EDITIONS LE MASQUE N° 000129. 1933. In-12. Cartonnage d'éditeurs. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 247 pages.. . . . Classification Dewey : 843.0872-Le roman policier
Reference : RO90005129
Collection dirigée par Albert Pigasse. Classification Dewey : 843.0872-Le roman policier
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1933 N° 129 - petit in-8 cartonnage éditeur avec sa jaquette illustrée par Jean Bernard (Poste de Police) - 1933 - 247 pages - Ed. Librairie des Champs-Elysées - coll. Le Masque
bon état (rousseurs, jaquette un peu frottée aux angles avec petites déchirures)
Rex in8. Sans date. Broché.
couverture défraîchie quelques rousseurs intérieur propre
Louvain, Editions Rex, 1932. "13 x 21, 253 pp., broché, état moyen (couverture défraîchie; papier jauni)."
L’exemplaire de la duchesse de Berry, sa veuve, conservé dans sa première reliure de deuil armoriée. Lyon, Savy, Lions, 1820. In-12. Xii pp., 348 pp., qq. rousseurs. Maroquin noir à long grain, double encadrement de roulette à froid sur les plats, armoiries à froid au centre, fleurs de lys aux angles, dos à nerfs orné, tranches dorées, doublures et gardes de tabis crème. Reliure de deuil de l’époque signée de Simier, relieur du roi. 168 x 95 mm.
Édition originale rarissime. L’exemplaire même de l’auteur offert à la Duchesse de Berry, enrichi de l’envoi autographe de J.Lions: «Madame, Vivement touché des malheurs dont votre A. R. a été frappée, j’ai voulu aussi élever ma faible voix pour exprimer la douleur commune…». Le 13 février 1820, le duc de Berry s'écroule sur les marches de l'Opéra, rue Richelieu, à Paris. Il vient d'être frappé d'un coup de couteau par un ouvrier, Louis Louvel. La victime est le neveu du vieux roi Louis XVIII et la seule personne susceptible de donner un héritier à la famille royale. L'assassin est un républicain fanatique qui a voulu éteindre par son geste la dynastie des Bourbons. Son crime suscite une émotion immense. Les ultra-royalistes accusent de laxisme le chef du gouvernement Decazes. « Le pied lui a glissé dans le sang », écrit l'illustre Chateaubriand. Pourtant, très bientôt l'espoir renaît chez les Bourbons. On apprend que l'épouse du duc de Berry est enceinte ! Le 29 septembre, elle donne le jour à un fils posthume, Henri. Les poètes Alphonse de Lamartine et Victor Hugo joignent leur jeune talent aux réjouissances qui accompagnent la naissance de cet « enfant du miracle». Une souscription publique est organisée pour lui offrir le domaine de Chambord. D’où le titre de comte de Chambord qui sera désormais le sien. « Le duc de Berry, deuxième fils du comte d'Artois (1778-1820) suivit son père dans l’émigration. En 1814, il revint en France à la suite des alliés. Lorsque Napoléon revint de l'île d'Elbe, le duc de Berry fut nommé chef de l'armée qu'on voulait réunir devant Paris et qui se réduisit à un nombre imperceptible de fidèles. Après la seconde restauration le duc de Berry fut tenu à l'écart du pouvoir par Louis XVIII, et il épousa, en 1816 la princesse Caroline de Naples, sœur de la reine Christine, reine d'Espagne Le 13 février 1820, à la sortie de l'Opéra, il fut assassiné par Louvel. Sept mois après sa mort sa femme accoucha d'un fils, le Duc de Bordeaux. » En 1832 la duchesse de Berry, humiliée et meurtrie par l'exil, après la Révolution de juillet, résolut de tenter une restauration par les armes. Cette tentative devait se révéler vaine et désastreuse, le parti royaliste ayant été abattu d'un seul coup. Précieux exemplaire imprimé sur papier fin de Hollande conservé dans sa première reliure de deuil en maroquin noir de Simier aux armes de la Duchesse de Berry.
Sous la direction de Fabrice BIASINO, Alexandra DELABIE.
Reference : 26786
ISBN : 9782362220579
Témoignage bouleversant de la Révolution française, Marat assassiné (ou La Mort de Marat) est l'un des plus célèbres tableaux de Jacques-Louis David et compte parmi les plus admirés des collections des Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique. Exécutée en à peine trois mois, la toile rend hommage au journaliste Jean-Paul Marat, révolutionnaire populaire et redouté, membre de la Convention nationale, assassiné par la jeune royaliste Charlotte Corday le 13 juillet 1793. Loin d'illustrer un simple fait divers, David compose une oeuvre de propagande et une pietà moderne, hissant son ami au rang de héros et de martyr. La présente publication lève un pan de voile sur la genèse et sur l'histoire de ce chef-d'oeuvre, recourant non seulement au contexte historique mais aussi à l'imagerie scientifique obtenues lors de récentes recherches inédites en laboratoire. Paru dans le cadre de l'exposition "Marat assassiné", ce livre offre une approche sans précédent de l'oeuvre de David en ce qu'il mêle les regards historiques et contemporains, l'authentique tableau étant présenté aux côtés de trois répliques d'atelier et de plusieurs interprétations actuelles qui en soulignent toute la valeur iconique, et les débats qu'il suscite encore de nos jour 2022 Mare & Martin 44 p., illustrations couleur, broché. 21,5 x 26
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