Henri Lefebvre éditeur. 1950. In-12. Broché. Bon état, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Non coupé. 286 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : RO80221792
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
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P., Henri Lefebvre,s.d. (1950). in-8°, br., couv. ill., non coupé.
Tirage ordinaire de l'EDITION ORIGINALE (dont il n'y a eu que 88 grand papier).
Paris, Librairie ancienne Honoré Champion, coll. « Bibliothèque de la revue de littérature comparée, N° 16 & 57 » 1928 2 volumes. In-4 25 x 16,5 cm. Brochés, couvertures rempliées beiges, titre en rouge sur les dos et les premiers plats, VIII-227-310 pp., notes en bas de page, table des matières à la fin de chaque volume. Couvertures poussiéreuses.
Bon état d’occasion
P., Librairie ancienne Edouard Champion, 1924, gr. in-8°, viii-229 pp, notes, broché, couv. rempliée (lég. défraîchie et salie), bon état (Bibliothèque de la Revue de ittérature comparée, 16)
M. Larg, maître de conférences à l'Université de Sheffield, a tiré des oeuvres de Mme de Staël une manière d'autobiographie qu'il mène jusqu'en 1800. Dans ses essais de jeunesse, pièces de théâtre, nouvelles romanesques, dissertations philosophiques, comme plus tard, de 1795 à 1800, dans ses grands traités de l'Influence des passions, des Circonstances actuelles, de la Littérature, Mme de Staël ne parle que d'elle-même. Elle avait les idées de son tempérament, et ses doctrines politiques sont en liaison étroite avec son rêve nostalgique et constant d'amour infini. Elle est femme : « La gloire elle-même », disait-elle, « ne saurait être pour une femme qu'un deuil éclatant du bonheur. » M. Larg cherche et trouve la femme derrière l'auteur. II a la finesse psychologique, l'information très sûre, le style savoureux, la plume spirituelle. Sa langue maternelle est l'anglais ; son humour, transposé par lui-même en français, paraît comme distillé et plus piquant. Son livre est charmant et, historiquement, fort instructif. Quand la jeune Germaine Necker, correctement assise sur un tabouret, suivait attentivement la conversation dans le salon philosophique de sa mère et que l'abbé Raynal, causant avec elle comme avec une grande personne, lui prenait les deux mains dans les siennes et l'engageait à écrire une dissertation sur l'édit de Nantes, elle avait déjà en tête toutes les doctrines politiques qu'elle élaborera plus tard en idéologies libérales, tout ensemble progressistes et conservatrices : le bonheur commun réalisé par l'élite et à la tête de l'élite un homme aimé, son père d'abord sous la monarchie absolue, puis Narbonne, qu'elle poussa au ministère sous la monarchie constitutionnelle, et B. Constant, qu'elle aurait voulu hisser aux premières places sous la République directoriale. Quant au mari, il ne compte pas. « Ce fut sans doute un pauvre homme », écrit M. Larg (p. 79), « diplomate de cuisine », aux « médiocres talents » et sans autre attache morale à Paris « que sa vanité et son insignifiance ». M. Larg a raison si son dessein est de transcrire l'opinion intime de Mme de Staël sur son conjoint, tort s'il prend ce jugement à son compte. Car Staël fut, somme toute, un galant homme, et qui voyait les événements beaucoup plus intelligemment que son collègue Gouv. Morris, dont on a tant vanté la perspicacité politique. Ses dépêches diplomatiques, même à l'époque ou l'on a de bonnes raisons de croire que Mme de Staël n'a pas participé à leur rédaction, ne sont pas du premier venu. Il en est des idées politiques de Mme de Staël comme de ses préventions contre son mari ; elles sont issues des mouvements tumultueux de son âme, et comme elles ont, à tout prendre, une réelle importance dans l'histoire de l'esprit public en France, l'histoire littéraire a rendu, avec M. Larg, un vrai service à l'histoire politique en en faisant mieux connaitre la nature et la genèse. (G. Pariset, Revue Historique, 1926)
P., Champion (Bibliothèque de la Revue de Littérature Comparée), 1928, grand in 8° broché, 311 pages ; non coupé ; couverture rempliée (fanée).
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