Paris, Curmer, 1841. In-8, 3 feuillets pour le frontispice, le titre et la dédicace, xl pp., trois gravures. Bon état intérieur. Demi-chagrin brun d'époque (frotté, un mors fendu), nombreux tampons de l'O.R.T.F., Radio-France.
Reference : 18738
Tiré à part du célèbre ouvrage Les Français peints par Eux-mêmes.
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HUGO ET COMPAGNIE. 2009. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 474 pages.. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
"Grande première depuis l'élection de Nicolas Sarkozy : un président de la République tutoie les journalistes, et réciproquement ! Jamais on n'a autant glosé sur les rapports ambigus qu'entretiennent les médias avec le pouvoir. Journalistes et dirigeants semblent former une véritable "" caste "", ils sortent des mêmes écoles, fréquentent les mêmes restaurants ou clubs de sport. Copains, complices, amis et parfois amants, où est la limite ? Comment établir des liens professionnels indispensables tout en gardant la distance déontologique nécessaire, sans pour autant devenir un "" courtisan "" ? Cette connivence entre journalistes et responsables politiques jette chaque jour un peu plus le discrédit sur l'indépendance et l'objectivité des médias. Dans cet ouvrage, Bruno Masure nous livre avec humour et impertinence sa propre expérience de ces liaisons dangereuses à travers son vécu quotidien du choc des mondes médiatique et politique de 1973 à nos jours, de Pompidou à Sarkozy en passant par Giscard, Chirac et Mitterrand et leurs nombreux collaborateurs. Au fil des jours et des anecdotes, ce recensement précis et méticuleux nous dévoile les complicités plus ou moins avouables, les secrets, les amitiés et les inimitiés, les jalousies, les méchancetés, les petites lâchetés et les grandes trahisons de ces 35 dernières années. Mais Journalistes à la niche ? c'est aussi une plongée passionnante dans le parcours professionnel d'un journaliste, depuis le poste de stagiaire jusqu'au sacro-saint fauteuil de présentateur du 20h. On y découvre par exemple l'ambiance tragi-comique qui règne dans les rédactions à la veille des élections, quand les uns redoutent la charrette et que les autres espèrent une promotion. Le journal de bord d'une grande gueule intègre, parfois cabotin et irrévérencieux envers sa hiérarchie, mais toujours lucide, et qui ne s'exempte pas lui-même de tout reproche. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique"
Fleury-Mérogis 22 Septembre1976 | 21 x 29.50 cm | une page recto verso
Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du samedi 22 Septembre1976, 67 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis et privé de chaleur humaine, s'enthousiasme de toutes les visites qu'il reçoit au parloir, battant ainsi en brèche le mythe du bandit asocial et dénué de sentiments humains : "Et après cela on dira que je suis un sauvage ! non justement et les gens qui ont eu un contact avec moi, désirent me revoir. Cela m'a fait un immense plaisir et sais-tu la suite... elle va demander aussi pour te voir. Parait-il que je suis regretté par les infirmières "monsieur sourire" voilà le secret." Il a apprécié tout particulièrement la visite de l'infirmière de la prison de la Santé qui sera également leur témoin de mariage avec Jeanne Schneider et qu'il encense : "... une énorme surprise ! tu ne devineras jamais qui est venu me voir ! Mon infirmière de la santé... oui ma puce... cette charmante dame aux cheveux blancs que tu avais vu au parloir à la santé et qui doit être notre témoin à notre mariage [...] C'est une femme exceptionnelle, ancienne infirmière militaire et assez bien placée au ministère. Pendant mes 2 ans et demi à la santé je l'ai considérée comme une mère, cette femme est dévouée, que cela n'en est pas pensable. Malheur à celui qui toucherait un seul de ses cheveux." L'ennemi public N°1 en profite encore pour briser cette réputation de fauve sanguinaire qui lui colle à la peau : "Si les journalistes savaient que toutes les infirmières entraient seules dans ma cellule et en toute confiance, on serait loin du "fauve" et de la prise d'otages à la Buffet. Les infirmières ont toujours été sacrées pour moi. Elles sont intouchables comme pas mal d'autres personnes, mais cela les pédés de journalistes l'ignorent ; car ils ne sont pas dans mes pensées et c'est regrettable parfois." Jacques Mesrine le révolté se surprend à apprécier sa solitude carcérale : "Sais-tu que je commence à me plaire ici... Quel calme tu sais manou, mon isolement, je le supporte dans la mesure où j'ai la paix. En détention il n'est pas prouvé que je l'aurais. C'est de mes réactions que j'aie peur... et la mentalité des prétendus truands est de plus en plus dégueulasse ! [...] dans mon isolement, il y a du bon et du mauvais... mais personnellement, je ne veux pas me plaindre... car il n'y a pas de motif à le faire." et achève sa lettre par des considérations paternelles pour sa fille peu assidue à l'école et pour laquelle il se fait du mouron : "Je vais savoir si Sabrina a été régulièrement à ses cours... je fais le vu que oui car si le cas contraire se présentait... pas de pitié cette fois-là... Mais que de souci peut représenter cette môme et quelle impuissance j'ai à la contrôler en étant ici !" Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine débordant de révération pour la corporation des infirmières et de regrettable détestation pour celle des journalistes. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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, Paris, Pagnerre 1849, ptt in-8, demi-chagrin noire, tit. doré sur dos à quatre nerfs ornés de filets estampés à froid, tr. mouchetées, (rel. légt usée, qq. annotations au crayon), bon état, 256p.
