P., France-Empire. 1972. in-8°, 317 pp., illustrations n&b, broche, couv., jaquette illustree.
Reference : 22776
Bon etat (qq. cachets). [109B-1]
Librairie Pique-Puces
Alix Geysels
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France-Empire. Non daté. In-8. Relié. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 317 pages - quelques planches photos en noir et blanc hors texte. Jaquette légèrement déchirée en coiffes.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 923-Politiciens, economistes, juristes, enseignants
Classification Dewey : 923-Politiciens, economistes, juristes, enseignants
France-Empire, 1972, pt in-8°, 317 pp, 8 pl. de photos hors texte, broché, jaquette illustrée, bon état
D’allure inoffensive avec son allure d’employé débonnaire, intelligent, issu des classes éduquées de l’Allemagne, le nazi Albert Speer semble bien différent des psychopathes qui gravitaient autour d’Hitler. Et pourtant, il ne faut pas fier aux apparences. Celui qu’on présente souvent dans les livres comme l’architecte préféré d’Hitler, a su manipuler ses juges à Nuremberg pour sauver sa tête par une habile manipulation. Mais son exploit ne diminue en rien sa responsabilité. Certains livres se plaisent à lui trouver des excuses et à le dissocier des autres nazis... — "(...) Ce n'est pas sur son rôle comme ministre de l'Armement que fut jugé Albert Speer, mais sur la manière dont il utilisa la main-d'oeuvre réquisitionnée pour l'effort de guerre. (...) Apolitique, mais patriote, tendu vers la victoire, Speer ne s'est pas embarassé de questions inutiles. Les usines devaient tourner, il les a fait tourner. Il aurait voulu supprimer le fléau que représentait Hitler. Il ne pouvait pas vouloir la défaite de l'Allemagne. N'est-ce pas sur cette confusion que repose aussi bien le procès de Nüremberg que la résignation d'Albert Speer ?" (4e de couverture)