Bloud et Gay. 1914. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 593pp.. . . . Classification Dewey : 270-Histoire et géographie de l'Eglise
Reference : ROD0048224
"Nouvelle édition revue et corrigée. Coll. ""Histoire générale del'Eglise"". Classification Dewey : 270-Histoire et géographie de l'Eglise"
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P., Domat-Montchrestien, 1941, gr. in-8°, 405 pp, biblio, broché, couv. lég. salie, bon état. Rare
Une importante étude sur la vie des gens de métier – patrons, ouvriers ou compagnons, apprentis – dans la capitale du Nivernais aux XVIIe et XVIIIe siècles. M. Lyonnet s'est attaché à pénétrer l'existence privée et quotidienne de cette population, utilisant avec sagacité et discernement les documents que lui ont fournis les archives communales et notariales de Nevers. Il a su dégager un tableau très complet et vivant, où, sans négliger les caractères généraux, il a mis en relief les particularités propres à la ville et les a illustrées par quelques chapitres nouveaux et curieux sur certaines professions spécifiquement nivernaises : faïenciers, verriers, émailleurs, mariniers, ou ayant gardé un caractère spécial qu'on ne retrouve pas ailleurs : bouchers. On peut, grâce à son travail, suivre toute la vie de ces gens de métier dans ses manifestations matérielles, professionnelles, familiales, morales, intellectuelles, sociales, religieuses. Bien que n'étudiant pas l'histoire des corporations et des métiers, l'auteur a cependant, et avec raison, consacré un chapitre à l'organisation et à l'évolution de l'artisanat. (...) L'auteur étudie successivement l'habitat dans un quartier dont le souvenir est encore conservé par le nom de plusieurs rues, et il trace une description peu flattée, mais vivante, de la ville à cette époque ; il peint le caractère de ses habitants : querelleurs, violents, moqueurs et sarcastiques, maraudeurs, aimant le cabaret, le jeu, avides des spectacles, mais attachés à leur métier, travailleurs, laborieux, adroits, charitables – ils étaient, après une longue affection, devenus hostiles au pouvoir ducal, par suite des vexations et des tracasseries de ses agents et, ouvriers et artisans, ils combattaient volontiers l'autorité municipale. (...) En résumé, M. Lyonnet a écrit un volume très nourri, d'un style clair, facile, et qui constitue une excellente monographie d'histoire démographique et sociale d'un centre urbain du moyen âge à 1789. (Léon Mirot, Bibliothèque de l'École des chartes, 1942)
Paris, Domat - Montchrestien F. Loviton & C., 1941. In-8, broché, 405 pp. Édition originale.
Papier jauni, très bon ex. par ailleurs. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Armand Colin, 1971, gr. in-8°, 268 pp, cartes et tableaux, une planche dépliante hors texte, bibliographie par régions et par délits, broché, couv. lég. salie, bon état (Coll. Cahiers des Annales)
"Six études portant sur des délits spécifiques (l'incendie et le duel) et sur l'ensemble du phénomène criminel, étudié par sondage sur les pièces d'instruction. Bien que rare, le duel est loin d'être négligeable, puisque, de 1700 à 1725, le Parlement de Paris a jugé 100 procès pour « duels, appels en duel ou complicité de duel ». Cela représente 1/10e des procès pour violences mortelles et 1/16e du total des causes criminelles. C'est surtout dans l'armée que subsiste le duel. La criminalité familiale, par contre, est assez répandue, tout au moins en Languedoc. Dans les affaires de meurtre, l'assassin et la victime sont le plus souvent de la même famille, la rivalité étant alors due à des questions de patrimoine. Malgré cette tension, les liens, en cas de menace extérieure, se resserrent brusquement. Qu'il soit paysan ou seigneur, le père de famille mobilise à ses côtés ses fils adultes qu'il charge de commettre des vols ou même des assassinats : il s'agit de préserver l'honneur. La criminalité à Paris, semble, au premier abord, être faible, puisque 87 % des délits poursuivis durant les 4 années étudiées (1755, 1765, 1775 et 1785) sont des vols généralement sans importance (mouchoirs, montres, linge...). Le crime contre les personnes ne représente que 7 % des cas. En fait, la place des violences dans la criminalité légale est nettement plus grande qu'aujourd'hui (plus de 5 % pour la période étudiée, contre moins de 1 % en 1961-65). Pour certains historiens, la société est passée d'une criminalité de la violence à une criminalité de la fraude. Autre caractéristique intéressante de l'époque : la délinquance sénile. La criminalité connaît en effet une poussée au 3e âge (au-delà de 50 ans) due vraisemblablement à l'isolement et à la misère..." (J.-C. Chesnais, Population, 1973)
ABBIATECCI André - BILLACOIS F. - CASTAN Y. - PEYROVITCH P. - BONGERT Y. - CASTAN N.
Reference : QWA-7194
Armand Colin, 1971, in-8 br., 268 p., "Cahier des Annales - 33", 16 figures, bon état.
Bibliographie par régions et par délits. Voir le sommaire sur photos jointes.