"EDITIONS FLEUVE NOIR COLLECTION "" ESPIONNAGE "" N° 1784. 1984. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 186 pages.. . . . Classification Dewey : 843.0872-Le roman policier"
Reference : RO90020760
ISBN : 2265028088
Editions Fleuve noir. Collection espionnage. Photo en couverture de Ray Halin. Classification Dewey : 843.0872-Le roman policier
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J. & J.. 2004. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 82 pages. Nombreuses photos en couleurs, dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire:Patchwork de l'actualité Bordelaise- Arrêts sur images: shopping- La balade de Jean-Marie Sarrasin- La mode maillots pour préparer l'été- Beauté: Les nouveautés- etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Mémorial Agenais. 1833. In-4. En feuillets. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 4 pages en feuillets. Texte sur trois colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.1-Journaux
Sommaire : Madame, Duchesse de Berri, Madame et la Vendée - A M. le rédacteur du Journal de la Guienne - A monsieur le général Bugeaud, gouverneur de la citadelle de Blaye - Agen - Bibliothèque Populaire - Nécrologie - Théâtre d'Agen - Paris, 22 et 23 avril 1833 - Correspondance particulière du mémorial agenais, Paris le 24 avril 1833 - Nouvelles des provinces - Chambre des pairs, présidence de M. Pasquier, séance du 22 avril - Chambre des députés, présidence de M. Etienne, vice-président, suite de la séance du 22 avril - Variétés, cagnotte - Annonces et avis divers Classification Dewey : 70.1-Journaux
[10 titres dont 2 manuscrits, 2 planches] - GUIBOURG, M. ; VERNEUIL, Dr. ; VALERIUS, Philippe
Reference : 66804
(1831)
1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-basane marron : Procès de M. le Comte de Kergorlay, suivi des Motifs de refus de Serment de MM. les Pairs et Députés à Louis-Philippe d'Orléans, Librairie d'Ed. Bricon, Paris, 1830, 100-4 pp. [avec les Notes adressées au Moniteur ] [Suivi de : ] Procès du Service Funèbre célébré le 14 février 1831, à Saint-Germain-l'Auxerrois. Accusation contre MM. Valerius, Durouchoux Fils, Boblet, Quinel et de Balthasar, Chez G. A. Dentu, Paris, 1831, 1 ff., XXI-128 pp. [ Suivi d'un manuscrit : ] A Mme Valerius, copie manuscrite signée et certifiée par Valérius de la lettre adressée par Lafiteur à sa femme, de Caen, le 25 avril 1831, 4 ff. [ Suivi de : ] Relation exacte de ce qui s'est passé le 14 février 1831, au service funèbre célébré pour le repos de l'âme de S.A.R. Monseigneur le Duc de Berri, dans l'église Saint-Germain-l'Auxerrois, deuxième tirage, imprimerie de G.-A. Dentu, Paris, 1831, 4 pp. [ Suivi d'un manuscrit : ] "Le gouvernement de Louis-Philippe est illégitime [... ] Voilà le gouvernement que vous vous êtes donné, ou plutôt qu'une poignée d'hommes sans mandat vous ont imposé", 1 f. [ Suivi de : ] Relation fidèle et détaillée de l'arrestation de S.A.R. Madame, Duchesse de Berry, Imprimerie de C. Merson, Nantes, Novembre 1832, 1 f., 40 pp. avec planche en frontispice et avec grande planche dépliante [ Suivi de : ] Dénonciation et Plainte judiciaire contre MM. les Présidens et Membres du Conseil des Ministres de Louis-Philippe, au sujet de la Détention et de la Séquestration de S.A.R. Madame, Duchesse de Berri, De l'Imprimerie de L. E. Herhan, Paris, Avril 1833, 16 pp. [ Suivi de : ] De la Situation de S.A.R. Madame, Duchesse de Berri, dans ses rapports avec sa constitution, et l'état sanitaire de la Citadelle de Blaye, par le Doctr Verneuil, Paris, Imprimerie de L. E. Herhan, 1833, 30 pp. [ Suivi de : ] Extrait de la Quotidienne du 19 mai 1833. Lettre du Comte de Kergorlay à M. le Ministre de la Presse, 1 f. lithographié [ Suivi de : ] Lettre du Comte de Kergorlay à M. le Ministre de la Guerre, Imprimerie de L. E. Herhan, 8 mai 1833, 7 pp.
Ce recueil rassemble certaines pièces peu communes, dont deux manuscrits, le premier signé de Valerius, légitimiste accusé d'avoir provoqué la colère de la foule en participant à la "provocation" de l'accrochage d'une lithographie du Duc de Bordeaux lors du service funèbre de 1831 en l'honneur du Duc de Berry. Ce service dégénéra en émeute jacobine et se termina par le sac de l'église Saint Germain et du palais de l'archevêque. Habilement utilisés par Adolphe Thiers, sous-secrétaire d'Etat à l'intérieur, ces troubles contribuèrent au recours au "Parti de l'ordre" de Casimir Périer. Bon état (petit mq. en coiffe sup., bon exemplaire par ailleurs).