Phone number : 01 43 29 46 77
Albin michel 2003 198 pages in8. 2003. Broché. 198 pages. Dans un avion qui le ramène de La Réunion Jospin confie ce qu'il pense réellement de Chirac. Rapporté le propos suscite la stupeur de celui qui vient de le proférer : C'était off. Les qualificatifs désobligeants appartenaient à cette litanie de confidences que les journalistes écoutent mais ne doivent pas répéter. Off les guérillas entre ministres Ferry contre Darcos Mer contre Lambert. Off Michel Rocard l'homme du parler vrai caché dans le jardin de l'Élysée. Off aussi les journalistes qui prêtent leur plume à l'un ou à l'autre et qui cornaquaient Noir ou Tapie. Au fil de sa carrière de journaliste politique à La Voix du Nord La Croix Le Monde et Le Nouvel Observateur Daniel Carton a relevé nombre d'exemples de cette connivence intéressée qui voit le silence des uns payé par les services des autres : un logement des voyages des places à l'Opéra ou à la Comédie-Française. Cette complicité faite de bronzage en commun sous le commode prétexte d'universités d'été voire plus si affinités et d'une subtile pratique du tutoiement scelle le pacte qui unit la France d'en haut . Daniel Carton pour sa part a choisi de se situer délibérément du côté de cette France d'en bas sans cesse manipulée et qui n'a pas le droit de savoir ce qui se chuchote off . La politique comme on ne la raconte pas
French édition - Le livre présente des marques de stockage et/ou de lecture sur la couverture et/ou les pourtours mais du reste en bon état d'ensemble. Expédié soigneusement dans un emballage adapté depuis la France
Albin michel 2003 198 pages in8. 2003. Broché. 198 pages. Dans un avion qui le ramène de La Réunion Jospin confie ce qu'il pense réellement de Chirac. Rapporté le propos suscite la stupeur de celui qui vient de le proférer : C'était off. Les qualificatifs désobligeants appartenaient à cette litanie de confidences que les journalistes écoutent mais ne doivent pas répéter. Off les guérillas entre ministres Ferry contre Darcos Mer contre Lambert. Off Michel Rocard l'homme du parler vrai caché dans le jardin de l'Élysée. Off aussi les journalistes qui prêtent leur plume à l'un ou à l'autre et qui cornaquaient Noir ou Tapie. Au fil de sa carrière de journaliste politique à La Voix du Nord La Croix Le Monde et Le Nouvel Observateur Daniel Carton a relevé nombre d'exemples de cette connivence intéressée qui voit le silence des uns payé par les services des autres : un logement des voyages des places à l'Opéra ou à la Comédie-Française. Cette complicité faite de bronzage en commun sous le commode prétexte d'universités d'été voire plus si affinités et d'une subtile pratique du tutoiement scelle le pacte qui unit la France d'en haut . Daniel Carton pour sa part a choisi de se situer délibérément du côté de cette France d'en bas sans cesse manipulée et qui n'a pas le droit de savoir ce qui se chuchote off . La politique comme on ne la raconte pas
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