Paris, Curmer, 1841. In-8, 3 feuillets pour le frontispice, le titre et la dédicace, xl pp., trois gravures. Bon état intérieur. Demi-chagrin brun d'époque (frotté, un mors fendu), nombreux tampons de l'O.R.T.F., Radio-France.
Reference : 18738
Tiré à part du célèbre ouvrage Les Français peints par Eux-mêmes.
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Paris, L' Esprit du temps, 2005, Broché, 163 pages. Exemplaire provenant d'un tirage destiné aux journalistes et aux libraires et considéré par l'éditeur comme une première épreuve . Couverture noire différente de la définitive. Bon état. Légers frottements sur les plats.
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HUGO ET COMPAGNIE. 2009. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 474 pages.. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
"Grande première depuis l'élection de Nicolas Sarkozy : un président de la République tutoie les journalistes, et réciproquement ! Jamais on n'a autant glosé sur les rapports ambigus qu'entretiennent les médias avec le pouvoir. Journalistes et dirigeants semblent former une véritable "" caste "", ils sortent des mêmes écoles, fréquentent les mêmes restaurants ou clubs de sport. Copains, complices, amis et parfois amants, où est la limite ? Comment établir des liens professionnels indispensables tout en gardant la distance déontologique nécessaire, sans pour autant devenir un "" courtisan "" ? Cette connivence entre journalistes et responsables politiques jette chaque jour un peu plus le discrédit sur l'indépendance et l'objectivité des médias. Dans cet ouvrage, Bruno Masure nous livre avec humour et impertinence sa propre expérience de ces liaisons dangereuses à travers son vécu quotidien du choc des mondes médiatique et politique de 1973 à nos jours, de Pompidou à Sarkozy en passant par Giscard, Chirac et Mitterrand et leurs nombreux collaborateurs. Au fil des jours et des anecdotes, ce recensement précis et méticuleux nous dévoile les complicités plus ou moins avouables, les secrets, les amitiés et les inimitiés, les jalousies, les méchancetés, les petites lâchetés et les grandes trahisons de ces 35 dernières années. Mais Journalistes à la niche ? c'est aussi une plongée passionnante dans le parcours professionnel d'un journaliste, depuis le poste de stagiaire jusqu'au sacro-saint fauteuil de présentateur du 20h. On y découvre par exemple l'ambiance tragi-comique qui règne dans les rédactions à la veille des élections, quand les uns redoutent la charrette et que les autres espèrent une promotion. Le journal de bord d'une grande gueule intègre, parfois cabotin et irrévérencieux envers sa hiérarchie, mais toujours lucide, et qui ne s'exempte pas lui-même de tout reproche. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique"
Fleury-Mérogis 22 Septembre1976 | 21 x 29.50 cm | une page recto verso
Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du samedi 22 Septembre1976, 67 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis et privé de chaleur humaine, s'enthousiasme de toutes les visites qu'il reçoit au parloir, battant ainsi en brèche le mythe du bandit asocial et dénué de sentiments humains : "Et après cela on dira que je suis un sauvage ! non justement et les gens qui ont eu un contact avec moi, désirent me revoir. Cela m'a fait un immense plaisir et sais-tu la suite... elle va demander aussi pour te voir. Parait-il que je suis regretté par les infirmières "monsieur sourire" voilà le secret." Il a apprécié tout particulièrement la visite de l'infirmière de la prison de la Santé qui sera également leur témoin de mariage avec Jeanne Schneider et qu'il encense : "... une énorme surprise ! tu ne devineras jamais qui est venu me voir ! Mon infirmière de la santé... oui ma puce... cette charmante dame aux cheveux blancs que tu avais vu au parloir à la santé et qui doit être notre témoin à notre mariage [...] C'est une femme exceptionnelle, ancienne infirmière militaire et assez bien placée au ministère. Pendant mes 2 ans et demi à la santé je l'ai considérée comme une mère, cette femme est dévouée, que cela n'en est pas pensable. Malheur à celui qui toucherait un seul de ses cheveux." L'ennemi public N°1 en profite encore pour briser cette réputation de fauve sanguinaire qui lui colle à la peau : "Si les journalistes savaient que toutes les infirmières entraient seules dans ma cellule et en toute confiance, on serait loin du "fauve" et de la prise d'otages à la Buffet. Les infirmières ont toujours été sacrées pour moi. Elles sont intouchables comme pas mal d'autres personnes, mais cela les pédés de journalistes l'ignorent ; car ils ne sont pas dans mes pensées et c'est regrettable parfois." Jacques Mesrine le révolté se surprend à apprécier sa solitude carcérale : "Sais-tu que je commence à me plaire ici... Quel calme tu sais manou, mon isolement, je le supporte dans la mesure où j'ai la paix. En détention il n'est pas prouvé que je l'aurais. C'est de mes réactions que j'aie peur... et la mentalité des prétendus truands est de plus en plus dégueulasse ! [...] dans mon isolement, il y a du bon et du mauvais... mais personnellement, je ne veux pas me plaindre... car il n'y a pas de motif à le faire." et achève sa lettre par des considérations paternelles pour sa fille peu assidue à l'école et pour laquelle il se fait du mouron : "Je vais savoir si Sabrina a été régulièrement à ses cours... je fais le vu que oui car si le cas contraire se présentait... pas de pitié cette fois-là... Mais que de souci peut représenter cette môme et quelle impuissance j'ai à la contrôler en étant ici !" Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine débordant de révération pour la corporation des infirmières et de regrettable détestation pour celle des journalistes. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Caen , Imprimerie Caron, 1939, 16x25cm, broché, 30p. Tiré à part extrait de Normannia Numéro 2-3 de 1939
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Paris, Perrin, Pour l'Histoire, 1984, in-8, broché, 283p. Bon état. Envoi de l'auteur.
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