Format moyen, couverture souple. 246 pages. Bon état 1963 NRF Gallimard. Coll le point du jour
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M. Vincent Huchette
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Dans ces deux œuvres, Perrault propose une double parabole de sa réflexion sur l’ordre du monde: d’une part sous forme spirituelle avec «Adam» et de l’autre, sous la forme apparemment naïve d’«Histoire ou Contes du Temps passé». Paris, Jean Baptiste Coignard, 1697. In-12 de (5) ff., 93 pp. et (1) p. de privilège, vignette de Coypel gravée par Simonneau en tête de chaque chant, notes manuscrites dans la marge inf. des pp. 2, 4, 5, 8. Plein veau brun granité, dos à nerfs richement orné, pièces de titre de maroquin rouge, coupes décorées, tranches mouchetées. Reliure de l’époque. 162 x 97 mm.
Edition originale la plus rare de Charles Perrault (1628-1703) parue en 1697, simultanément avec les Histoires ou Contes du temps passé et leur faisant pendant. Tchemerzine, V, 177; Conlon, Prélude, 8322. «Edition originale, très rare, de ce poème orné d’une vignette en-tête gravée par C. Simonneau d’après Coypel». (Debacker, 971). Au fil de la querelle des Anciens et des Modernes paraissent les quatre volumes des Parallèles des Anciens et des Modernes (1688 à 1697), où Perrault livre la somme théorique de ses positions en même temps qu’il propose une double parabole de sa réflexion sur l’ordre du monde: d’une part, sous forme spirituelle avec Adam ou la Création de l’homme, sa chute et sa réparation… (1697), et de l’autre sous la forme apparemment naïve des Contes ou Histoires du temps passé (1697). En bon courtisan et sachant l’intérêt que le roi portait aux écrivains de son règne, Perrault y exaltait la supériorité des auteurs modernes sur leurs devanciers. Boileau, Racine et quelques autres gens de lettres d’une solide culture, agacés par cet encens prodigué au souverain et par la faveur et les multiples charges, honorifiques et lucratives, dont bénéficiait Perrault, protestèrent avec ironie ou violence. La «querelle des Anciens et des Modernes» était ouverte, qui devait durer trois longues années. Cette lutte, qui passionna l’opinion, occasionna des discussions, des débats publics et des brouilles innombrables, fut marquée par une floraison d’ouvrages. Perrault débuta par quatre volumes intitulés Parallèle des Anciens et des Modernes, dans lesquels Boileau s’indigna, à juste titre, de voir Quinault mis au-dessus de Racine et le peintre Lebrun au-dessus de Raphaël. Ces contes font de Charles Perrault le créateur d’un genre littéraire, inconnu avant lui. Ecrits pour des enfants, ces récits ont charmé les contemporains et bientôt pris rang de chef-d’œuvre. Est-ce par l’originalité des sujets traités? Nullement! Ces récits, en qui de savants auteurs ont cru voir un reflet des contes d’Orient, comme ils ont rapproché les fées des péris, étaient déjà connus et répétés avec mille variantes par les nourrices à leurs marmots. «Qu’est-ce que ma Mère L’Oye, a écrit Anatole France, sinon notre aïeule à tous, et les aïeules de nos aïeules, femmes au cœur simple, aux bras noueux qui firent leur tâche quotidienne avec une humble grandeur et qui, desséchées par l’âge, n’ayant comme les cigales ni chair ni sang, devisaient encore au coin de l’âtre, sous la poutre enfumée et tenaient à tous les marmots de la maisonnée ces longs discours qui leur faisaient voir mille choses?» Ces «longs discours», d’autres, avant Perrault, avaient en vain tenté de les fixer. Notre grand conteur y a réussi. Il leur a donné leur forme concise, classique, définitive, celle d’une œuvre d’art. Une scène de la rue, un mur blanc, un morceau de charbon sont, depuis la plus haute Antiquité, les éléments de tous les graffiti, mais qu’un Callot ou qu’un Forain saisisse le charbon et l’œuvre d’art surgit! Quand La Fontaine avait écrit ces vers prophétiques: Si Peau-d’Ane m’était conté, J’y prendrais un plaisir extrême. Le monde est vieux, dit-on: je le crois; Cependant, Il le faut amuser encor comme un enfant! il y mettait une nuance d’ironie. Il marquait nettement que le conte n’était pas encore entré dans notre littérature. Il n’aurait plus osé écrire ces vers après Perrault, car on vit surgir alors une floraison, presque soudaine, de contes dus, non plus à des nourrices, mais à la fine fleur des dames de la cour et de la ville. Perrault est le chef d’école dont, deux siècles plus tard, Meilhac et Halévy (Barbe-bleue), Théodore de Banville (Riquet à la houppe), Armand Silvestre (Grisélidis) et d’autres s’inspireront pour en tirer des spectacles en prose ou en vers. En l’année 1697, Charles Perrault (1625-1703) livre ses deux plus rares éditions originales: Adam et Histoires ou Contes du temps passé. Dans ces deux œuvres, Perrault propose une double parabole de sa réflexion sur l’ordre du monde: d’une part sous forme spirituelle avec «Adam» et de l’autre, sous la forme apparemment naïve d’Histoire ou Contes du Temps passé. Superbe exemplaire à grandes marges conservé dans sa pure reliure de l’époque.
