Paris, Presses de la cité (collection "Un mystère" n°369), 1957. In-16, broché, couverture illustrée, 186 pages.
Reference : 84090
Bon état. Pli de lecture au dos et qqs frottements aux bords des plats. [MI-12]
Librairie Pique-Puces
Alix Geysels
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BUREAU DU JOURNAL. 29 OCTOBRE 1992. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 48 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 629.2-Automobile
Sommaire : Vis-a-vis De Dion : la preuve par deux - Images de saison : la chasse aux épaves, Presse a collecter : l'outil des tubulures de frein - Clés Surpans : Peugeot avant Metrinch ?, Enchères a Fontainebleau le 18 octobre : un marché repositionné Classification Dewey : 629.2-Automobile
Paris, Robert Laffont, 1992, in-8, 242pp, broché, Très bel exemplaire! 242pp
LARIVIERE. AOUT 2003. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 82 pages. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 629.1-Aviation
Classification Dewey : 629.1-Aviation
Presses de la Cité Coll. Un Mystère n° 369. 1957. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos frotté, Intérieur frais. 186 pages.. . . . Classification Dewey : 843.0872-Le roman policier
Traduit par Andrée Meyniel. Classification Dewey : 843.0872-Le roman policier
1 lettre autographe signée de 2 ff. (format 21,5 x 16cm ) avec cachet de cire et cachet postal "Dijon" : [ Belle L.AS. datée du 11 mai 1790, adressée à Madame Brenet Religieuse Bernardine a l'Abbaye du Lieu-Dieu à Beaune ] "Dijon, 11 mai 90. Il ya déjà longtemps que je ne t'ai donnée de nouvelles tu penses peut-être que je suis indifférent à en recevoir des tiennes [... ] J'avais des affaires comme tu le sais je t'apprendrai que lundi 3 de ce mois j'ai soutenu mon dernier examen. Tu va me dire que je m'en suis tiré avec les Etrivières, pas du tout ma petite poule j'ai été complimenté et comblé d'éloges si bien que sans délibérer et sans me faire retirer on m'a prodigué des louanges. Il faut avouer que l'on a bien peu ménagé ma modestie. Quoiqu'il en soit, ces messieurs ont eu la bonté d'être content de la preuve que je leur ai donné de mes talents il n'y a eu que moi de mécontent [ ... ] Je serais très fâché de n'avori pas encore une thèse à soutenir pour me dédommager. Cette thèse sera publique à l'hôtel-de-ville en présence de tous les officiers municipaux de cette ville. Juge si je vais la travailler [...] J'appris de Moissey lorsque j'y allai que ma tante Thérèse avait fait une donation [... il explique ensuite que de son côté il n'a fait aucun arrangement avec son père "parce qu'il ne veut s'engager à rien" : ] "il a bien eu tort car il est presque sans le sou à présent et j'ai bien eu des maux pour me faire aggréger cette année au collège des médecins de Dijon. J'oublie de te dire que mon père et mon frère l'aîné viendront à ma thèse. Je voudrais que depuis Dijon ils voulussent faire le voyage de Beaune ; je tâcherai de les y décider. On songe actuellement à la formation des départements et cette semaine on aura une confédération de toute la [ milice ? ] de Bourgogne : la ville sans cela [ serait de reste ? ] presque tous les gens riches et aisés se sont [... ] à leur Campagne, il y avait évidemment deux partis celui des Enragés ou démagogues outrés a été le triomphant tout cela je l'avoue n'est pas amusant quoique je sois neutre fort heureusement. Je suis cependant faché de bien des choses. Adieu ma petite donne moi de tes nouvelles et ne m'oublie pas auprès de Mde [ ... ] et et Mde sa soeur [ ... ]. Ton ami Brenet"]
Très intéressante lettre attribuable au médecin et futur député Henry Catherine Brenet (1764-1824). Né à Moissey près de Dôle, Henry Brenet avait suivi les cours de la faculté de Besançon, il vint achever ses études médicales à Paris, où il fut reçu docteur en médecine avec l'éloge de ses maîtres Louis, Vicq d’Azyr et Portal. S’étant établi en 1790 à Dijon, ainsi qu'il le précise dans sa lettre, il s'opposera aux Montagnards, et sera enfermé pendant la Terreur au château de Dijon. Dans la présente lettre, il se présentait prudemment comme "neutre" mais dénonçait les Enragès et les "Démagogues outrés". "Son insouciance apparente trompa ses gardiens, et il profita de la sécurité qu’il avait su leur inspirer pour s’échapper en escaladant une muraille" ; mais, informé qu’une épidémie venait de se manifester dans les hôpitaux de Dijon, il n’hésita pas à soigner les malades, et cette action lui valut la liberté. "Dès lors Brenet fut placé par l’opinion au rang des premiers praticiens de Dijon" (Michaud, V, 472). Abbaye cistercienne de moniales dite "abbaye du Lieu-Dieu" était située sur le territoire de la commune de Marey-lès-Fussey (au nord de Beaune). Bon état (la signature de Brenet visible sur le reste de papier contrecollé au cachet de cire).