Odé. 1954. In-12. Cartonné. Bon état, Couv. convenable, Dos fané, Intérieur frais. 461 pages. Ouvrage illustré de nombreuses ilustrations en couleurs et de cartes en couleurs en début. Avant-propos de Jean Cocteau.. . . . Classification Dewey : 943-Allemagne, Autriche, Hongrie
Reference : ROD0019115
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Paris, A la librairie étrangère, 1843. In-8 de (2)-II-459 pp., demi-basane brune à coins, dos lisse orné, tranches marbrées (reliure de l'époque).
Édition originale. Réveil de l'industrie en Allemagne ; Le bassin du Rhin ; La richesse minérale de l'Allemagne ; Les communes rurales ; L'industrie linière ; Congrès des vignerons et des pommologistes d'Allemagne ; Contrées élevée à climat froid et humide ; Congrès annuel des économistes et des cultivateurs d'Allemagne ; Sucre ; progrès agricole de l'Allemagne etc.Provenance : bibliothèque Edmond Renouard, comte de Bussière, diplomate (né en1805) avec son ex-libris. Bel exemplaire.
Précieuse édition française illustrée des Souffrances du jeune Werther. Paris, de l’Imprimerie de P. Didot l’Aîné, 1809. In-8 de vi pp., (1) f., 234 pp. et 3 planches hors-texte. Maroquin rouge, triple filet doré encadrant les plats, dos à nerfs richement orné, double filet or sur les coupes, roulette intérieure dorée, non rogné. Reliure signée R. Wallis binder. 217 x 134 mm.
Précieuse édition française des Souffrances du jeune Werther dans une traduction nouvelle donnée par le comte de La Bédoyère. Cohen 442. Werther, ce roman dont l'influence fut si grande sur toutes les littératures européennes, parut à Leipzig en 1774 ; la première traduction française est, croyons-nous, celle de George Deyverdun (Maestricht, J.-E. Dufour, 1775 et 1776, 2 vol. in-12), puis vint celle de Seckendorf (Erlangen, 1776, in-8), suivie de près par celle d'Aubry qui, d'après Quérard, serait en grande partie l'œuvre du comte de Schmettau, (Mannheim et Paris, Pissot, 1777, in-8). D'autres traductions furent ensuite publiées par L.-C. de Salse (Basle, J. Decker, 1800, 2 vol. in-8), H. de La Bédoyère (Paris, Colnet, an XII, in-12), Sévelinges (Paris, Demonville, 1804, in-8), Allais (Paris, Dauthereau, 1827, 2 vol. in-32), Pierre Leroux (Paris, Charpentier, 1839, in-12), et Louis Énault (Paris, Hachette, 1855, in-12). En 1774 paraît à Leipzig le premier roman d’un auteur presque inconnu, âgé de 25 ans : Les Souffrances du jeune Werther. Cette œuvre rencontre en Allemagne un succès immédiat. Les revues discutent de la moralité ou de l’immoralité des deux petits volumes, les lecteurs se les arrachent, certains voient dans le destin de Werther un modèle à suivre. La célébrité de Johann Wolfgang Goethe est faite et son nom restera longtemps attaché à cet événement littéraire, au premier roman allemand qui franchit véritablement les frontières de l’Allemagne. Une première traduction française paraît en 1776. Lorsque, trente-deux ans plus tard, le 2 octobre 1808, Napoléon traversant l’Allemagne en conquérant se trouve à Erfurt, il demande à voir Goethe : c’est pour parler avec l’auteur de Werther, un livre qu’il a lu sept fois et qui l’a accompagné lors de sa campagne d’Egypte. « Le Werther est un défi au roman vertueux des Lumières. Mais son discours est avant tout une profession de foi subjectiviste : une quête du sens de la vie par une âme exigeante qui ne se contente plus des modes traditionnels de l’insertion sociale ni des conceptions en vigueur concernant le salut » (Dictionnaire des Œuvres). Les Souffrances du jeune Werther, premier roman de Goethe, connut un succès incroyable dès sa sortie, apportant ainsi du jour au lendemain une notoriété considérable dans toute l'Europe à son auteur. Cela déclencha ce qu'on appela alors la « fièvre werthérienne ». Mme de Staël écrira que « Werther a causé plus de suicides que la plus belle femme du monde... ». Goethe lui-même déclara « L'effet de ce petit livre fut grand, monstrueux même... parce qu'il est arrivé au bon moment, mais... le suicide n'est en aucun cas une solution défendue par le livre ». Le volume est orné de 3 superbes figures de Moreau gravées par de Ghendt et Simonet. « Existe sur papier vélin, avec les figures avant la lettre » mentionne Cohen, cas du présent exemplaire. Précieux exemplaire sur grand papier vélin, bien complet des 3 figures avant la lettre, conservé à toutes marges car non rogné, relié en maroquin rouge au XIXe siècle par R. Wallis.