Trad. de l'anglais (États-Unis) par Charles Baudelaire. Édition d'Y.-G. Le Dantec, Bibliothèque de la Pléiade, n° 2, 1951, 1180 pages, rel. Peau, 105 x 170 mm ., jaquette légèrement défraîchie, sans rhodoïd, sans boîtier, état correct.
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Fort intéressant mémoires, rares en élégante reliure ancienne. Avignon, 1759. 1 volume in-12 de (2) ff. et 204 pages. Plein veau marbré glacé, dos lisse orné, tranches jaunes. Reliure de la fin du XVIIIe siècle. 162 x 85 mm.
Edition originale recherchée des « Mémoires » de l’auteur des Contes ou Histoires du temps passé, fort rare en élégante reliure ancienne. Tchemerzine, V, 188. Cette originale a été réimprimée en septembre 2010 par « Kessinger publishing ». Les Mémoires s’arrêtent après la rupture avec Colbert et furent publiées par l’architecte Pierre Patte. « Destinés à ses enfants, écrits avec une certaine candeur, ils révèlent des particularités curieuses sur Bernini et Riquet. » D’origine tourangelle, mais établie à Paris, la famille Perrault appartient à une haute bourgeoisie de robe de sensibilité moderne et janséniste dont les fils sont avocat (Jean), receveur général des finances (Pierre), architecte et médecin (Claude) ou docteur en théologie (Nicolas). Quant à Charles, s’il paraît suivre un banal cursus de futur robin (brillantes études littéraires au collège de Beauvais à Paris, licences en droit, et inscription au barreau en 1651), il rompt en réalité avec l’institution scolaire. Puis, on le voit s’essayer à célébrer les grands événements du royaume : odes sur la paix à l’occasion du traité des Pyrénées (1659), sur le mariage de Louis XIV et de Marie-Thérèse (1660), sur la naissance du Dauphin (1661), avec un talent littéraire discuté (par Racine) mais un succès politique croissant, au point d’apparaître bientôt au jeune roi et à ses administrateurs comme une recrue de choix pour mener à bien le projet culturel de remise en ordre de la France ; en même temps qu’il est commis à la surintendance des bâtiments royaux, Perrault qui vient encore de prouver sa science encomiastique (Discours sur l’acquisition de Dunkerque par le roi… 1663), est nommé, sur recommandation de Chapelain, secrétaire de la Petite Académie (future Académie des inscriptions été belles-lettres). Il est élu à l’Académie française (1671) dont il devient chancelier à la mort de Séguier (1672) et redéfinit les règles de fonctionnement. Son efficacité s’avère une nouvelle fois telle que, la même année, Colbert lui confectionne un office sur mesure (le contrôle général des bâtiments). A la mort de Colbert (1683), il est congédié de sa charge de contrôleur général et exclu de la Petite Académie par Louvois ; seulement resté directeur de l’Académie, il est de facto mis d’office, à cinquante-cinq ans, dans une retraite presque totale. Charles Perrault se consacre alors à l’éducation de ses enfants (il est veuf depuis 1678), mais surtout reprend et approfondit une réflexion religieuse (Épître chrétienne sur la pénitence, louange de Louis XIV protecteur de la religion catholique, 1683, ode Aux nouveaux convertis, 1685, etc.), qui s’avérera constituer le soubassement éthique de la querelle prochaine des Anciens et des Modernes. En témoigne sa consultation de deux religieux, anciens modérés, Bossuet et Huet, à propos de son Saint Paulin évêque de Nole (1686), épopée en six chants qui paraît suivie d’une épître à Fontenelle, Le Génie. Le 27 janvier 1687, la lecture publique du Siècle de Louis XIV de Charles Perrault, à la gloire des Modernes, fait éclater une querelle entre Anciens et Modernes, dont les enjeux dépassent les polémiques de leurs chefs de file respectifs, Boileau et lui-même. Elle se soldera d’ailleurs par la réconciliation (1694) de ceux qui n’étaient vraisemblablement que « différemment du même avis » (Boileau). Au fil de la querelle paraissent les quatre volumes des Parallèles des Anciens et des Modernes (1688 à 1697), où Perrault livre la somme théorique de ses positions en même temps qu’il propose une double parabole de sa réflexion sur l’ordre du monde : d’une part, sous forme théologique, La Création du monde (1691), devenu Adam ou la Création de l’homme, sa chute et sa réparation… (1697), et de l’autre sous la forme, apparemment naïve, de Contes en vers ou de Contes ou Histoires du temps passé (1691 à 1697). Fort intéressant Mémoires, rares en élégante reliure ancienne.
