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[BECQUE Maurice de] -
FARRERE Claude
La Bataille.
Édition décorée d'un frontispice à l'eau-forte et de compositions dessinées et gravées sur bois par Maurice de Becque.Exemplaire numéroté sur papier de Rives.Paris, Georges Crès et Cie. Collection Les Maitres du Livre - 1923 - VI et 364 pages.Reliure demi-chagrin brun de l'époque. Dos lisse avec titre, auteur et date en pied dorés. Décor mosaïqué en couleurs. Tête dorée sur témoins, non rogné. Couverture ornée de vignettes et dos conservés. Dos légèrement insolé avec petits frottements sans gravité. Infimes piqures. Bon état. Format in-8°(20x16).
Reference : 17304
BECQUE Maurice de
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Bataille de Jemmapes.
Finot & Bougeard, (2ème quart du XIXème siècle) à vue : 17.5 x 26 cm - cadre : 30 x 38 cm , cadre contemporain en bois verni.
Lithographie d'après Horace Vernet (1789-1863) par Charles Beyer (1808-1873) figurant la Bataille de Jemmapes. Le tableau original peint par Vernet fait partie d'une série de quatre grands tableaux de bataille commandés par le duc d'Orléans avant de devenir Louis-Philippe, roi des Français.Bien qu'ils aient été peints pendant la période de la Restauration des Bourbons, les quatre tableaux dépeignent les victoires françaises durant les épisodes de guerres révolutionnaires et napoléoniennes. Le duc avait combattu avec les armées de la République française nouvellement établie à Jemappes et à Valmy, et tenait à manifester ses sympathies républicaines. Les tableaux ont été accrochés en bonne place au Palais-Royal à Paris et ont servi de propagande pour célébrer la gloire militaire française. Réalisés sur une période de cinq ans, les tableaux sont La bataille de Jemappes (1821), La bataille de Montmirail (1822), La bataille de Hanau (1824) et La bataille de Valmy (1826). Endommagés par le feu lors de la révolution de 1848, ils ont été restaurés par Vernet lui-même.L'oeuvre originale d'Horace Vernet est conservée aujourd'hui à la National Gallery de Londres.
Relation de la bataille de Champaubert (10 février 1814)
S.l., s.d. (1914-1916) grand in-folio (56 x 40 cm), en feuilles.
Cet ensemble d'amateur, mêlant texte manuscrit (écriture fine et lisible), illustrations et coupures de presse, se compose de la façon suivante :I. Six bifeuillets chiffrés [Planche] 7-13, comportant chacun un titre, un exposé et/ou une iconographie :1. Relation de la bataille de Champaubert (planche 7) : [2] ff. de texte, plus un encart volant sur le monument commémoratif érigé dans la localité.2. Charge des cuirassiers du général Bordesoule (planche 8) : une page dde texte, avec une petite carte contrecollée et en plus une gravure de Pourvoyeur d'après Langlois, contrecollée.3. Convois de prisonniers de guerre et de blessés français à Paris, mars 1814 (planche 9) : une page de textes (extraits de Houssaye, des souvenirs du peintre Lamy, et des Mémoires d'un bourgeois de Paris), avec 3 cartes postales contrecollées.4. Bataille de Montmirail. Le champ de bataille (planche 10) : une page de texte sur trois colonnes agrémenté de 6 cartes postales et accompagné d'une grande gravure lithographiée par Motte, d'après Marin Lavigne.5. Les Gardes d'honneur à la Bataille de Montmirail (11 février 1814) (planche 12) : une page de texte, avec 3 cartes contrecollées, dont deux en couleurs, un feuillet volant (Les Marie-Louise de la campagne de 1814) et une grande photogravure à double page.6. Les Cosaques aux armées alliées, Campagne de France (planche 13) : une page de texte sur deux colonnes (extrait d'un texte de Jean Richepin, daté de 1916), et 2 illustrations dont une en couleurs.II. Un feuillet isolé , non chiffré : 7. Regroupant deux extraits de presse (le numéro 284 du Journal politique du département de l'Aube, 19 septembre 1822 ; un extrait du Journal de l'Aube, même date). Sur des cérémonies commémoratives des déprédations de 1814 dans le département.Il semble que l'on ait affaire à un pot-pourri composé à partir de pièces diverses par un amateur de la Campagne de 