PAYOT. Janv. 1990. In-8. Cartonné. Très bon état, Couv. fraîche, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 370 pages. Quelques planches illustrées en noir et blanc.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 929.2-Histoire des familles célèbres
Reference : RO80131560
ISBN : 2286466645
Documents Payot. Classification Dewey : 929.2-Histoire des familles célèbres
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Groupe l'Expresse. 2017. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 66 pages - nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : 1917-2017 Centenaire de la révolution russe, les derniers feux du tsar Nicolas II - Notre grande collection héraldique n°7 : Nicolas II, empereur de toutes les Russies - L'abdication et l'odyssée funeste - Le vrai Raspoutine, entre vérités et légendes - Maison Romanov, qui sont les héritiers ? - Le saviez-vous ? Des tsars hors normes - Nicolas II, l'impossible autocrate, l'effondrement de la Russie tsariste - L'abdication de Nicolas II et sa mise aux arrêts - Le palais Alexandre, la dernière demeure de Nicolas II - Napoléon, la Russie et moi.. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Payot, 1990, in-8°, 370 pp, 16 pl. de photos hors texte, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
Dernier tsar de Russie, Nicolas II éclate en sanglots à l’annonce de son accession au trône. Lui qui rêvait de voyager, de voir le monde, va devoir gouverner, décider, agir. Dominé par sa femme Alexandra Fedorovna, tombé sous la coupe de Raspoutine, celui qu’on a surnommé Nicolas le Sanglant n’est pas un sanguinaire. Il regrette volontiers les effets cruels des mesures qu’il prend et juge simplement qu’il fait son devoir. Mais l’histoire ne cesse de le bousculer : il fait face à deux révolutions, préside une assemblée, la Douma, qu’il a acceptée à contrecœur, et fait la guerre alors qu’il se voulait l’apôtre de la paix. Après son abdication, il est séquestré à Tsarskoï Selo puis transféré à Ekaterinbourg, où il est exécuté ainsi que sa femme, ses filles, le tsarévitch et quelques proches.Archives à l’appui, Marc Ferro a mené l’enquête avec brio et apporte un éclairage nouveau sur la vie de Nicolas II, sur sa personnalité énigmatique et sur les circonstances de la disparition des Romanov. Sont-ils vraiment morts et sont-ils tous morts ? À ce carrefour où la légende croise le fait divers, le doute demeure.
Fayard, 2007, in-8°, 552 pp, 4 cartes, sources et biblio, généalogies, index, broché, couv. illustrée, bon état, envoi a.s.
Le règne du dernier empereur de Russie a-t-il marqué l'inexorable déclin d'un régime ne pouvant déboucher que sur une rupture violente et radicale – celle d'octobre 1917 – ou bien recelait-il les éléments d'une transition interrompue ? S'attachant au destin du dernier tsar de Russie, l'ouvrage soulève une multitude de questions. Plus que tout autre, Nicolas II, héritier des réformes d'Alexandre II, a œuvré pour la modernisation de son pays, apportant des changements profonds à l'Etat, à la société et à l'économie russes. L'échec et la révolution étaient-ils alors inscrits dès le départ dans le processus de modernisation ? Faut-il accepter l'idée défendue par certains historiens que toute tentative de réforme est en Russie condamnée à ouvrir la voie à la barbarie ? Ou bien peut-on regarder le stalinisme puis la stagnation néostalinienne comme une funeste parenthèse ? Tel sont les thèmes sous-jacents de cette chronique et analyse du règne de Nicolas II.
Fayard, 1996, in-8°, 552 pp, 4 cartes, sources et biblio, généalogies, index, reliure souple éditeur illustrée lég. abîmée, bon état
Le règne du dernier empereur de Russie a-t-il marqué l'inexorable déclin d'un régime ne pouvant déboucher que sur une rupture violente et radicale – celle d'octobre 1917 – ou bien recelait-il les éléments d'une transition interrompue ? S'attachant au destin du dernier tsar de Russie, l'ouvrage soulève une multitude de questions. Plus que tout autre, Nicolas II, héritier des réformes d'Alexandre II, a œuvré pour la modernisation de son pays, apportant des changements profonds à l'Etat, à la société et à l'économie russes. L'échec et la révolution étaient-ils alors inscrits dès le départ dans le processus de modernisation ? Faut-il accepter l'idée défendue par certains historiens que toute tentative de réforme est en Russie condamnée à ouvrir la voie à la barbarie ? Ou bien peut-on regarder le stalinisme puis la stagnation néostalinienne comme une funeste parenthèse ? Tel sont les thèmes sous-jacents de cette chronique et analyse du règne de Nicolas II.
Le Cherche Midi, 2002, gr. in-8°, 502 pp, traduit du russe, 16 pl. de photos hors texte, notices biographiques, index, broché, couv. illustrée, bon état
Nicolas Romanov devient prince héritier en 1881, après l'assassinat de son grand-père, le tsar réformateur Alexandre II. Lui-même sera exécuté dans une cave d'Ekaterinbourg en Russie, en 1918, avec sa famille. Entre-temps, son règne, son existence auront été marqués au sceau de la guerre et de la révolution. Edvard Radzinsky commence par « feuilleter » le journal intime du tsar. Au fil des pages se reconstitue l'image d'un jeune homme qui, n'était sa condition de futur souverain, eût pu être tout simplement « comme les autres » : parties de chasse et de pêche, goût du sport et de la vie militaire, bals et premières amours, puis rencontre avec celle qu'il épousera en 1894 : « Alix », la future tsarine Alexandra Fiodorovna. Dès lors, le bonheur de Nicolas serait à peu près sans nuage, sans la mort subite de son père, Alexandre III en 1894. Bon gré mal gré, Nicolas ceint la couronne. C'en est fini de sa quiétude. Terrorisme, manifestations de rues, problèmes diplomatiques, tout semble s'enchaîner pour conduire à l'année 1914, le « début de la fin ». Survient la révolution. Nicolas et sa famille se retrouvent bientôt prisonniers du nouveau pouvoir, qui se sait bien peu solide mais ne reculera devant rien pour rester aux commandes. Le tsar déchu est-il une menace potentielle ? Qu'à cela ne tienne ! On l'éliminera. Et le massacre commence. Témoignages de contemporains et acteurs des événements, archives, enquêtes, Edvard Radzinsky multiplie les approches et fouille le passé pour tenter de reconstituer les faits et d'éclaircir les nombreux points demeurés obscurs de la tragédie russe. Une tragédie qu'il fait revivre au lecteur, à sa manière impressionniste, dont l'émotion n'est pas la moindre des composantes.