Choix de poèmes illustrés par Eugène Baboulène, Bertrand-Arnoux, Gabriel Cotel, Paul-M. David, Pierre-Henri Dumas, Louis Férec, Albert Janin, Laurent Mattio, Jean-Gérard Mattio, Victor Nicolas, Georges Obled, Olive Tamari, Georges Palmiéri, Henri Pertus, Léon Sabatier et Salvado. Toulon. Ecole des Beaux-Arts. 1957. In-f°(254 x 333mm) en feuilles sous jaquette imprimée en noir, 16 poèmes accompagnés de 16 illustrations en noir à pleine page. Tirage à 130 exemplaires, celui-ci un des 100 sur offset Djebel, n°104. Petits défauts mais bon exemplaire. Rare. (2).
Reference : ORD-10698
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L’Arche 1968 9 volumes. In-12 broché 17,5 cm sur 11,5. Couvertures passées et poussiéreuses, intérieurs frais. 198p + 277p + 238p + 237p + 231p + 221p + 166p + 238p + 246p. État correct d’occasion.
Tome 1 - Sermons domestiques, Extraits d'un manuel pour habitants des villes, Histoires de la Révolution (1918-1929)Tome 2 - Poèmes inédits et ne figurant pas dans des recueils, Chansons et poèmes extraits des pièces (1913-1929)Tome 3 - Chansons, poèmes, Choeurs, Les Trois Soldats, Les Sept Péchés capitaux des petits bourgeois (1930-1933)Tome 4 - Poèmes de svendborg, Poèmes chinois, Études. Poèmes extraits de L’ Achat du cuivre, Recueil de Steffin,(1934-1941)Tome 5 - Poèmes ne figurant pas dans des recueils, Chansons et poèmes extraits des pièces(1934-1941)Tome 6 - Poèmes d'exil, Poèmes ne figurant pas dans des recueils, Chansons et poèmes extraits des pièces(1941-1947)Tome 7 - Élégies de Buckow - Poèmes ne figurant pas dans des recueils - Chansons et poèmes extraits des pièces. (1948 - 1956)Tome 8 - Suppléments aux Poèmes. (1913 - 1956)Tome 9 - Chansons et poèmes Extraits Des pièces et autres oeuvres, Poèmes sur des pièces, Fragments (1913-1956) Etat correct d’occasion
s. n. | s. l. [1887 ?] | 20 x 32 cm | 1 portrait-frontispice, 1 titre à l'encre, 83 p. manuscrites, qq. feuillets vierges
Exceptionnel recueil manuscrit enluminé, contenant 35 poèmes de Stéphane Mallarmé copiés à l'époque sans doute par Joris-Karl Huysmans, sur vergé de Hollande filigrané, d'après les pré-originales des poèmes parus en revue.??La majorité des poèmes est précédée dune page indiquant le titre et la source.? Illustré d'un beau portrait de Stéphane Mallarmé au fusain, et de deux compositions florales à la gouache et laquarelle ornant les poèmes Les Fleurs et Apparition, ainsi quune page ornée du nom de lauteur dessiné.? Bien que non signées, les compositions sont attribuables à Marie Danse. Reliure à la Bradel, plats de soie moirée crème aux motifs floraux, gardes et contreplats de papier à motifs, deux signets en soie moirée verte décorée de motifs floraux polychromes. Mouillures en partie inférieure du second plat, coins frottés, quelques accrocs aux fils de soie ornant le dos, et frottements sur les plats.?? Superbe manuscrit de 35 poèmes de Mallarmé antérieur à la parution de son premier recueil de poésies complètes qui ne connut dailleurs que 47 exemplaires (Poésies, photolithographiées, Revue indépendante, 1887).?Cet ensemble soigneusement calligraphié est attribué à la main de Joris-Karl Huysmans, grand admirateur du poète, qui aurait offert les manuscrits à son ami Jules Destrée.? * Le recueil, qui rassemble un florilège de chefs-d'oeuvre mallarméens (notammentHérodiade, L'Après-midi d'un faune, Le tombeau d'Edgar Poe, Prose pour des Esseintes, Le vierge, le vivace et le bel aujourd'hui)apparaît pour la première fois dans la vente après décès de lhomme politique et écrivain belgeJules Destrée en 1936 à la galerie Leopold de Bruxelles. Une note au crayon sur la page de garde du recueil indique?: «?Aux dires de M. Simonson [expert de la vente Destrée], ce manuscrit aurait été envoyé par J.K. Huysmans à Jul. Destrée qui voulait connaître les poèmes de Mallarmé, inédits alors. (vérifié au moyen de la correspondance de Huysmans vendu le même jour que ce ms).?» Ce serait en effet par lintermédiaire de Huysmans que Destrée sétait procuré des poèmes de Mallarmé encore difficilement accessibles car dispersés dans diverses revues (L'Artiste, Les Lettres et les Arts, la République des lettres, etc.) et dans les recueils du Parnasse contemporain. Dans une lettre à Destrée, Huysmans écrit en effet «?Vous me demandez où sont trouvables les poèmes de Mallarmé. Introuvables, mais ils sont sous cette enveloppe. Parus en 1876 dans la République des Lettres, ils ont été recopiés, du moins les meilleurs, par le Chat Noir, en 1886 -J'en avais acheté 2 numéros, ce qui me permet de vous les adresser, vous verrez qu'ils sont superbes, d'une langue claire et incisive, tout étrange.?» (30 novembre 1887). Il est possible que les poèmes «?sous cette enveloppe?» mentionnés par Huysmans correspondent à ceux qui composent ce recueil. Huysmans aurait copié pour Destrée les poèmes des revues dont il ne possédait quun exemplaire, et envoyé son numéro supplémentaire du Chat Noir de 1886, où figurent les poèmes en prose Plaintes d'automne, Frisson d'hiver I et II, et Le Phénomène futur.??? En effet, lécriture des poèmes du recueil est tout à fait comparable à la remise au propre que Huysmans faisait de ses propres vers son manuscrit du Drageoir à épices donne à voir le même style décriture ronde et chantournée. Toutefois, la graphie de Huysmans varie considérablement en fonction des circonstances décriture : manuscrits de romans, lettres, premiers jets La calligraphie excessivement soignée de ces poèmes contraste par exemple avec la graphie urgente, haute et serrée de plusieurs autres de ses manuscrits. Seule une étude comparative de la graphie, notamment de ses capitales, permet de reconnaître une homogénéité au fil des manuscrits. Cest le travail effectué par le librairie Paul Van der Perre, qui attribua fermement le recueil à Huysmans dans son catalogue de mars 1956 : «?Ce cahier, contenant un beau portrait de Mallarmé, dessin
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L'Arche. 1966-1976. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos plié, Intérieur acceptable. 198 pages + 237 pages + 231 pages + 221 pages +166 pages + 239 pages + 246 pages.. . . . Classification Dewey : 830-Littératures des langues germaniques
Tome 1 : Sermons domestiques - extraits d'un manuel pour habitants des villes, histoires de la révolution 1918-1929 - Tome 4 : Poèmes de Svendborg, poèmes chinois, études, poèmes extraits de l'achat du cuivre, recueil de Steffin 1934-1941 - Tome 5 : Poèmes ne figurant pas dans des recueils, chansons et poèmes extraits des pièces 1934-1941 - Tome 6 : Poèmes d'exil, poèmes ne firant pas dans des recueils, chansons et poèmes extraits des pièces 1941-1947 - Tome 7 : elégies de Buckow, poèmes ne figurant pas dans des recueils, chansons et poèmes extraits des pièces 1948-1956 - Tome 8 : Suppléments aux poèmes 1913-1956 - Tome 9 : Chansons et poèmes extraits des pièces et autres oeuvres, poèmes sur des pièces fragments 1913-1956. Classification Dewey : 830-Littératures des langues germaniques
