Paris, Maison de la Bonne Presse (" Romans populaires, n° 128 "), s.d. (ca. 1920). in-12, 93 pages, broche, couverture illustree (façon TARDI !).
Reference : 18731
Rousseurs. [BL-J]
Librairie Pique-Puces
Alix Geysels
07 80 01 72 79
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Paris Lundi 11 septembre [1911], 13,5x18cm, 5 pages sur un double feuillet et un feuillet libre.
Lettre autographe signée de Pierre [Louÿs], adressée à Georges Louis.Cinq pages rédigées à l'encre violette sur un double feuillet et un feuillet libre. Un article de presse encollé sur le recto du feuillet simple.Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Belle lettre adressée à son frère Georges Louis avec qui Pierre Louÿs entretint une très intime relation et qu'il considéra comme son propre père. La question de la réelle identité du père de Pierre Louÿs fascine aujourd'hui encore les biographes:«Son père, Pierre Philippe Louis, [...] avait épousé en 1842 Jeanne Constance Blanchin, qui mourut dix ans plus tard après lui avoir donné deux enfants, Lucie et Georges. En 1855, il se remaria avec Claire Céline Maldan, et de cette union naquit, en 1857, un fils, Paul; puis, en 1870, notre écrivain, qui reçut les prénoms de Pierre Félix. Cette naissance tardive, les différences de caractère entre le père et le fils, la désaffection du premier à l'égard du second, la profonde intimité qui régna toujours entre Louÿs et son frère Georges, tout cela a fait soupçonner à certains biographes et critiques que ce dernier était en réalité le père de l'écrivain. La relation exceptionnellement intime et constante que Pierre et Georges maintinrent entre eux toute leur vie, pourrait être un argument en ce sens. Bien entendu, on n'a point découvert de preuve irréfutable, et on n'en découvrira sans doute jamais. Il n'empêche que certaines lettres [...] sont assez troublantes. En 1895, par exemple, Louÿs écrit gravement à son frère qu'il connaît la réponse à «la question la plus poignante» qu'il puisse lui poser, question qu'il a «depuis dix ans sur les lèvres». L'année suivante, en plein triomphe d'Aphrodite, il remercie Georges avec effusion et termine sa lettre par cette phrase: «Pas un de mes amis n'a un PERE qui soit pour lui comme tu es pour moi.» Arguant de l'étroite intimité de Georges et de Claire Céline durant l'année 1870, et de la jalousie que le père ne cessa de montrer vis-à-vis de son fils cadet, Claude Farrère n'a pas hésité à conclure en faveur de Georges Louis. Et que penser de cette dédicace de Louÿs à son frère sur un japon de l'originale dePausole: Pour Georges, son fils aîné / Pierre.» (Jean-Paul Goujon,Pierre Louÿs) Pierre Louÿs commente dans cette lettre la visite de Thomas Edison à Paris: «Edison est en France. Vers la fin du mois dernier, un journaliste l'a interrogé. Je regrette de ne pas avoir conservé l'article.» L'écrivain se lance alors dans un véritable dialogue, d'après ses souvenirs dudit article, paraphrasant l'inventeurà la manière d'un témoin ayant lui-même assisté à l'interview : «A la simple question «Etes-vous content de votre voyage?» Edison a répondu par des phrases aimables, et tout de suite, de lui-même il a amis la conversation sur les sujets: Monoplan. Guerre. Il a dit (je ne répète que de mémoire le sens de ce que j'ai lu:) Il a dit en substance: «Vous n'êtes pas encore assez emballés sur la valeur de votre nouvelle arme: elle est formidable. Vous prenez les aéroplanes pour des éclaireurs. Dites d'abord: des combattants. Des hauteurs où le monoplan évolue facilement aujourd'hui, il y a une puissance militaire effective, mais surtout une puissance morale incalculable.» Il s'expliquait ainsi: « Donnez des grenades à un aviateur qui les laissera tomber. Même si elles sont peu dangereuses, même si elles touchent rarement leur but, tout l'armée ennemie se débandera comme un troupeau de moutons sous le vol de l'aigle. Cinq, six grenades tombant du ciel provoqueront une terreur panique. Rien n'est effrayant pour une foule comme un péril qui vient d'en haut.»» Cette «remarquable interview» relatée par l'écrivain qui trouve que «la théorie est juste», souligne le caractère visionnaire d'Edison qui semble ici relater les faits de la Première guerre mondiale à venir. L'érudit Pierre Louÿs éclaire cette théorie d'«Edison prophète» de sa culture classique:«Elle concorde avec les vieilles phrases sur les limites de la bravoure: le Gaulois craint seulement que le ciel ne tombe... [...] Elle concorde avec l'ancien principe de la défensive par la tour, le créneau et le mâchicoulis [...] Encore la tour est accessible; may l'aviateur qui vole à 1500 m, il est invulnérable comme un dieu de l'Iliade.» - Photos sur www.Edition-originale.com -
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PARIS MATCH. 4 juin 1992. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 122 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Christian Lacroix : je survis a Paris parce que Arles existe, Joan Collins : c'est en France que j'ai embrassé un garçon pour la première fois, Michel Boujenah : c'est la première fois que je pose mes valises, Tapie dans la mire, 52 jours au gouvernement, et la menace judiciaire l'oblige a démissionner Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
EDITION FRANCAISE ILLUSTREE. 8 JANVIER 1916. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 17 à 32. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918
Sommaire : C'est en France que les petits serbes viennent chercher un refuge pendant quer leur patrie est en exil, Des ministres qui ne sont pas d'accord, La vitrine d'une librairie a Lausanne, La vie dans les secondes lignes : des héros sans gloire, Les dragons, chasseurs et cuirassiers sont en selle Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918
AU BUREAU DE LA REVUE DES DEUX MONDES. MAI 2002. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 192 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : QUI EST LA FRANCE. MICHEL CREPU. Rendez-vous à Saint-Florent,une conversation avec Julien Gracq. PIETRO CITATI. « Bouvard et Pécuchet ». MAURICE LEVER. Figaro, qui êtes-vous ?ANTHONY ROWLEY. L’esprit de vertige. CHARLES DANTZIG. Nous et les autres et les autres et nous. PIERRE MANENT. L’héritage libéral. MARC FUMAROLI. La question des langues en Europe. CÉCILE GUILBERT. Le corps français. JULIA KRISTEVA. Colette, une sensation. ALBERTO MANGUEL. Inventaire très personnel. GREIL MARCUS. Paris, trop tard. PAUL HAZARD. Esquisses et portraits : Montesquieu. BERNARD COTTRET. Mon De Gaulle. MARC LAMBRON. Vichy, une Atlantide de la mémoire. PÉTER ESTERHAZY. La forme même. ALAIN FINKIELKRAUT. Qu’est-ce qu’un beauf ?ERYCK DE RUBERCY. Heidegger, philosophe pour la France ?MICHEL CRÉPU. De si beaux exemples HENRI MENDRAS. « Nous sommes les mieux armés pour la mondialisation .FRANÇOIS TAILLANDIER. Souvenirs de la Révolution européenne. DOMINIQUE DE GREEF. Les 18-24 ans, bien loin de Mai 68 ?TAHIR SHAH. Lettre de Londres. LOUIS MURON. Un maire, Édouard Herriot. JEAN-PIERRE RIOUX. Le consensus tacite. JEAN GUILAINE. Les premiers paysans Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues