‎Guerra Wendy‎
‎Tout le monde s'en va‎

‎Stock. 2008. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 278 pages. Dédicace de l'auteure au stylo noir en page de titre. Deux photos disponibles.. . . . Classification Dewey : 90-Livres rares‎

Reference : RO80246864
ISBN : 2234060354


‎"Collection ""La Cosmopolite"". Traduit de l'espagnol (Cuba) par Marianne Millon, avec le concours du CNL. Classification Dewey : 90-Livres rares"‎

€49.50 (€49.50 )
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‎Attribué à Desperet ou Desperret, Auguste (en 1865), dessinateur‎

Reference : 26590

‎Mes camarades, mes chers camarades !..... je suis aussi républicain que vous…. j’aime la liberté….l’égalité…..je veux votre bien…votre bien à tous….le bien de tout le monde - Lithographie‎

‎ La Caricature politique, morale, littéraire et scénique (Titre de l'ensemble) Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 21 février 1833 (Planche n°249)- 1833- Lithographie- Dimensions - Oeuvre: Hauteur: 35.8cmx Largeur: 27.3cm- Dimensions - Image: Hauteur: 16.6cmx Largeur: 18cm - Titre en bas au centre : « Mes camarades, mes chers camarades !..... je suis aussi // républicain que vous…. j’aime la liberté….l’égalité…..je // veux votre bien…votre bien à tous….le bien de tout le monde. » ; indications : en ht à gche : La Caricature (Journal (N°120), en ht à dte : « Pl. 249. »Inscription - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur]‎


‎Louis-Philippe, identifiable à son toupet et à ses favoris, se présente de face, assis sur un coffre fermé. Son visage est caché par un masque qu’il tient de la main gche. Il prononce les mots contenus dans le titre en tendant le bras droit vers le spectateur. La pl. dénonce les idées républicaines du roi qui ne constituent qu’une façade pour s’adresser aux républicains, comme l’évoque ce masque. Sitôt le masque tombé, le roi révèle ses véritables idées, qui sont contraires aux intérêts du peuple. Ses vêtements évoquant l’ancien régime et le coffre sur lequel il est assis (évocation de la cupidité du roi) reflètent le soin qu’il porte en réalité à préserver les privilèges d’ancien régime. Sur le mur du fond se découpe son ombre, en forme de poire. La table des matières du 5e vol. de La Caricature précise le sujet de la pl. : « Harpagon assis sur sa cassette et le visage masqué ». La pl. assimile donc clairement le roi des Français au personnage cupide de la pièce de théâtre L’Avare de Molière. ‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

Phone number : 33 04 94 63 34 56

EUR50.00 (€50.00 )

‎Par L. J. C.....n‎

Reference : 27976

(1829)

‎Galerie Rabelaisienne, ornée de 76 gravures ou Rabelais mis à la portée de tout le monde.‎

‎Paris, Chez N. Barba, éditeur, 1829, in-8, broché, pagination continue pages. 3 premières livraisons seulement totalisant 34 gravures et 144 pages. Cette édition reprend les chapitres se rapportant aux gravures ainsi qu'une notice explicative pour chacune d'entre elles. Importantes rousseurs sur l'ensemble des pages épargnant la majorité des superbes gravures composées pour les précédentes éditions des oeuvres de Rabelais. ‎


Phone number : (+32) 470 87 87 88

EUR55.00 (€55.00 )

‎Fernand Girod‎

Reference : 78672

(1912)

‎Tout le monde magnétiseur : petit manuel d'experimentation magnétique et hypnotique ‎

‎Paris, La vie mystérieuse, 1912, 12X19cm, broché, 50p. Très bon état. ‎


Phone number : (+32) 470 87 87 88

EUR20.00 (€20.00 )

‎DESPERET‎

Reference : 25077

(1833)

‎Allons vite,des commissaires,des archers,des prevots,des juges,des genes ,des potences et des bourreaux,je veux faire pendre tout le monde.Lithographie originale.‎

‎ 1833 1833. Planche 274 de La Caricature N° 132.La Caricature, 16 mai, 1833. Lithographie originale sur Velin blanc. . . Belle épreuve en noir et pli vertical,plis;lithographie en noir sur velin blanc,,tirage bien noir malgré l'image jaunie‎


‎bon etat, leger pli horizontal et vertical d'epoque..Translation: ‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

Phone number : 33 04 94 63 34 56

EUR60.00 (€60.00 )

‎[Imprimerie de J.-A. Quillot] - ‎ ‎Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD‎

Reference : 33946

(1848)

‎Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

‎1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎


‎Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

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