L’une des plus rares éditions originales d’un roman français du XVIe siècle dont aucun exemplaire n’est apparu sur le marché public depuis un demi-siècle. Paris, Matthieu Guillemot, au Palais en la gallerie des prisonniers, 1596. In-12 de (12) ff. titre compris, 288 ff. Déchirure au feuillet de titre sans manque, pt. manque de papier dans l’angle supérieur du f. 95. Plein vélin ivoire, dos lisse avec le titre manuscrit, tranches jaspées. Reliure de l’époque. 127 x 72 mm.
« Édition originale » (Catalogue Ambroise Firmin Didot année 1883, n°423) dont aucun exemplaire n’est apparu sur le marché public depuis un demi-siècle. Tchemerzine II, 187; Brunet, I, 805; Cioranescu, 3673; Gay, I, 440. Édition originale rarissime de ce roman à succès de la fin du XVIe siècle qui est loué par la critique moderne. Tchemerzine ne décrit que deux exemplaires, dont aucun en reliure de l’époque. Ce roman, cinquième et dernière partie des Aventures de Floride est complet en lui-même, se vend seul et porte un titre différent et individualisé (voir Tchemerzine I- 664-665). « Dans le ‘Cabinet de Minerve’ le récit romanesque s’unit à la réflexion « scientifique », aux descriptions d’œuvres d’art ». (Daniela Mauri). L’auteur y a rassemblé (sous la forme fictive de visiteurs introduits dans le Cabinet de Minerve pendant deux jours et une nuit, où des nymphes leur expliquent les objets qui s’offrent à leur vue) de nombreuses réflexions philosophiques, littéraires, historiques, religieuses et même scientifiques, des recettes et des observations diverses. Les amis de Béroalde (1556-1626) sont Pierre de L’Estoile, ancien élève de son père, et Nicolas Le Digne ; ses deux mécènes sont Pierre Brochard, sieur de Marigny, conseiller du Roy, à qui il dédie plusieurs ouvrages, et René Crespin. S’écartant à la fois des ligueurs qui règnent à Paris, et des partisans du roi de Navarre, il sert Henri III dans l’armée royale (de 1586 à 1588). C’est l’époque où il faut placer son abjuration du calvinisme et le début de la période la plus intense de son activité littéraire. En 1589, il s’installe à Tours, où la cour et le Parlement sont réfugiés (1589-1594), fréquente une série de poètes et d’esprits « curieux », parmi lesquels le poète Guy de Tours et le traducteur et écrivain Roland Brisset. Ecrivain très fécond, il nous a laissé une œuvre abondante et variée. Oublié pendant plus de deux siècles, dès la première moitié du XIXe, on redécouvre cet auteur talentueux. « Mais c’est seulement à partir de l'étude « pionnière » de V.L. Saulnier (1944) que la critique a heureusement commencé à redécouvrir cet auteur à multiples facettes. Esprit « curieux », s’intéressant à plusieurs domaines du savoir (mathématiques, optique, catoptrique, médecine, peinture, sculpture, alchimie, pour ne citer que les principaux), il incarne en effet de façon très efficace le « savant » typique d'une époque de transition entre la Renaissance et le Baroque. Sa production littéraire peut même passer pour l'exemple idéal des changements profonds qui s'opérèrent dans les conceptions de la connaissance au tournant entre le XVIe siècle et le XVIIe, passage d'un savoir encyclopédique à un savoir morcelé et non systématique. Auteur d'ouvrages en vers et en prose appartenant à des genres différents les uns des autres, il est à l'aise aussi bien dans la poésie lyrique, amoureuse, satyrique, que dans des textes d'inspiration morale, politique, « scientifique », philosophique (dans la lignée de Scève et de Du Bartas). Mais Béroalde fut aussi et surtout auteur de romans. Il révèle dès le début de sa carrière de romancier, une tendance à rendre plus ou moins chaotiques, miroitantes et « kaléidoscopiques » les structures fondamentales du genre : personnages très nombreux qui jouent à tour de rôle la fonction