Important ensemble de 7 dossiers manuscrits datés de 1887 à 1892 relatifs à la liquidation de la Librairie Edouard Dentu ] I : Mémoire de Madame veuve Dentu [ Mémoire manuscrit autographe de Léonie Dentu, 8 pp. in-folio, circa 1887 : ] "Madame Veuve E. Dentu, mise en cause, en vertu d'insinuations dépourvues de tout fondement lui imputant des dépenses exagérées, et une gestion imprudente de ses biens et revenus personnels, croit devoir protester avec la dernière énergie contre les calomnies dirigées contre elle dans un but intéressé. Elle met ses adversaires au défi de fournir une seule preuve de tous les faits qu'ils ont allégués. Elle n'a pas d'autre réponse à faire que d'exposer la situation désastreuse qui lui a été créée par l'incurie des liquidateurs de la succession de son mari." [Suit tout le détail de la situation, depuis le décès d'Edouard Dentu le 13 avril 1884. On relève quelques passages :] " M. Sauvaître qui avait été institué administrateur judiciaire après le décès de M. Dentu, avait présenté au notaire liquidateur, sans livre, ni écriture de commerce, des inventaires et des bilans qui n'avaient aucun caractère d'authenticité. [...] Il n'a pu ou n'a voulu fournir aucune situation relativement à ses comptes ; il s'est refusé à dresser un nouvel inventaire, à ouvrir les livres exigés par la loi, à remettre aux employés comptables les pièces leur permettant de dresser les états qu'il ne voulait ou ne pouvait faire lui-même. De plus, par son imprévoyance il accumulait de nouvelles et lourdes charges pour la maison de librairie déjà durement éprouvée par la crise commerciale ; enfin il empiétait sur les prérogatives de Mme Dentu en traitant sans mandat les auteurs. Par exemple il faisait imprimer le livre "Le Gaga" et se hâtait de le mettre en vente malgré une défense expresse de Mme Dentu. Déjà blessée par l'attitude outrageante qu'il prenait à son égard, elle ne put se dispenser de le congédier après inutiles remontrances [ ... ] C'est ainsi que la reconstitution entière de la comptabilité et les rectifications d'écriture qui en étaient la conséquence n'ont pu être essayées qu'après le départ de M. Sauvaître à dater du 1er janvier 1886. Elles ont abouti en peu de temps à la constatation de la situation désastreuse qui avait été faite à Mme Dentu. [ Celle-ci se tourne en vain de tous côtés : ] Elle fit plusieurs versements pour une somme totale de 50000 fr. à la caisse de la librairie. Elle essaya en outre de s'associer des capitalistes. Dès le mois de juin 1886 un acquéreur présenté par M. de La Batut étudiait un projet d'achat dans des conditions paraissant avantageuses [ ... mais c'est l'échec. Elle souscrit un emprunt ] Mais malgré ses efforts et en raison des manoeuvres de concurrents et des ennemis acharnés surgissant de tous côtés contre elle, elle n'eut pu suffire à conjurer le péril d'une suspension de paiement si elle n'eût conclu en février 87 un acte d'association qui consacrait presque entièrement tous les avantages et toutes les prérogatives qu'on lui avait attribués lors du partage. Malheureusement la persistance de la crise commerciale et le danger de continuer les opérations qui pouvaient créer pour l'avenir des charges qu'elle n'eût été en état de supporter même partiellement l'obligèrent à conclure de nouveaux arrangements pécuniaires pour partager la responsabilité commerciale avec ceux des associés qui étaient mieux qu'elle en mesure d'en subir les conséquences, puis à se retirer entièrement, et définitivement par acte de cession du 1er octobre 87. [...] Sans entrer dans une discussion de chiffre quelconque, il est facile d'établir quelles sont les causes directes du déficit laissé par Dentu à son décès : ce sont exclusivement les dépenses personnelles engagées depuis l'année 1879 jusqu'à la fin de 1883, notamment l'achat de divers immeubles de plaisance, d'un prix élevé, coûteux d'entretien et sans revenus avec les frais d'aménagement d'installations et d'ameublement (sans parler de l'établissement de Mme de la Batut) ; les sommes déboursées pour ces différentes affaires dépassaient pour cette période 500000 fr., prélevés sur le compte courant du comptoir d'escompte c'est-à-dire les recouvrements effectués sur les clients de la librairie, le véritable actif commercial, qui n'était alors nullement disponible". [ etc.] II : Rapport d'arbitrage par Binot de Villiers daté du 26 novembre 1892. Contestation entre Madame Veuve Dentu Demanderesse d'une part et MM. Hippeau, Curel, Gougis, Richardin d'autre part [ Rapport d'arbitrage de 39 pp. manuscrites in-folio, détaillant avec grande clarté et précision le litige complexe opposant la Veuve Dentu à ses nouveaux associés, liés par divers contrats sur la