1814. La numérotation des parties montre qu'il nous manque plusieurs éléments. Faut-il appliquer à l'ensemble ou seulement à la planche 7 ce qui est dit dans le feuillet isolé sur le monument ? En voici le texte : "Ce qui précède a été extrait d'une série d'articles (il y en a 13 ou 14) intitulés ''Il y a cent ans : autour de la bataille de Montmirail" de Edgar Grosjean (...) publiés entre le courant de janvier et la fin de février 1914, à l'occasion de la restauration de la colonne commémorative". En réalité, le texte de Grosjean parut d'abord en 1900 à l'adresse de Châlons-sur-marne, et connut ensuite plusieurs rééditions (1905, 1908). Il est possible que l'ouvrage n'ait fourni que les explications de la planche 7. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Scène de bataille
(XIXème siècle.), 48 x 64.5 cm ,
Impressionnante scène de bataille au fusain et rehauts de blanc figurant des soldats de l'Ancien Régime chargeant à la baïonnette.Le champs de bataille offre à la vue un amoncellement de corps, tandis que les vivants s'affairent à faire feu ou à déplacer un canon parmi la cohue de la bataille. L'auteur souligne avec finesse les coups de feux et la fumée environnante par des rehauts de blanc. Ce même blanc permet également de mettre en valeur un cheval ruant au centre de la composition.
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Une Voix de Waterloo. Histoire de la bataille livrée le 18 juin 1815. Avec un choix des dépêches de Wellington, ordres généraux et lettres concernant la bataille. Trad. par G. Sluse, d'après la 6e édition, revue et augm
Bruxelles, Combe, 1874 in-12, XXI-328 pp., front., carte, plans dépl., 3 vues lithographiées dt 1 dépl., 6 portr. in-t., percaline bleue, dos et plats ornés Petites usures aux coins et aux coiffes. Ex-libris Marcel Dunan. (rel. de l'éditeur).
Tulard, 361. "Acteur de la bataille, Cotton ne se limite pas à la description de ce qu'il a fait ou vu : guide du champ de bataille pendant quatorze ans, ayant beaucoup lu de ce qui a été écrit sur le sujet, il incorpore dans son récit de nombreux autres témoignages". LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Bataille d'Iéna
Tours, (1893) 34 x 46 cm, pierre noire sur papier brun , titre sous la scène, sous verre, baguettes de bois doré et noir Légères piqûres. (cadre moderne).
Très belle reproduction à la pierre noire de la scène du spectaculaire tableau d'Horace Vernet, Bataille d'Iéna, 14 octobre 1806, conservé dans la Galerie des Batailles à Versailles.Cette scène n’illustre pas la bataille d’Iéna à proprement parler, mais une anecdote racontée dans le Bulletin de la Grande Armée. Napoléon, entouré de Berthier (à gauche de l’Empereur) et de Murat (en premier plan) passe au galop devant les rangs de la garde impériale à pied. Laissés inactifs, les "bonnets à poils" rongent leur frein quand un jeune grenadier impétueux (ici à droite) s’écrie « En avant ». Furieux, l’Empereur, le visage fermé, se retourne pour morigéner l’insolent : « Qu’est-ce ? Ce ne peut être qu’un jeune homme qui n’a pas de barbe qui peut vouloir préjuger ce que je dois faire ; qu’il attende qu’il ait commandé dans trente batailles rangées avant de prétendre me donner des avis ».Le 26 août 1806, la quatrième coalition (la Prusse, de la Russie et de l’Angleterre), lance un ultimatum à Napoléon et exige le retour des troupes françaises au-delà du Rhin. L’Empereur réagit immédiatement et écrase l’armée prussienne à Iéna le 14 octobre puis entre dans Berlin en triomphateur quelques jours plus tard.Aucun élément topographique particulier ne rappelle ici le site de la bataille, l'accent est mis sur les figures militaires et combattantes. L'arrrière plan suggère le théatre des combats : rassemblements de troupes, fumées d’artillerie, fougue et nervosité des chevaux. En opposition, Le tiers droit, où sont alignés les fameux grenadiers de la garde impériale, illustre la discipline militaire et l’obéissance indéfectible au chef que vient seule troubler l’impétuosité d’une jeune recrue....
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