de narrateur, histoires multiples qui s'enchevêtrent, allure narrative labyrinthique, ce qui provoque souvent chez le lecteur un sentiment de dépaysement et presque de vertige. Béroalde aime aussi mêler entre elles les « matières » les plus disparates et l’on doit lui reconnaître la capacité de nous surprendre toujours, de réveiller constamment notre curiosité et de nous transmettre, comme à travers une véritable contagion, une passion pour la recherche de la connaissance sous toutes ses formes. Il est fondamental de remarquer que Béroalde adopte systématiquement, surtout au début de ses romans, mais aussi au cours du récit, un ressort narratif très efficace, emprunté peut-être à Rabelais, qui, dans le prologue de Gargantua, nous invitait à trouver la «substantificque mouelle » à l'intérieur de l' « exterieure apparence ». De même, Béroalde nous exhorte constamment à rechercher au-dessous de ce qu'il appelle tour à tour l'« escorce », la « feinte » ou l'« artifice » d'une narration apparemment légère ou même futile quelque chose de plus profond et précieux, s'identifiant pour lui avec le désir du savoir et la quête d'une perfection artistique qui lui échappe sans cesse, comme le démontre parfois, d'ailleurs, l'inachèvement conscient et voulu de quelques-uns de ses romans » (Daniela Mauri). C’est ainsi que dans le Cabinet de Minerve, le récit romanesque s’unit à la réflexion scientifique et aux descriptions d’œuvres d’art. L’une des plus rares éditions originales d’un roman français du XVIe siècle dont aucun exemplaire n’est apparu sur le marché public depuis un demi-siècle. Il est ici conservé dans sa reliure d’origine en vélin de l’époque, condition éminemment enviable, les deux seuls exemplaires cités par Tchemerzine étant en reliure postérieure. OCLC ne répertorie que 3 exemplaires dans l’ensemble des Institutions publiques du monde : B.n.F., University of Alberta et Princeton University.
Paris aux frais de l'auteur sans date (vers 1950)
RARE ENSEMBLE DE PUBLICATIONS SUR PARIS EN FACSIMILÉ AUTOGRAPHE, TIRÉES À PETIT NOMBRE. Ensemble de 10 volumes illustrés, en facsimilé autographe (vraisemblablement reproduits par ronéotypie), consacrés à l'histoire de Paris. Jean-Jacques Chaplin produisit quantité de ces petits ouvrages dont une vingtaine pour la série De quelques histoires merveilleuses des rues de Paris, et une vingtaine encore pour la série Le Vrai Visage de Paris. Si le tirage des premiers volumes, publiés aux frais de l'auteur à son adresse du 18 rue Guénégaud, ne dépassait pas les 500 exemplaires (300 pour la plupart des titres), Chaplin semble avoir progressivement trouvé son public : Deauville. Trouville, plus tardif, fut tiré à 1000 exemplaires. Aude (Paris) prit en charge l'édition à partir de 1952 ; en 1953, Chaillot parut avec une couverture de Valentine Hugo. Pour ces premiers volumes, Chaplin semble avoir réalisé lui-même certaines des illustrations ; mais il fait également appel au concours d'artistes, dont Marthe Flandrin, spécialisée dans l'art de la fresque, et le peintre et réalisateur serbe Mi a Popovi . Malgré sa productivité, on ne sait que peu de choses de l'auteur ; un Jean-Jacques Chaplin (Versailles : 1897 ou 1898 - Barbizon : 1972), époux de Jacqueline Bazaine, signe dans Je suis Partout deux articles sur les trusts du pétrole en 1935 et 1936. L'ensemble comprend : De quelques histoires merveilleuses authentiques ou secrètes des rues de Paris. Rue du Bac. In-8° (213 x 159 mm), [1] pl. - XXIV pp. - [1] f. - [1] f. bl., en feuilles sous couverture titrée et illustrée, liens de soie verte. Tirage limité à 300 exemplaires, celui-ci le n°168. Illustré d'un frontispice, d'une composition à pleine page et de quelques ornements. / De quelques histoires merveilleuses authentiques ou secrètes des rues