Format d'un livre de poche.351 pages. 1992 la decouverte
Reference : 21794
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M. Vincent Huchette
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Yverdon 1787
Bon état Percaline muette ( fin XIXe, début XXe) 63 pages de texte servant à replacer chaque gravure dans le chapitre lui correspondant et la suite complète des 96 eaux-fortes de Duncker, dont le frontispice, destinées à illustrer le tableau de Paris. Cette suite est son oeuvre la plus célèbre. Elle est un des meilleurs témoins de ce que Grand-Carteret appelle sa "tendance pour le burlesque". On connaît de ce dessinateur-graveur fécond également de nombreuses pièces caricaturales dirigées contre la Révolution. Louis-Sébastien Mercier ne souhaitait pas voir son ouvrage illustré. Heureusement, Duncker est passé outre et sa suite gravée a donc paru sans l'assentiment de l'auteur . Gravure XVIIIe Tableau de Paris Mercier Duncker - largeur/hauteur :13x20 cm - poid : 380 g - nombre de pages : 63 et 96 p. - langue : Français
Neuchâtel 1784
Bon état Edition originale des deux premiers tomes de ce texte considéré comme la suite du tableau de Paris. Demi reliure d époque avec dos à nerfs orné. Littérature XVIIIe tableau de Paris MERCIER Louis Sébastien Edition Originale - largeur/hauteur :13x20 cm - poid : 470 g - nombre de pages : 206 & 218 p. - langue : Français
A Neuchatel de l’imprimerie de la Société typographique, 1784 tomes en 2 vol. in-8 de 239 pp. ; 256 pp. ; (2)-241 pp. ; (2)-229 pp., basane porphyre, dos lisse orné, pièces de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque). Edition publiée l'année de l'originale (pour les deux premiers tomes). Ouvrage faisant suite au Tableau de Paris. On y trouve toutes sortes de pensées et d'opinions : L'optimisme, de la fortune, du duel, des Confessions de J.J. Rousseau, Feuilles périodiques, etc. « J'ai contracté l'habitude de mettre par écrit tous les soirs, avant de me coucher, ce qui me reste de l'impression de la journée [.] Qu'il est doux de converser seul avec le bout de sa plume, son bonnet de nuit sur la tête ! ». Petit accident à une coiffe. INED, 3137 ; Quérard VI, 58 ; Bonnet, Louis-Sébastien Mercier, p. 478. N° de réf. du libraire 964
Trois volumes in-8°, demi-reliure d’époque, cuir clair, dos lisse orné de faux caissons (avec le titre et l’auteur en lettres dorées sur l’un d’eux), tome 1: 206 pages dont table, tome 2: 220 pages dont table et Avis de l’Editeur in fine, tome 3: 203 pages dont table.L’auteur est bien connu pour son célèbre TABLEAU DE PARIS et son non moins célèbreL’AN 2440, UN REVE S’IL EN FUT JAMAIS. Ici, dans MON BONNET DE NUIT, il s’explique dès son avant propos: “j’ai contracté l’habitude de mettre par écrit tous les soirs, avant de me coucher, ce qui me reste de l’impression de la journée. Ma plume est prête, & ce que j’ai vu,senti, ce que j’ai pensé, entendu, enfin le résultat de mes lectures & de mes conversations, tout se couche sur le papier”... Et qui ajoute un peu plus loin: “Comme j’aime ce genre d ‘écrire, je me plais à le continuer. Il faut qu’un auteur se paie d’avance de ses mains s’il ne veut pas se reduire au rôle d’un créancier abusé; car on ne reçoit quelque fois rien de ce public dédaigneux et frivole, qui nous juge si arbitrairement, et qui, soit qu’il nous loue ou qu’il nous déprécie, n’est jamais à notre mesure”... Malgré quelques très légères traces d’âge, nos 3 exemplaires peuvent être dits en ETAT TRES SATISFAISANT.
A Amsterdam, , 1782-1788. 12 tomes reliés en 12 vol. in-8, veau blond, dos lisse orné, pièces de titre en maroquin rouge et de tomaison en maroquin vert, tranches rouges (reliure de l'époque).
Édition complète et définitive.« Je vais parler de Paris, non de ses édifices, de ses temples, de ses monuments, de ses curiosités, etc. : assez d'autres ont écrit là-dessus. Je parlerai des moeurs publiques et particulières, des idées régnantes, de la situation actuelle des esprits, de tout ce qui m'a frappé dans cet amas bizarre de coutumes folles ou raisonnables, mais toujours changeantes. Je parlerai encore de sa grandeur illimitée, de ses richesses monstrueuses, de son luxe scandaleux... On a dans la capitale des passions que l'on a point ailleurs. La vue des jouissances invite à jouir aussi. Tous les acteurs qui jouent leur rôle sur ce grand et mobile théâtre vous forcent à devenir acteur vous-même ».La préface, datée du 8 octobre 1780, du Tableau de Paris peint assez exactement ce qu'il est et ce qu'il dessine. Le mérite n'est pas mince d'avoir réussi un pareil tour de force. Certes, Paris a inspiré de meilleurs livres, comme de plus grands historiens ; aucun n'a tracé un tableau plus vivant et plus varié d'une époque de son histoire.Bel exemplaire. Les faux-titres n'ont pas été conservés par le relieur. Lacombe, Bibliographie parisienne, 305.
A Nyon, en Suisse, De l’Imprimerie de Natthey &Compagnie, 1783. 6 vol. in-8 de (4)-II-314 pp., 316 pp., 307 pp., 272 pp., 288 pp., 304 pp., demi-veau moucheté, dos orné à nerfs, pièces de titre en maroquin rouge et de tomaison en maroquin vert (reliure du XIXe siècle).
Première édition très peu commune de cet essai de critique du Tableau de Paris de Louis-Sébastien Mercier.Texte principal de Louis-Sébastien Mercier accompagné des commentaires du libraire Jean-Louis Natthey (1743-1814).« Sous couleur d'y ajouter des réflexions de sa façon, un inconnu réimprima en 1783 tout ce qui avait paru du Tableau de Paris en six volumes, où l'intention de débiter le bien d'autrui paraît dans toute son effronterie naïve, car le texte de Mercier y tient presque toute la place, et les critiques qui servent de prétexte au larcin sont courtes, clairsemées et généralement ineptes. On peut en juger par ce fait, entre autres, que le « Solitaire » comme il s'intitule, reproche à Mercier le sujet même qu'il a choisi, l'étude du coeur humain étant, à ce qu'il lui semble, plus facile au village, où tout le monde se connaît, qu'à Paris où chacun vit dans une solitude relative (...) à la qualité du dénigrement on reconnaît sans peine qu'il n'est question que de déguiser maladroitement un contrefaçon pure et simple » (L. Béclard).R.M. Tecoz, L'imprimerie à Nyon au XVIIIe siècle, Musée Gutenberg suisse, 1966, n°3-4, p. 159-179) ; Léon Béclard, Sébastien Mercier, sa vie, son oeuvre, son temps, d'après des documents inédits, I, Avant la Révolution, 1740-1789, p. 629.