S.l.s.n.s.d, (circa 1940). Lithographie (68x43 cm) signée au crayon par l'artiste, épreuve d'artiste.
Reference : 9919
Vue très contrastée, traitée à la façon du fusain.
Librairie Bertran
M. Maxime Bertran
112 rue Molière
76000 Rouen
France
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Caen, Le Blanc-Hardel, s.d. in-8, 18 pp., broché, couv. factice.
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Sans nom, circa avant 1900, tampon à l'encre violette au dos: Rouen n° 1009. Tirage sur papier, 280 x 380 mm, manque de papier dans un angle, petites déchirures en pied. Un mention au verso indique:" 1 F chez Paul Prouté le 6 mait 1925".
Rare grande vue prise de lavant-portail des Libraires, uvre de Guillaume Pontifs du XV ème siècle, en regardant vers la rue Saint Romain. Elle a été faite avant la construction de l'atelier de la maison Marrou dont la façade a été dessinée en 1902 par Marrou lui même et avant la pose de la seconde porte de la cour des Libraires.
Paris CHEREAU 1770 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE, format de la gravure : 42 x 30,5 cm, sans date (1770) à Paris chez CHEREAU rue St Jacques Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ..... RARE GRAVURE ........... en bon état (good condition). en bon état
Librairie Henri Leclerc, Paris. 1919. In-8. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 83 pages. Ruban adhésif gris encollé sur le dos, le consolidant. Tampon de bibliothèque en page de titre. Petits manques sur les bords des plats. Pages légèrement jaunies. Légères mouillures.. . . . Classification Dewey : 2-Le livre
(Rare) Textes et Notes revus par le Chan. Porée et l'Abbé F. Blanquart. Classification Dewey : 2-Le livre
Sté Normande de gravure. Gravure originale à l'eau-forte (51x43 cm) signée au crayon par l'artiste. Papier bruni.
Intéressante vue avec des détails architecturaux de la cathédrale au premier plan. Le graveur à l'eau-forte Louis-Marie-Ernest Jouas-Poutrel est né à Rouen en 1874. Elève de Cormon et de Mongin, il est sociétaire des Artistes Français depuis 1905.