de Paris. Le quai Malaquais. La rue Bonaparte.In-8° (215 x 159 mm), [1] pl. - XXIV pp. - [1] f. - [1] f. bl., en feuilles sous couverture titrée et illustrée, liens de soie bleue. Tirage limité à 300 exemplaires, celui-ci le n°66. Illustré d'un frontispice, d'une composition à pleine page et de quelques ornements. /De quelques histoires merveilleuses authentiques ou secrètes des rues de Paris. La rue Saint Dominique. In-8° (213 x 15è mm), [1] f. - [1] pl. - XXVIII pp. - [1] f. - [1] bl., en feuilles sous couverture titrée. Tirage limité à 500 exemplaires, celui-ci le n°407. Illustré d'un frontispice et de quelques ornements. / De quelques histoires merveilleuses authentiques ou secrètes des rues de Paris. Rue de Vaugirard. In-8° (213 x 157 mm), [1] f. bl. - [1] pl. - XXVIII pp. - [1] f. - [1] f. bl., en feuilles sous couverture titrée. Tirage limité à 500 exemplaires, celui-ci le n°80. Illustré d'un frontispice et de cartes et compositions in-texte. / De quelques histoires merveilleuses des rues de Paris. Le Quai Voltaire. La rue des Saints-Pères. In-8° (216 x 159 mm), [1] pl. - XXIV pp. - [1] f. - [1] f. bl., en feuilles sous couverture titrée, liens de soie jaune. Tirage limité à 300 exemplaires, celui-ci le n°75. Illustré d'un frontispice par Germaine Iwill et d'une composition à pleine page et d'ornements par Mi a Popovi . / De quelques histoires merveilleuses des rues de Paris. La rue du Cherche-Midi In-8° (217 x 158 mm), [1] f. bl. - [1] pl. - [1] f. - XVI pp. - [2] pl., en feuilles sous couverture titrée. Tirage limité à 300 exemplaires, celui-ci le n°52. Illustré d'un frontispice par Marthe Flandrin, et deux planches R. Lalau et Mi a Popovi . / De quelques histoires merveilleuses des rues de Paris. La rue Saint-André-des-Arts. La rue Hautefeuille. In-8° (213 x 151 mm), [1] pl - XX pp. - [1] f. - [1] f. bl., en feuilles sous couverture titrée. Tirage limité à 300 exemplaires, celui-ci le n°29. Illustré par José d'un frontispice et d'une composition à pleine page. / De quelques histoires merveilleuses des rues de Paris. La rue Mouffetard. La rue Lhomond. In-8° (214 x 155 mm), [1] pl. - XX pp. - [1] f. - [1] f. bl., en feuilles sous couverture titrée. Tirage limité à 300 exemplaires, celui-ci le n°69. Illustré par Louis Jaque d'un frontispice et de deux grands in-texte. / De quelques histoires merveilleuses des rues de Paris. Le Boulevard Saint-Michel. In-8°(214 x 158 mm) - XVI pp. - [1] f. bl., [1] pl. - [1] f., en feuilles sous couverture titrée. Tirage limité à 300 exemplaires, celui-ci le n°175. Illustré d'un plan et de quelques ornements. /De quelques histoires merveilleuses des rues de Paris. Deauville Trouville. In-8° (215 x 157 mm), [1] pl. - [1] f. - XXXII pp., en feuilles sous couverture titrée. Tirage limité à 1000 exemplaires (celui-ci le n°25), dont 50 hors-commerce.Illustré d'un frontispice et de nombreuses compositions in-texte par G. Maggiora. / Pour les ouvrages parus à l'adresse de l'auteur, plusieurs bibliothèques françaises recensent une unique plaquette dans leur fonds catalogué : bibliothèque de Moulins, bibliothèque du tourisme et des voyages (Paris), bibliothèque de l'Hôtel de Ville (Paris). Le fonds patrimonial Heure Joyeuse (Paris) en possède deux. Tous les titres présents dans ce lot sont toutefois absents de ces collections. La bibliothèque des Archives Nationales détient 25 opuscules (reliés en deux volumes) de la série Le Vrai Visage de Paris, mais aucun de la série De quelques histoires merveilleuses des rues de Paris. Enfin, la bibliothèque historique de la ville de Paris possède une collection importante des plaquettes de Chaplin, mais tous les titres présents ici sont absents de leur fonds, excepté La rue Saint-André-des-Arts. La rue Hautefeuille. Quelques décolorations aux couvertures.