ROBERT LAFFONT. 1966. In-12. Broché. Bon état, Coins frottés, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 222 pages - trace d'étiquette collée sur le 2nd plat.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Reference : ROD0127193
ISBN : 2253030724
TEXTE INTEGRAL -COLLECTION LE LIVRE DE POCHE BIBLIO Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
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Adolphe François René, MARQUIS DE PORTES (Député de l'Ariège à la Chambre)
Reference : 28287
(1821)
1821 une lettre, d'une page, sur papier filigrané FJ, manuscrite à l'encre brune, format : 31 x 20,3 cm, lettre autographe manuscrite de Adolphe François René, MARQUIS DE PORTES (Député de l'Ariège à la Chambre) signée , fait à PARIS, LE 17 SEPTEMBRE 1821 ,
Adolphe François René, marquis de Portes (né le 22 janvier 1790 à Toulouse et mort le 22 décembre 1852 à Paris), est un homme politique français du XIXe siècle, membre de la famille de Portes ...... Beau DOCUMENT ....................RARETÉ ..... en trés bon état (very good condition), en trés bon état
Paris Le père et Avauléz 1780 In-f° (430 x 295 mm), [322] ff. de pl., veau, dos à 6 nerfs orné, encadrement d'un filet gras sur les plats, tranches marbrées (reliure de l'époque ou légèrement postérieure, probablement allemande)
Un rare panorama du mobilier Louis XV Édition originale et unique de ce recueil « très rare et très intéressant pour l'histoire de l'ameublement au dernier [XVIIIe] siècle » (Cohen, 80). L'ouvrage, paru en cahiers formé chacun de 6 pièces, est rarissime complet. Le présent exemplaire renferme 54 cahiers sur 65, soit 322 planches sur 390 dont certaines volantes furent insérées après coup. Sont absents le titre, les planches 5 et 42 ainsi que les cahiers 55 à 65. Juste-François (dit parfois Juste-Nathan) Boucher (1734-1781), fils du peintre François Boucher, se consacra, après une formation en Italie, à l'architecture d'intérieur et d'extérieur. Dans cet ouvrage devenu célèbre, il documenta le mobilier du siècle de Louis XV, et reproduisit, dans une entreprise véritablement encyclopédique, des objets aussi bien de style français que de style anglais, italien, rhénan, ou romain. Sont représentés : lits, canapés, chaises, baignoires et demi-baignoires, écrans, commodes, secrétaires, bureaux, gaines pour porter les bustes et autres piédestaux, tables, coffres-forts, cheminées, panneaux, élévations de portes et de lambris, torches, etc. Boucher publia également un autre recueil en 40 feuilles (10 cahiers) comprenant des modèles de lambris, de meubles et de plans pour l'intérieur de salons, de chambres à coucher et de galeries. Il fallut plus d'une dizaine de graveurs pour en venir à bout. On en trouve 8 ici : DUPIN (Nicolas) : cahiers 1 à 14 et 16 à 18 ; BERTHAULT (Pierre-Gabriel) : 15e ; BLANCHON (Jean-Guillaume) : 19e ; LA CHAUSSEE : 20e ; PELLETIER (j. c.) : 21 à 23, 25-26, 29, 31 à 34, 36 à 55 ; BICHARD : 24, 27, 28 ; BOUTROIS : 30 ; PICHARD : 35. D'autres encore participèrent aux derniers cahiers : Coupeaux, Delagardette, Duval. La BnF Richelieu (HD-17-PET FOL) conserverait un recueil complet ou quasi complet, un deuxième dans le Fonds Rothschild (57 cahiers), INHA (complet), Harvard (complet), Biblioteka Narodowa (32 cahiers). Frottements, épidermures notamment sur les plats, petite restauration ancienne à la pointe du mors supérieur ; Guilmard, Les Maîtres ornemanistes, p. 230
Commune de Portes-lès-Valence, 1958, 64 p., brochure in-8, préface (et envoi) de G. Coulaud, illustrations de Jean Hugues, bon état
Une monographie succincte mais bien faite, la première sur cette cité marquée par l'activité ferroviaire. Sommaire : Le cadre naturel. Portes à travers les âges - Les jeunes années. Remous autour d'un projet d'annexion. Panorama autour des années 1900 - Les années héroïques. Portes à travers la tourmente - Développement économique et urbain. Aspects de l'agriculture. Le fleuve au service de l'homme. Nationale 7. Wagons à gogo. Images de l'activité industrielle. Les métamorphoses d'un village. Ecoles d'hier et d'aujourd'hui - Annexes : Liste des municipalités depuis 1908 - Conseil municipal du Cinquantenaire
Paris, Imprimerie Royale, 1844 in-4, XVI-329 pp., cartonnage papier crème (reliure de l'éditeur). Qqs défauts au cartonnage.
