Guillaume CAVELLIER, à Paris. 1740. In-8. Relié plein cuir. Etat passable, Plats abîmés, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 504 pp. - dos à nerfs décoré de caissons dorés. . . . Classification Dewey : 264.1-Les prières
Reference : ROD0000671
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Paris, André Pralard, 1686. In-8 à trois colonnes de (24)-530-(22) pp., tables, veau brun granité, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge, armorié en son centre de la croix de Saint-Cyr (reliure de l'époque).
Nouvelle édition de la Vulgate dédicacée à l'archevêque de Paris François Harlay de Champvallon, dans la traduction littérale et la paraphrase de François Macé, adaptées du "Liber psalmorum cum argumentis" de Louis Ferrand (Paris, Pralard, 1683). Belle impression à trois colonnes (français, latin et paraphrase) ornée d'une vignette de départ, sortie des presses d'André Pralard (1635-172.) avec sa marque typographique au titre ; natif de Savigny, près de Lyon, il fut en apprentissage à Lyon chez Jean-Antoine Huguetan de 1650 à 1657, travailla à Paris chez Charles Savreux quatre ans puis chez Claude et Pierre I de Bats. Pralard s'établit clandestinement à son compte avant 1668. Arrêté et embastillé du 15 mars au 1er août 1668 pour diffusion d'ouvrages jansénistes, il fut reçu libraire par lettre de cachet du 7 août 1669 malgré l'opposition de la communauté. Envoyé plusieurs fois en mission aux Pays-Bas pour négocier le retrait d'ouvrages licencieux et en province pour poursuivre des contrefacteurs, il était encore en activité en 1719. Provenance : exemplaire frappé de la croix fleurdelisée, emblème de la Maison royale de Saint-Cyr, fondée par Madame de Maintenon (1635-1719) en 1686 pour l'éducation des jeunes filles aristocrates sans fortune.Ex-libris gravé du XIXe avec une toque d'avocat et la devise juridique : "Nemini servias sed legi. G. F."BnF, Bibles imprimées du XVe au XVIIIe conservées à Paris n°3015.
1706 veau marbré, dos à n. (usagé mais solide). fort in-12, (15ff.), 597pp., (9ff. tables), P. André Pralard, 1706
Texte latin, traduction littérale, paraphrase.
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A Bordeaux, chez les Associés, s.d. [circa 1730]. Un vol au format in-12 (172 x 103 mm) de viii - 445 pp. Reliure de l'époque de pleine basane glacée et marbrée brune, plats jansénistes, dos à nerfs orné de filets à froid, titre doré, tranches mouchetées.
Impression bordelaise. Texte en latin, avec traduction française en regard. L'ouvrage renferme les 150 Psaumes de David, suivis des Cantiques ainsi que d'une Explication succincte de l'oraison dominicale, de la salutation évangélique, du symbole des Apôtres, des Commandements de Dieu et de ceux de l'Eglise. Le livre des Psaumes, selon l’Évangile de Luc et les épîtres de Paul, est interprété par les chrétiens comme une prophétie des mystères du Christ. Cela a eu des conséquences importantes sur l’exégèse des Pères de l’Église, la théologie et surtout la liturgie de toutes les églises chrétiennes. Le monachisme a fait de la récitation incessante des Psaumes la matière première de la prière continuelle et de la liturgie des Heures. Les Pères de l’Église ont continué cette démarche car depuis le ivesiècle, le livre des psaumes est devenu le fondement de la liturgie chrétienne. Le clergé et les chrétiens vont continuer cette pratique dans les siècles suivants. Quoique le psautier des Septante comporte 151psaumes, l’usage chrétien n’en reconnaît que 150 (le psaume 151 n’étant jamais lu à l’église ni en Orient, ni en Occident). Bibles imprimées conservées à Paris, 3016 (pour une édition de 1686).Angles et coiffe supérieure élimés. Papier légèrement oxydé. Présence de quelques rousseurs, tâches claires et plissures angulaires dans le corps d'ouvrage. Du reste, bonne condition.
