qui a réuni 750 chansons et poésies grivoises en deux fort volumes dont les titres sont empruntés à des publications éponymes : I, (448 pièces). Grivoiseries. Recueil de chansons et Poësies Galantes du plus haut goût chantées dans les premières Maisons de Paris principalement à la Patte d'Chat "Allez-y voir !" dédié aux dames suivi du Panier aux ordures [Libreville à la Société pour la Propagation des Livres de l'Enfer, 1866], des Veillées d'un fouteur et de Morceaux choisis de Piron. Avallon à l'enseigne du Bonnet à poil Se trouve chez Mdame Onfout 69 rue Brisemote, 1901 ; II, (302 pièces). Le Parnasse satyrique du dix-neuvième siècle. Recueil de vers piquants et gaillards de MM. Béranger, V. Hugo, A. Barbier, A. de Musset, A. Delvau, F. Desnoyers, Baudelaire, Banville, Degrécourt, A. Glatigny, Portat, Nadaud, C. Monselet, Vacquerie, E. Debraux etc. etc. etc. Suivi de Chansons érotiques de P.-J. de Béranger (Supplément. Paris chez tous les Marchands de Nouveautés, 1834). Pigritia. Invidia Avaritia. Superbia. Furor Luxuria. Gula. Rome , à l'enseigne des sept péchés capitaux, 1902. Créée en 1831, la Lice chansonnière est une des plus célèbres goguettes parisiennes dont les membres sont appelés licéens ou lycéens où naquirent deux des plus célèbres chansons françaises : Ma Normandie de Frédéric Bérat et L'Internationale d'Eugène Pottier.Couvertures et titres calligraphiés à l'encre rouge et noire pour chaque tome, deux portraits photographiques probablement du compilateur R. Pingray contrecollés en frontispice avec deux envois autographes de celui-ci à Frédéric Stader ou Stadler assortis de deux épigraphes de son cru "Quand ça pourra venir, Ça me f'ra bien plaisir" ou encore "Le mou le mou n'est pas de mon goût En tout et partout A bas le mou". Dos passés (brunis), traces de frottement.