Édition originale illustrée de 40 gravures sur bois tirées sur chine et de nombreuses vignettes dans le texte dessinées par Raffet, Dauzats et Decamps, ainsi que d'une carte repliée de la route de Philippeville à Alger.Le Journal de l'expédition des Portes de Fer réunit trois qualités rares : c'est à la fois un grand texte littéraire, une relation de voyage et un témoignage historique."C'est en réalité, la narration du voyage en Algérie du duc d'Orléans, du 19 septembre 1839 au 2 novembre : le duc visita Oran, Alger et les environs, Bougie, Philippeville, Constantine, les ruines de Djemila. C'est pour le retour à Alger qu'il fut décidé qu'il passerait par les Portes de Fer, c'est-à-dire par la voie de terre. Le passage des fameuses Portes n'occupe dans le récit que quatre pages ; c'était une opération périlleuse où l'armée aurait pu être anéantie ; mais il n'y eut pas d'attaque. Le duc d'Orléans demanda à Nodier d'être l'historien de ce voyage ..." (Tailliart)Exemplaire dans son état de parution, dénué de rousseurs.Tailliart, 1730. Playfair, 1064. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris 21 janvier 1946 | 21 x 27 cm | 1 page 1/2 sur un feuillet
Précoce lettre autographe signée du jeune premier Yves Montand adressée à Marcel Duhamel à propos du film Les Portes de la nuit de Marcel Carné. Une page et demie rédigée à l'encre bleue sur un feuillet ligné. Pliure inhérente à l'envoi et deux perforations en marge gauche sans manque de texte. Jamais publiée, cette lettre a été lue sur France Culture dans l'émission «?La Boîte à lettres?» en novembre 2014. * Dandy aux multiples casquettes, Marcel Duhamel fut directeur d'hôtel, éditeur et créateur de la Série noire chez Gallimard, traducteur notamment d'Hemingway et de Steinbeck et amant de... Simone Signoret. Grand amateur de jazz, il fut également l'un des piliers des caves germanopratines et eut même droit à son occurrence dans le célèbre Manuel de Saint-Germain des Prés dans lequel Boris Vian écrivit à son sujet?: «?Duhamel [...] a eu une vie fort variée dont le récit nous entraînerait en dehors des limites de ce volume?; mais, à tous les moments de son existence, il a conservé une dignité dans l'allure très caractéristique, et on ne m'ôtera jamais l'idée que Marcel Duhamel est un enfant naturel de feu le roi George V d'Angleterre?» Très belle lettre, évoquant Jean Gabin, Marlène Dietrich et Jacques Prévert, écrite au lendemain des essais d'Yves Montand pour le film Les Portes de la nuit de Marcel Carné, deuxième film dans lequel joua le jeune premier. Après l'immense triomphe des Enfants du Paradis l'année précédente, le duo Carné-Prévert se reforma en 1946 pour la réalisation des Portes de la nuit et le choix du rôle principal se porta rapidement sur Jean Gabin qui avait déjà travaillé avec eux sur Le Quai des Brumes et Le Jour se lève. Avec Marlène Dietrich, ils étaient supposés incarner les rôles principaux mais abandonnèrent finalement le projet à la dernière minute, l'Ange bleu ne souhaitant pas interpréter le rôle de la fille d'un collaborateur. Les réalisateurs furent donc contraints de trouver de nouvelles têtes d'affiche et Édith Piaf, quelques mois après leur séparation, recommanda Yves Montand à Jean Carné. Il semblerait pourtant que Marcel Duhamel ait également appuyé la candidature du jeune homme?: «?Je veux te dire combien j'ai été toucher [sic] l'orsque [sic] j'ai appris la façon avec la quelle [sic] tu m'as défendu et mis en valeur aux yeux de Carné. Je n'ai jamais été très fort pour composer, ou tourner de belle [sic] phrases je ne trouve qu'au fond de mon cur qu'un grand merçi [sic].?» Yves Montand, vingt-six ans à l'époque, connaissait déjà un grand succès au Théâtre de l'Étoile où il faisait la première partie de la Môme, mais n'avait à son actif qu'un seul film tourné la même année, Étoile sans lumière de Marcel Blistène. Cette belle lettre témoigne de l'enthousiasme et de la candeur du jeune Yves Montand, subjugué par l'univers du septième art et très honoré d'interpréter un rôle destiné à une étoile du cinéma?: «?Carné m'avais [sic] proposé tout simplement le rôle de Jean Gabin oui mon vieux, j'ai fait des essais jeudi 17 janvier, 14 numéros exactement des scènes de violence et d'homme. Nous avons vu la projection, le samedi matin, crois mon cher Marcel, que je n'exagère pas en te disant que c'était vraiment extraordinaire [...] tu pourras d'ailleurs demandé [sic] à Jacques Prévert et à Carné lui-même...?» Marcel Duhamel fit la connaissance de Prévert à Istanbul au service militaire et les deux compères ne se quittèrent dès lors plus. Prévert semble avoir été totalement conquis par le jeu de Montand?: «?Je passe sous silence les compliments à n'en plus finir de Prévert.?» Carné, quant à lui, paraît hésitant?: «?Tu me connais, j'ai demandé à Carné samedi si oui ou non je faisais le film [...] Il m'a répondu "mon cher Montand, je ne sais pas encore tout ça ne dépend pas de moi, le film a été déjà vendu à l'étranger avec comme distribution Gabin et Marlène. Je ne peux que vous dire que je suis désolé si je fais maintenant le film avec Gabin, vous avez d'énorme possibilité [sic] et je tie
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