grand format cartonné. 311 pages. Illustrations n/b et couleurs. Très bon état. Une expédition par mondial relay pourra vous être proposée 1995 Charles Corlet
Reference : 17900
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M. Vincent Huchette
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France
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Atelier d'expression artistique et artisanale d'Al 1977 Alençon. grand in8. 1977. en feuilles sous chemise. Edition originale tirée à 199 exemplaires sur papier pur chiffon vélin d'Arches Bon Etat intérieur propre
Lgf/livre de poche / Le livre de poche 1991 poche. 1991. Broché. 541 pages. Judith-Rose est le second volet de La Dentellière d'Alençon. Nous sommes maintenant en 1855. Six générations se sont succédé. Les deux branches issues de celle qu'on appelait la petite Gilonne se trouvent l'une à Genève et l'autre dans la ville qui a donné naissance au fameux point . Et c'est ainsi qu'un beau matin de mai Judith-Rose la petite huguenote débarque escortée de ses deux cousines-chaperons chez les très catholiques Beaumesnil qui dirigent la fabrique de point.Elle ne reviendra pas à Genève. Trop de liens vont l'attacher à la France. Entre Alençon et Bayeux hauts lieux de l'art dentellier entre la cour de l'impératrice Eugénie et les expositions universelles son destin se joue cependant que de grands événements se préparent : la guerre de 1870 les débuts de la mécanisation. Ses amours ses joies ses peines forment la trame de ce roman qui perpétue grâce au considérable travail de documentation de Janine Montupet et à l'ingéniosité de son intrigue romanesque l'histoire de cette dentelle qui faisait battre le c?ur des dames rendait aveugles à force de travail les petites ouvrières et qui valait sous Louis XIV plus cher que le diamant Bon Etat intérieur propre
A Alençon, chez Malassis le jeune, imprimeur, place du Cours. An XIV - 1805 - Suivi de : Supplément à l'histoire d'Alençon. Alençon, De l'Imprimerie de Poulet-Malassis, 1821 ; 2 ouvrages en un volume in-8°, demi-basane fauve, nerfs, fleurons dorés, non rogné (Reliure fin XIXes.) "A - 2 ff., 239 pp. pour le 1er titre. EDITION ORIGINALE parue anonymement. Dans l'avant-propos l'abbé Gautier dit avoir entrepris de dégager des Mémoires Historiques et des manuscrits de P.J. Odolant Desnos une note claire et précise sur Alençon. """" Gautier a vieilli, il s'est assagi, c'est à peine si sa plume se trempe de quelque ironie pour railler le zèle excessif, cruel, des catholiques alençonnais du XVIe siècle contre les huguenots brûleurs d'images ; il note avec une satisfaction sincère que dans cette ville """" la Révolution n'a point occasionné autant de malheurs que dans beaucoup d'autres endroits. Il a même un mot aimable à l'adresse de Napoléon """" protecteur des Sciences """". Ce n'est pourtant point de sa part vile flatterie de courtisan """". En effet peu après, chargé de prononcer un sermon pour l'anniversaire de la bataille d'Austerlitz, il retrouvera son indépendance en clamant """" Assez de victoires, Seigneur, assez de victoires, nous en avons assez ! """" Rousseau p. XIII - XIV. - C.E.B.A. 18 - Frère II, 13. B - 1 f., 175 pp., - 2 planches hors-texte gravées sur bois par GODARD d'Alençon : Cathédrale de Sées, Hôtel de la Préfecture. EDITION ORIGINALE du supplément, donné par Poulet-Malassis (Augustin-Jean-Zacharie). L'abbé Gautier était alors chapelain de Bicêtre. J. Darquelais, dans La Maison des sept péchés. Flers 1934, note que c'est à son apostrophe """" Assez de victoire """" que Gautier dut son affectation dans cet établissement. Le Préfet avait jugé le prêtre un peu trop original et pensait que sa place se trouvait parmi les fous de Bicêtre. Fondé en 1770, par Julien, intendant d'Alençon, Bicêtre était destiné à recevoir les aliénés mais aussi les mendiants, les vagabonds, les mauvais sujets. En 1831 l'établissement deviendra hospice départemental des aliénés et infirmerie des prisons. L'abbé Gautier mourut en 1829, seul, dans sa maison de la rue de l'Ecusson. En tête de volume sont reliées 6 pp. calligraphiées : Extrait du Journal du département de l'Orne. 20 nov. 1806. Sur une histoire d'Alençon qui a paru cette année par Louis DUBOIS. Jointes aussi 2 gravures sur bois à toutes marges : l'hôtel de Ville d'Alençon et l'Eglise Notre Dame d'Alençon (vers 1820 ?). bois de GODARD fils. Ces deux volumes sont rares, surtout réunis et tous deux en premier état. Poulet-Malassis a réimprimé en 1821 un nouveau titre (à son adresse et faussement daté 1805) pour écouler les invendus de la première édition de Malassis le jeune (voir C.E.B.A. n°17)."
Lisieux, Imprimerie de F. B. Mistral, Paris, Barbou, s.d. (1788) in-4, [2] ff. n. ch., lxxv pp., 331 pp., [4] ff. n. ch., avec 5 tableaux dépliants hors texte (2 réparés), déchirure au f. 45-46, sans perte de lettre ; en début de volume ont été placées les pp. 37-52 d'un autre texte relatif à l'assemblée de la généralité d'Alençon en août 1787 (édition d'Alençon, Malassis), broché sous couverture factice postérieure de papier bleu.
La généralité d’Alençon, qui prit le nom de Moyenne-Normandie, comprenait le département actuel de l’Orne et une partie de l’Eure et du Calvados. Elle se divisait en neuf élections, qui formèrent ensuite sept arrondissements, Alençon, Bernay, Lisieux, Conches, Verneuil, Domfront, Falaise, Argentan et Mortagne. L’assemblée provinciale fut convoquée à Alençon, chef-lieu de la généralité, pour la session préliminaire d’août; mais elle exprima le vœu de se réunir à l’avenir à Lisieux, et la session de novembre s’y tint en effet. Le président de l’assemblée, M. de La Ferronnays, évêque-comte de Lisieux, fut sans doute pour beaucoup dans ce changement, qui devait faire de sa ville épiscopale le chef-lieu de la province. Lisieux avait, outre son évêché, de véritables titres à cette préférence; située au milieu de la partie la plus riche et la plus peuplée de la généralité, cette ville était en communication facile avec Paris, Rouen et Caen, tandis qu’Alençon, occupant le sommet d’une sorte de triangle, se trouvait loin de tout le reste. Le maire d’Alençon, M. Pottier du Fougeray, défendit les droits de sa ville, mais il ne put changer le vote.Frère II, 422. Exemplaire de la municipalité de Maison-Maugis (Orne), avec ex-libris manuscrit. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT