JULES TALLANDIER. 1928. In-12. Broché. Etat passable, Couv. défraîchie, Coiffe en pied abîmée, Quelques rousseurs. 221 pages. Couverture très sale. Dos très frotté. Ouvrage à relier.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : RO80203424
COLLECTION COEURS ENNEMIS Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
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Passe, Crispijn de: Oficina arcularia in qua sunt ad spectantia diverse eximia exempla ex variis autoribus collecta : Bouticque menuserie d'dens laquelle sont comprins les plus notable fondaments, non moins arichesse avecq des nouvelles inventons : Schriner Laden in wilchem begriffen seyn unterscheidtliche schoene Fondamenten zu Nutz deren Constliebhaberen : Schrinwerckers winckelwaer in begrepen sijn de principaelste stucken der schreinwerckers const fondamentlick gestelt ende mit nieuwe inventien verciert door Crispinum Passeum Juni. Amsterdam: 1642. 20 engraved plates housed in hinged mounts in a blue morocco case. Many of the plates are watermarked with 'VS' and a small crescent, and countermark capital R. Tiny wormhole to title. A closed tear in the margin of plate T has been professionally repaired. Occasional short splits, creases, light markings and toned areas usually not affecting the images. Overall an excellent, clean set with wide margins. Second edition. The complete suite of plates from the influential pattern book Oficina Arcularia, depicting existing Dutch and French designs for furniture engraved by the master Crispin de Passe the Younger, of the extraordinary de Passe family of engravers and publishers. Oficina Arcularia is 'one of the most important contemporary records of northern European renaissance furniture' and 'not only influenced English cabinet makers but set the format for later works of the type' (Weinreb, The Arts Applied, pp 31-32). The multi-lingual title page is evidence for the book's broad market, and it was so influential that today many museum pieces can be identified with specific engravings. Oficina Arcularia was first published in Utrecht in 1621. These plates are from the second edition, which was published in Amsterdam in 1642 and includes all but two of the plates from the first edition and adds eight more. Both editions are uncommon.
The complete suite of plates from the influential pattern book Oficina Arcularia, depicting existing Dutch and French designs for furniture engraved by the master Crispin de Passe the Younger, of the extraordinary de Passe family of engravers and publishers. Oficina Arcularia is 'one of the most important contemporary records of northern European renaissance furniture' and 'not only influenced English cabinet makers but set the format for later works of the type' (Weinreb, The Arts Applied, pp 31-32). The multi-lingual title page is evidence for the book's broad market, and it was so influential that today many museum pieces can be identified with specific engravings. Oficina Arcularia was first published in Utrecht in 1621. These plates are from the second edition, which was published in Amsterdam in 1642 and includes all but two of the plates from the first edition and adds eight more. Both editions are uncommon.
Lettre autographe signée datée du14 janvier 1932, adressée à un «Gouverneur Général» à propos de la Légion d’Honneur. Victime d’une violente crise de paludisme, Jean d’Esme n’a pu présenter ses vœux au Gouverneur Général. «Dès que j’irai mieux, j’irai vous voir au Grand Palais. D’autant que, si vous le voulez-bien, je vous demanderai l’appui que vous m’avez si cordialement promis pour cette fameuse Légion d’Honneur pour laquelle j’ai déjà été quatre fois proposé – dont la première par vous. Je sais que Gaston Rageot vous a vu à ce sujet – et qu’il a vu également Paul Raynaud [ sic ]… Or, cette fois - tout dépend de vous – puisqu’il s’agirait de me faire passer dans la promotion de l’Exposition Coloniale – à laquelle j’ai – vous le savez, bien des titres (par les collections que j’ai exposées, les articles que j’ai écrits, et toute mon œuvre purement coloniale). Or, en la circonstance, nul n’est plus puissant que vous [… ]
Spécialiste du roman colonial, l’écrivain et journaliste Jean d’Esme (1894-1966) est né à Shanghaï. Son roman le plus fameux, «Les Dieux Rouges» se déroule en Indochine. Cet intéressant autographe provient de la collection de Claude Seignolle, qui a joliment indiqué de sa main sur la chemise le conservant: «Jean d’Esme, écrivain de voyages et sa Légion d’honneur rétive»…
1 L.A.S. de Georges Monval adressée au Général Brunon, relative à Talma, 2 pp. in-8 sur papier à en-tête de la Comédie-Française, 15 décembre 1885, avec le duplicata de la lettre du Général Brunon contrecollé en tête, 3 pp. in-12.Rappel du titre complet : Lettre autographe signée de Georges Monval, Bibliothécaire Archiviste de la Comédie Française, au Général Brunon [ à propos des pièces de Talma jouées à la Comédie Française ] Mardi 15 décembre 1885 "Monsieur, j'ai l'honneur de vous informer qu'aucune pièce de Talma n'a été représentée ni soumise au Comité de lecture de la Comédie-Française. Je dois ajouter que, dans sa jeunesse, Talma a écrit quelques pièces et que, plus tard, il a remanié plusieurs tragédies, notamment l'Hamlet de Ducis, son ami. J'ai vu passer, il y a quatre ans, en vente publique, une lettre à Talma, datée de 1786 (il avait alors 23 ans), dans laquelle il dit avoir une pièce de théâtre à l'examen et d'autres en tête". Jointe contrecollée en tête le duplicata de la lettre du Général Brunon adressée à Jules Claretie, Directeur du théâtre de la Comédie-Française : "Monsieur, je possède le manuscrit d'une tragédie en trois actes de Talma qui est je crois inédite. Elle porte le titre de Gunide [ ? ] et faisait parti d'un recueil plus volumineux puisque la pagination de la tragédie ne commence qu'à 574 pour finir à la page 688 sur laquelle est écrit le mot : Fin. La page 573 termine une pièce de vers qui semble faite à l'occasion du couronnement de Napoléon Ier. Le mot fin n'y figure pas ce qui paraît indiquer que la tragédie termine le recueil des oeuvres de Talma. Étant naturellement désireux d'avoir à ce sujet des renseignements plus complets, je ne saurais mieux faire que de m'adresser à votre obligeance pour les obtenir. Le Théâtre-Français doit en effet posséder des données sur ce qu'a pu faire l'artiste admirable [ ... ]
Bon état. Archiviste bibliothécaire de la Comédie-Française, Georges Monval (1845-1910) est l'un des plus fameux moliéristes de son temps.
[BOURBON (Louis-Auguste, de)]. Le cuisinier gascon. Nouvelle édition, à laquelle on a joint la Lettre du Patissier Anglois. Amsterdam [Paris], s.i., 1747 ; in-12, plein veau marbré, dos à nerfs orné de fleurons, roulette dorée sur les coupes, tranches rouges (reliure de l’époque). 4 ff., 244 pp.
Seconde édition de ce livre rare et recherché, l’un des plus célèbres manuels de cuisine. L’édition originale parut anonymement en 1740. Selon Simon et Guégan, tout porte à croire que l’auteur n’est autre que le prince de Dombes, Louis-Auguste de Bourgon, qui se serait d’ailleurs dédicacé à lui-même son ouvrage. La Lettre du Patissier Anglois, qui ne figurait pas dans l’originale, aurait été écrite par Monsieur Desalleurs l’aîné, fils de l’ambassadeur français à Constantinople et le livre, bien que la ville d’Amsterdam soit mentionnée sur la page de titre, aurait été imprimé à Paris. Tous ces éléments conduisent Simon à déclarer « the whole publication was somewhat of a hoax ». Une charmante faisanderie dans laquelle transparaît le goût du prince dans les quelques 217 recettes d’entrées et d’entremets, « recettes paysannes ou raffinées, en ordre dispersé, où les ragoûts sont souvent mouillés de champagne et les saveurs soulignées par l’orange et le citron » (Livres en Bouche). Certaines appellations sont tout à fait curieuses : sauces au singe vert, poulets en chauve-souris, sauce bachique, hachis d’œufs sans malice, beignets bachiques, gâteau à la jacobine, yeux de veaux farcis au gratin, truite à la hussarde, toutes choses « au baptême affriandeur » (Goncourt). Une place de choix est également réservée à la gastronomie italienne : écrevisses à la Napolitaine, macaroni au lait, veau à la Piémontaise, lasagnes, foie gras à l’italienne, etc. Vicaire, 233. – Oberlé, 112. – Bitting, 540. – Simon Gastronomica, 421. – Maggs, 237. – Petit manque de cuir sur le haut du premier mors et sur le dos, quelques frottements à la reliure, minuscule trou de ver au second mors, trace de restauration en queue, charnières fatiguées, brunissures marginales sur les deux premiers feuillets, discrète mouillure claire à partir de la page 163, intérieur très frais autrement. Quelques défauts, mais bel exemplaire relié à l’époque d’un livre difficile à trouver dans cette condition.
[BOURBON (Louis-Auguste, de)]. Le cuisinier gascon. Nouvelle édition, à laquelle on a joint la Lettre du Patissier Anglois. Amsterdam [Paris], s.i., 1747 ; in-12, plein veau marbré, dos à nerfs orné de fleurons, roulette dorée sur les coupes, tranches rouges (reliure de l’époque). 4 ff., 244 pp.
Seconde édition de ce livre rare et recherché, l’un des plus célèbres manuels de cuisine. L’édition originale parut anonymement en 1740. Selon Simon et Guégan, tout porte à croire que l’auteur n’est autre que le prince de Dombes, Louis-Auguste de Bourgon, qui se serait d’ailleurs dédicacé à lui-même son ouvrage. La Lettre du Patissier Anglois, qui ne figurait pas dans l’originale, aurait été écrite par Monsieur Desalleurs l’aîné, fils de l’ambassadeur français à Constantinople et le livre, bien que la ville d’Amsterdam soit mentionnée sur la page de titre, aurait été imprimé à Paris. Tous ces éléments conduisent Simon à déclarer « the whole publication was somewhat of a hoax ». Une charmante faisanderie dans laquelle transparaît le goût du prince dans les quelques 217 recettes d’entrées et d’entremets, « recettes paysannes ou raffinées, en ordre dispersé, où les ragoûts sont souvent mouillés de champagne et les saveurs soulignées par l’orange et le citron » (Livres en Bouche). Certaines appellations sont tout à fait curieuses : sauces au singe vert, poulets en chauve-souris, sauce bachique, hachis d’œufs sans malice, beignets bachiques, gâteau à la jacobine, yeux de veaux farcis au gratin, truite à la hussarde, toutes choses « au baptême affriandeur » (Goncourt). Une place de choix est également réservée à la gastronomie italienne : écrevisses à la Napolitaine, macaroni au lait, veau à la Piémontaise, lasagnes, foie gras à l’italienne, etc. Vicaire, 233. – Oberlé, 112. – Bitting, 540. – Simon Gastronomica, 421. – Maggs, 237. – Petit manque de cuir sur le haut du premier mors et sur le dos, quelques frottements à la reliure, minuscule trou de ver au second mors, trace de restauration en queue, charnières fatiguées, brunissures marginales sur les deux premiers feuillets, discrète mouillure claire à partir de la page 163, intérieur très frais autrement. Quelques défauts, mais bel exemplaire relié à l’époque d’un livre difficile à trouver dans cette condition.