seule année 1887. Remarquable document sur l'histoire de la librairie et de l'édition à la fin du XIXe siècle. On citera notamment ce passage : ] "Pour obtenir une avance de la librairie Dentu, un auteur promet d'apporter prochainement un manuscrit, et la librairie lui fait cette avance pour qu'il n'aille pas apporter son manuscrit ailleurs et c'est-à-dire pour s'assurer la préférence. Si l'auteur ne remplit pas sa promesse la librairie subit une perte presque toujours irrecouvrable. S'il remplit sa promesse, pas de difficultés si ce n'est qu'à ce moment on lui verse généralement le complément de ses droits d'auteur. Comme la librairie n'a d'espoir d'être remboursé que sur le produit de la vente et c'est ce qu'indique très clairement la convention du 13 octobre 1887, lorsqu'elle est édicte que le remboursement des avances se fera par voie de déduction sur les sommes auxquelles ont droit les auteurs, la librairie commence par déduire des droits d'auteur les avances déjà faites et ne se libère ensuite que contre remise du manuscrit. Elle ne court plus alors que le risque de l'insuccès de l'ouvrage." ; III : Liquidation de la Société Dentu & Cie dissoute le 30 juin 1887. Deuxième Compte [ 8 feuillets in-folio. Le rapport d'arbitrage indique : " à la date du 8 février 1887, une société était formée sous la raison sociale Dentu & Cie entre Mme Veuve Dentu et M. Hippeau, associés en nom collectif et M. Curel simple commanditaire ; mais quelques mois plus tard, c'est-à-dire le 16 juillet 1887, cette société était dissoute avec effet rétroactif aux 30 juin" ] ; IV : Compte Personnel de Mme Vve Dentu du 1er octobre 1887 au 30 Juin 1888 [ 1er et 2e compte, ensemble 4 feuillets in-folio ] ; V : Librairie Dentu. Société Curel Gougis et Cie. Compte Personnel de Madame Vve Edouard Dentu, période du 1er juillet au 8 novembre 1888 [ 4 ff. in-folio] ; VI : Lot d'une cinquantaine de feuillets d'inventaire, essentiellement Inventaire des Magasins de Ségur [ Comme le précise le rapport de l'arbitre, "Le magasin de l'avenue de Ségur n'était pas un magasin de vente était uniquement un lieu de dépôt choisi par Mme dentu dans une maison montée des propriétaires et elle seule avait la clé de ce dépôt où elle avait rassemblé les ouvrages qui n'étaient plus de vente courante."] ; VII : Compte Principal de Madame Dentu chez son mandataire M. Albert Baudry depuis le 10 décembre 1889 [ 4 feuillets in-4 sous chemise, daté du 31 mars 1892 ]
Important ensemble réunissant diverses pièces relatives au "naufrage" de la librairie Dentu, au lendemain du décès du grand éditeur Edouard Dentu. On notera un remarquable rapport d'arbitrage détaillant avec une grande clarté les litiges très complexes qui opposèrent la Veuve Dentu à ses nouveaux associés. L'arbitre plonge dans les arcanes de l'édition et de la librairie parisienne des années 1884-1890. Prix du lot, non séparable.
14,5 x 17,5 1806 "Combien je suis touchée Monsieur de vos bontés pour le jeune le Blanc [?], il en est pénétré et je partage sa reconnaissance. Je prends un tel intérêt à lui qu'il n'y a point de démarche que je ne sois prête à faire pour lui être utile. Daignez être toujours son protecteur, il a bien du zèle et d'excellente qualité. Il se rendra digne de vos bontés. Recevez Monsieur mes sincères remerciements et l'assurance des sentiments avec lesquels j'ai l'honneur d'être, Monsieur, votre très humble et très obéissante servante. D. Genlis, de l'Arsenal 26 avril 1806." Au dos "A Monsieur Monsieur de la Borde", trace de cachet avec déchirure. Contrainte à l'exil, Madame de Genlis (1746-1830) rentra en France en 1800 et se rallia à Napoléon. Elle reçut en pension en 1802 un logement à l'étage noble de la bibliothèque de l'Arsenal. Elle y recréa rapidement un salon qui accueillit le tout Paris politique, littéraire et artistique. Le destinataire de ce billet est vraisemblablement le jeune Alexandre de Laborde (1773-1842), qui jouissait déjà en 1806 d'une réputation de diplomate et d'archéologue. Il avait en effet accompagné Lucien Bonaparte à Madrid en 1800 et avait paraître une étude de la mosaïque de la Villa Italica, près de Séville en 1802. Bon musicien, il fut proche de Madame de Genlis et lui dédia en 1806 une "Lettre à Madame de Genlis sur les sons harmoniques de la harpe", où il loue les talents de Casimir, l'enfant adoptif de Madame de Genlis. Il continua à être une des personnalités en vue sous l'Empire, la Restauration et la Monarchie de Juillet. Après bien des démêlés avec Ameilhon le bibliothécaire de l'Arsenal, Madame de Genlis fut contrainte de quitter l'Arsenal en 1811. Deux taches de rousseurs en tête, marques de pliure, bon état. PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST