ACTES SUD JUNIOR. 2007. In-12. Broché. Très bon état, Couv. fraîche, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 64 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc, dans le texte et en hors-texte.. . . . Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants
Reference : RO80087403
ISBN : 274276478X
"Illustrations de Béatrice Rodriguez. Série ""Cadet"" Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants"
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Dimension extérieur 35,5 x 26 cm, cuvette 21,5 x 15 cm. Magnifique eau-forte réalisée par le très célèbre Francisco de Goya en 1799. Elle est en parfait état. Dimensión externa 35,5 x 26 cm, cuenco 21,5 x 15 cm. Hermoso grabado del famosísimo Francisco de Goya en 1799. Está en perfecto estado.
C'est une gravure faisant partie de la série Los Caprichos, série de 80 gravures mettant en avant une satire de la société espagnol de l'époque, principalement de la noblesse et du clergé. Il s'agit ici du numéro 68 de cette série. Nous possédons d'autres gravures de Goya, qui vont des références EST147B2 à EST152B2 Se trata de un grabado de la serie Los Caprichos, una serie de 80 grabados que satirizan la sociedad española de la época, principalmente la nobleza y el clero. Este es el número 68 de esta serie. Tenemos otros grabados de Goya, desde EST147B2 hasta EST152B2
Tallandier. 10 décembre 1928. In-12. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 481 à 560. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte. Pages 517-518 partiellement déchirée, altérant la lecture.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Sommaire : Sa maitresse et moi par Marcel Prévost, La jolie caissière par André Birabeau, Ton amour n'est pas a toi (suite) par Jane Catulle Mendès, Le chauffeur par Henri Duvernois, Petites épouses (V) par Myriam Harry, Le train perdu par Claude Farrère, Une inconnue de Musset par Charles Clerc, La patronne, acte deuxième par Maurice Donnay Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
[Imprimerie Emile Flouret] - DE LA BATUT, Jeanne et Pierre
Reference : 44471
(1900)
1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]
Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.