LIBRAIRIE SAINT-GERMAIN-DES-PRES. JUILLET 1971. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 128 pages.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Sommaire : DIX POETES DU MYSTERE EVIDENT. Alain BOSQUET : la marquise n’ose plus sortir. Poèmes. Andrée CHEDID : Terre et poésie II. Poèmes. Pierre DALLE XOGARE : La dissimulation révélée. Poèmes. Françoise DELCARTE : Une syntaxe musicale? Poèmes. Jacques IZOARD : Fêter chaque parole. Poèmes. Roger KOYVALSKI : Noires armes. Poèmes. Bernard NOËL : Sept notes. Poèmes. Jean-Claude RENARD : Une transcendance ambiguë. Poèmes. Robert SA BATI ER : Je marche, je marche. Poèmes. Jude STEFAN : Rien à savoir. Poèmes Classification Dewey : 841-Poésie
Édition originale. Un des 10 premiers exemplaires réimposés sur chine (n° 6), avec un second portrait hors-texte de Cendrars par Modigliani, reproduit en noir (comme pour les 40 réimposés sur hollande).Envoi signé : « à monsieur Desanges, fondeur en bronze, ses poèmes élastiques, fragiles, éphémères, avec ma main amie Blaise Cendrars 20 avril 1953 ».Précieux exemplaire sur papier de Chine, rare avec envoi.Seul frontispice de Modigliani imprimé de son vivant. Marges de la couverture salie, quelques rousseurs. Paris, Au sans pareil, coll. « Littérature », (15 août) 1919. 1 vol. (190 x 285 mm) de [32] p. et 1 f. Maroquin citron, dos lisse, titre doré sur le plat, couvertures et dos conservés (reliure postérieure). Édition originale. Un des 10 premiers exemplaires réimposés sur chine (n° 6), avec un second portrait hors-texte de Cendrars par Modigliani, reproduit en noir (comme pour les 40 réimposés sur hollande). Envoi signé : « à monsieur Desanges, fondeur en bronze, ses poèmes élastiques, fragiles, éphémères, avec ma main amie Blaise Cendrars 20 avril 1953 ».
Au moins deux exemplaires sur papier vert (ceux de Jacques et de Debeer) sont connus. Ils sont également réimposés, avec le second portrait. 1919 est une année féconde pour Blaise Cendrars : outre la naissance de sa fille Miriam, il publie trois textes majeurs : les Dix-neuf poèmes élastiques Au Sans Pareil, le recueil de poèmes Du Monde entier aux Éditions de la Nouvelle Revue française (NRF) et La Fin du Monde filmée par l'Ange Notre-Dame aux Éditions de la Sirène, avec des compositions de Léger qui font date. Les 19 poèmes élastiques constituent le quatrième volume de la collection Littérature Au Sans Pareil, avec la vignette d'André Derain au titre. L'illustrateur choisi pour le frontispice est cette fois-ci Amédéo Modigliani. Le titre succède aux Mains de Jeanne-Marie d'Arthur Rimbaud (avec un portrait par J.-L. Forain), au Mont de Piété d'André Breton (avec deux dessins d'André Derain et aux Lettres de Guerre de Jacques Vaché (avec un dessin de l'auteur). Cendrars écrit en postface cette curieuse notule : " nés à l'occasion d'une rencontre, d'une amitié, d'un tableau, d'une polémique ou d'une lecture, les quelques poèmes qui précèdent appartiennent au genre si décrié des poèmes de circonstance. A l'exception de deux ou trois, ils ont été publiés par des revues étrangères, Le Mercure de France, Vers et Prose, Les Soirées de Paris et Poème et Drame, c'est-à-dire que les aînés, les poètes déjà classés et la soi-disant avant-garde refusaient ma collaboration. C'est qu'à ce moment-là il ne faisait pas bon, en France, d'être un jeune authentique parmi «les jeunes». B.C. ". Révélateurs du modernisme de Cendrars, ces poèmes isolés sont relativement courts. Tour, le deuxième poème, est un hommage à la Tour Eiffel, à laquelle le poète attribue un extraordinaire pouvoir d'attraction. Ces poèmes à la forme soigneusement échevelée, écrits pour l'essentiel avant la guerre, sont traversés par la respiration frénétique du monde, tout en rendant hommage à ses amis Apollinaire, Delaunay, ou Léger...