Paris de l'Imprimerie de G. Doyen, rare impression de Durand et Perrin, 1832, in/8, reliure en demi percaline, 428 pages. Un portrait en frontispice, lithographie par H. Brunet Lyon.
"Friedrich Ludwig Jahn (né le 11 août 1778 à Lanz – mort le 15 octobre 1852 à Freyburg, province de Saxe) était un éducateur prussien, promoteur de la gymnastique et du nationalisme germanique via son organisation « Turnverein » au sein du Mouvement gymnique allemand. En 1848, Jahn devient membre du parlement de Francfort. Jahn est l'un des initiateurs de la création de l'Urburschenschaft.Friedrich Ludwig Jahn est le fils d'un pasteur protestant Alexander Friedrich Jahn (1742-1811) et de sa femme, la fille du pasteur Dorothea Sofia, n. Schultze (* 1751). En 1791, il fréquente le lycée de Salzwedel (Altmark), qui fut renommé en 1931 Jahngymnasium Salzwedel. À partir de 1794, il étudie au lycée berlinois du monastère franciscain à Berlin qu'il quitte deux ans plus tard sans diplôme.Il est souvent appelé Turnvater Jahn, le « père de la gymnastique », pour ses apports à ce sport. Sa gymnastique, le « Turnen », agit sur le plan physique mais aussi au niveau du sentiment national. Elle a été conçue après la défaite d'Iéna face à la France. Elle avait pour objectif de préparer la revanche en restaurant la virilité du peuple allemand et le sentiment national dans le but de créer un État-nation allemand. Le Turnen représente la virilité, l'éducation collective qui vise à ré-imprégner l’individu de la culture de son pays. Il développe la solidarité et le sentiment national. Le mouvement du Turnverein qu'il a fondé a eu une influence intellectuelle sur la genèse du nazisme et du Sokol en Tchéquie. Le logotype de son organisation comportait une croix stylisée avec 4 F pour « Frisch, fromm, fröhlich, frei » c'est-à-dire : « frais, pieux, joyeux, libre ». Il considérait la pratique du sport par le peuple comme une nécessité afin travailler contre son asservissement et de préparer la lutte contre « les ennemis de la liberté » et d'éveiller une conscience nationale, en Allemagne. C'est ainsi qu'on lui prête (car non compris dans ses propres publications) la citation suivante : « Les Polonais, les Français, les curetons, la noblesse et les Juifs sont la malchance de l'Allemagne » et qui a été repris au début du xxe siècle pour accréditer le nationalisme allemand, et être considéré par les nazis comme un précurseur de leur doctrine (avec l'amour pour le sport afin maintenir les soldats potentiels en forme)."
Paris, Armand Le Chevalier, 1870. In-8 de (4)-IV-527 pp., 2 cartes repliées, demi-basane marbrée, dos à nerfs orné d'un aigle impérial doré, pièces de titre en maroquin rouge, tête dorée (reliure de l'époque).
Première édition publiée en France. Derniers jours de la retraite de Russie - Insurrection de l'Allemagne - Armements - Diplomatie - Entrée en campagne. Bien complet des deux grandes cartes : Allemagne septentrionale à la fin de 1812 ; Möckern. « Quel admirable livre, tout inachevé qu'il est! Voilà de l'histoire, impartiale et forte, philosophique et raisonnée ! Une pareille indépendance d'appréciation, à propos d'événements contemporains était bien difficile : elle semblait impossible, jusqu'aujourd'hui, pour les écrivains français. Il a fallu les « retours soudains, » les « changements inouïs, » dont parle Bossuet, et surtout des hommes de cœur sachant dépouiller le faux patriotisme, répudier les fausses gloires et borner leur ambition à se faire les interprètes de la conscience de l'humanité. La mission de l'historien, ainsi comprise, est la plus noble de toutes, car elle comporte l'enseignement large et élevé s'adressant aux peuples, à tous les peuples, s'imposant aux gouvernements, et appelé à devenir la règle de la civilisation nouvelle. (Eugène Van Bemmel, in Revue Trimestrielle, 1866).
Paris, , 1942-1943. 14 livraisons reliées en 1 vol. in-4, demi-toile rouge.
14 livraisons (n°5, octobre 1942 à n°19 décembre 1943) de ce mensuel dédié aux familles des travailleurs français volontaires en Allemagne puis du Service du Travail Obligatoire. Directeur : Gaston Bruneton, personnalité importante de la Collaboration, Chef du Service de la main d'oeuvre française en Allemagne. Rédactrice en chef : Claire Chardon.