les catholiques et l'idée européenne au XX siècle. Format moyen, couverture souple.215 pages. Bon état 2007 CLD éditions
Reference : 21551
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1998 Chancelade La Clavellerie 1998 Un volume in°8 sous jaquette 553 pages LR23
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Éditions d'art Albert Skira, Flammarion, 1984, 3 vol. in-4°, 214, 221 et 220 pp, 375 illustrations en noir et en couleurs, index des noms cités, brochés, couv. illustrées, sous emboîtage illustré, bon état
Seconde édition de la trilogie consacrée par Duby à l'art du moyen âge occidental. — " (...) Après avoir qualifié ses trois premiers itinéraires d'« universitaire », d'« aixois » et de « braudélien », G. Duby place le suivant « sous l'invocation d'Albert Skira ». Le hasard se présenta sous la forme d'un coup de téléphone d'Albert Skira, « une belle nuit » en 1958. Skira lui exposa un peu plus tard son projet en détail à Genève. Il s'agissait « de présenter en une suite de très beaux livres les relations de l'œuvre d'art avec la société et la culture qui, d'âge en âge, l'avaient vu éclore, qui l'avaient reçue ou bien rejetée ». Il écrivit trois de ces volumes. Il les écrivit « dans la joie » : libéré « je pouvais écrire sur un autre ton, m'évader du petit monde universitaire où mon travail m'avait jusqu'alors à peu près confiné ». Ce furent “L'Europe des cathédrales (1140-1280)” et “Fondement d'un nouvel humanisme (1280-1440)”, publiés en 1966 et “Adolescence de la chrétienté occidentale (980-1140)”, édité l'année suivante. Il avait tenu à une périodisation brisant le carcan du siècle sans signification le plus souvent pour la culture et pour l'art..." (Jacques Le Goff, “Georges Duby (1919-1996)”, Cahiers de civilisation médiévale, 1997) — 1. Adolescence de la Chrétienté occidentale : Entre 980 et 1140 apparaît le plus grand sacre qu'ait jamais connu l'Occident. Il guide le peuple de Dieu dans sa marche vers un mirage, celui de la Jérusalem céleste, celui du Royaume dont les portes s'ouvriront au terme de l'histoire, et que les première sculptures monumentales voulurent figurer au seuil des abbatiales. – 2. L'Europe des Cathédrales 1140-1280 : L'Europe des cathédrales est celle d'un art que nous nommons gothique. Adossée aux universités naissantes, construite sur le savoir des maîtres en théologie, la cathédrale veut offrir du dogme une représentation totale, aussi bien par sa structure profonde que par l'imagerie qui, dans ses porches et sur ses verrières, se montre à la vue. – 3. Fondements d'un nouvel humanisme 1280-1440 : Dans l'Europe du XIVe siècle, que ravagent la guerre et la peste, les intentions et le langage de l'oeuvre d'art se modifient de manière fondamentale. La promotion des élites laïques enlève au clerc et au moine le monopole de l'acte artistique. Celui-ci va s'efforcer d'exprimer désormais les désirs, les rêves et les inquiétudes d'une noblesse.
Picard, 1991, gr. in-8°, 548 pp, préface de Pierre Riché, postface de Georges Duby, 15 pl. hors texte, 3 cartes dans le texte, biblio, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
Le siècle carolingien a été court. L'ordre politique et social se disloqua et sombra après 880. Ce naufrage ne peut abolir le projet de société que les clercs avaient élaboré. Dans ce schéma, la religion cimentait toute la construction sociale. Par le baptême reçu dans les premiers mois de la vie, l'enfant devient simultanément fils de l'Église et sujet de l'Empire. Tous apprennent le Notre Père et le Credo, symboles d'adhésion à la foi officielle. Les uns ont reçu la tonsure monastique ou cléricale et renoncé au mariage et au monde. Les laïcs se marient, mais désormais ils doivent choisir leur femme en dehors de leur parenté et la garder quoi qu'il arrive. Les nobles, qui ont reçu une éducation militaire et religieuse plus soignée, comme l'a décrite la princesse Dhuoda, conduisent les affaires du monde et font la guerre. Ces grands échappent à l'autorité de leur curé, qui s'exerce sans partage sur les paysans de sa paroisse. Pour eux, la dîme ; messe et repos obligatoires, le dimanche ; communion aux grandes fêtes après des jours de jeûne et de pénitence. L'évêque, le comte et les missi surveillent la pratique. Les récalcitrants sont soumis à la pénitence publique ou excommuniés. Cet aspect totalitaire et coercitif s'avère le plus déplaisant de la chrétienté carolingienne. Mais les germes d'évolution apparaissent. Le développement du culte des saints et des reliques, des pèlerinages, les premières étapes de la piété mariale, constituent autant d'amorces qui s'épanouiront plus tard. Encore fragiles, mais riches de promesses, les balbutiements d'une spiritualité du mariage, les progrès de la confession, la pratique de la communion plus fréquente, autant de germes d'une piété laïque plus personnelle et plus autonome. La chrétienté carolingienne est bien la mère encore rude de la chrétienté médiévale, qui deviendra plus humaine et plus raffinée. Charlemagne apparaît dans la mémoire des hommes l'idéal du prince catholique et son empire, le modèle de la société chrétienne. Il faut attendre saint Louis, pour que les hommes conçoivent un roi plus chrétien et une société plus évangélique. (4e de couv.) — "C'est une fresque neuve de la société du haut Moyen Age que nous propose J. Chelini dans cette publication reprise de sa thèse soutenue en 1974. On sait que les sources de cette haute époque permettent davantage de se faire une idée de la vie des clercs et des moines. Mais le peuple laïc, celui des 'conjugati' que les clercs tenaient quelque peu en suspicion d'imperfection, y apparaît en filigrane. J. Chelini s'est attaché à faire revivre dans ses motivations profondes l'homme de ce temps : le peuple des baptisés, le mariage, les pratiques religieuses, « la solidarité des mérites » au moment du passage dans l'au-delà. On reconnaîtra que le laïc du VIIIe-IXe siècle mène une vie encadrée par la religion. L'ouvrage est important pour la sociologie religieuse autant que pour l'histoire des institutions chrétiennes. On voit se dessiner le projet carolingien d'une 'christianitas' rassemblée par l'empereur chrétien, mais dont la conduite finit par échoir aux évêques. Une communauté unanimiste en principe, régie par le modèle de la royauté davidique et de la loi ancienne, où est déjà en germe la chrétienté à venir. Les Carolingiens, comme le rappelle G. Duby, ont jeté les fondements de la culture européenne. Une lecture jamais fastidieuse." (Roland Minnerath, Revue des sciences religieuses, 1994)
Mazenod 1956 in4. 1956. Cartonné. 4 volume(s). Les écrivains célèbres 3 vols Tome I: Antiquité - Chrétienté médiévale - Orient frontispice composé par Edouard Pignon 359 pages; Tome II: L'Europe Médiévale - La Renaissance - L'Europe classique frontispice composé par Jacques Villon 355 pages; Tomes III: Le XXème siècle frontispice de Raoul Dufy 455 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc et en couleurs. + Les philosophes célèbres 457 pages
Bon Etat de conservation couvertures un peu défraîchies intérieur propre