Paris, Edme Martin, 1625. 1 vol. petit in-8°, maroquin rouge, dos lisse muet semé de fleurs de lys dorées, double encadrement de doubles filets dorés rempli d'un semé de fleurs de lys dorées laissant vierge le cartouche central, pointillés sur"s sur les coupes, tranches dorées. Reliure de l'époque. Ex-libris héraldique au contreplat du baron de Layre. Frontispice hors-texte gravé à l'eau-forte par Léonard Gaultier, (19) ff., (front. compris), (1) f. blanc, 512 pp., (8) ff. Exemplaire réglé. Signatures : at8 et8 it4 [A-Z]8 [Aa-Kk]8.
Edition originale de la traduction en vers des psaumes de David par le conseiller d'Etat Michel de Marillac. Le texte de la Vulgate figure en marge dans les manchettes. Cette traduction fut composée en moins de deux ans, juste avant l'accession de son auteur au poste de surintendant des Finances de Louis XIII. Même si sa versification, dans le goût de Ronsard et de Desportes, n'est pas sans mérite et comprend çà et là quelques vers bien troussés, dont certains donnent une peinture piquante de la société de son temps, "son travail est bâclé' d'après Paulette Leblanc, qui relève de nombreuses redondances et commentaires inutiles. Surintendant des Finances jusqu'en 1626, date à laquelle il fut promu garde des sceaux, Michel de Marillac, l'un des plus éminents représentants du parti dévot, protégé de Marie de Médicis qui le pressentait comme premier ministre, prit une part active à la conspiration contre Richelieu lors de la journée des dupes (1630), ce qui mit fin prématurément à une carrière politique prometteuse. Très bel exemplaire dans une séduisante reliure d'époque entièrement fleurdelisée. La dédicace au roi qui forme quatre feuillets des pièces liminaires, a été retirée de cet exemplaire. Leblanc, Les Paraphrases françaises des Psaumes (1960), pp. 63-65; Delaveau & Hillard, 2979.
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Paris, Edme Martin, 1625. 1 vol. petit in-8°, maroquin rouge, dos lisse muet orné d'un semé de fleurs de lys, plats semés de fleurs de lys dorées encadrées de triples filets dorés, roulette dorée sur les coupes, tranches dorées. Reliure de l'époque, coins râpés. Bel exemplaire. Exemplaire réglé. Titre-frontispcie gravé à l'eau-forte par Léonard Gaultier, (15) ff., (1) f. blanc, 512 pp., (8) ff. Signatures : pi4 et8 it8 [A-Z]8 [Aa-Kk]8. Il manque 4 feuillets des pièces liminaires.
Edition originale de la traduction en vers des psaumes de David par le conseiller d'Etat Michel de Marillac. Le texte de la Vulgate figure en marge dans les manchettes. Cette traduction fut composée en moins de deux ans, juste avant l'accession de son auteur au poste de surintendant des Finances de Louis XIII. Même si sa versification, dans le goût de Ronsard et de Desportes, n'est pas sans mérite et comprend çà et là quelques vers bien troussés, dont certains donnent une peinture piquante de la société de son temps, "son travail est bâclé' d'après Paulette Leblanc, qui relève de nombreuses redondances et commentaires inutiles. Surintendant des Finances jusqu'en 1626, date à laquelle il fut promu garde des sceaux, Michel de Marillac, l'un des plus éminents représentants du parti dévot, protégé de Marie de Médicis qui le pressentait comme premier ministre, prit une part active à la conspiration contre Richelieu lors de la journée des dupes (1630), ce qui mit fin prématurément à une carrière politique prometteuse. Très bel exemplaire dans une séduisante reliure d'époque entièrement fleurdelisée. La dédicace au roi qui forme quatre feuillets des pièces liminaires, a été retirée de cet exemplaire. Leblanc, Les Paraphrases françaises des Psaumes (1960), pp. 63-65; Delaveau & Hillard, 2979.
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