DU SAGITTAIRE - KRA Simon. 1924. In-16. Broché. Bon état, Couv. fraîche, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 91 pages. Edition originale, exemplaire n°279 / 500, tiré sur papier de Rives. Fac-similé en frontispice. Couverture contre-pliée.. . . . Classification Dewey : 94.4-Editions numérotées
Reference : RO80085282
"""Les Cahiers Nouveaux"" n°2. Classification Dewey : 94.4-Editions numérotées"
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
Bruxelles, Imprimerie l'Avenir, 1927 Brochure, couverture papier, 145 x 225mm., 46pp.
Extrait du Receuil des Memoires couronnes et autres memoires de l'Academie royale de Medecine de Belgique, tome XXIII. Bon etat.
Turnhout, Brepols, 1997 Hardback, 414 p., 3 planches, 160 x 240 mm. ISBN 9782503505800.
La maison priorale des Hospitaliers situee a Saint-Gilles, sur la rive languedocienne du Petit-Rhone, est l'un des plus anciens etablissements de l'ordre de Saint-Jean de Jerusalem en Occident. Son cartulaire, aujourd'hui conserve dans les archives municipales d'Arles, est riche de trois cent soixante dix-huit actes echelonnes de 1129 a 1210. Il fournit une information exceptionnelle, non seulement sur l'histoire de l'Hopital dans la premiere phase de son implantation meridionale, mais egalement sur la mise en valeur de la Camargue, sur les structures sociales, sur les rapports entre les villes (Arles, Saint-Gilles, Beaucaire) et leur arriere-pays, au temps de la mise en place des consulats, ainsi que sur les mentalites religieuses. Dans une region ecartelee entre les pouvoirs civils et ecclesiastiques rivaux, partagee entre Empire et Royaume, les Hospitaliers s'infiltrent peu a peu et tissent patiemment un reseau de possessions foncieres, de liens feodaux et de droits de seigneurie, destines a faire d'eux l'une des plus importantes puissances economiques des pays du Bas-Rhone. Languages : French.
[Médecine]. Administration générale de l'Assistance publique à Paris.
Reference : 2598
Berger-Levrault, éditeurs. 1913. Grand in-8° broché. 46 pages. Nombreuses planches (certaines dépliantes), photos, figures.
Bon état.
Hospice Général et Bernard Lescaze 17,5 x 24,5 Jaquette en très bon état Couverture rigide Genève 1985 Jaquette et reliure pleine toile éditeur, titre doré, XVI-429 p., 3 illustrations en couleurs et noir&blanc, index, annexes, préface de Jean Imbert. Ouvrage de référence relatant 450 ans de vie et d'actions sociales à Genève, basé sur des recherches d'archives retraçant l'histoire d'une institution qui se mêle étroitement à l'histoire de la Ville de Calvin. Sous la direction de Bernard Lescaze avec la contribution de : Danièle Anex-Cabanais, Des hôpitaux médiévaux à l'Hôpital général de Genève; Micheline Courvoisier, l'Hôpital général et ses assistés. L'Hôpital , ses responsables et ses pensionnaires; Bernard Lescaze, Pouvoirs publics, charités privées. L'Hôpital général dans la Cité au XVIe siècle; Anne-Marie Barras-Dorsaz, Un mode de réporession genevois aux XVIIe et XVIIIe siècles: La maison de Discipline; Liliane Mottu-Weber, Rouets, navettes et dévidoirs à l'Hôpital général de Genève, XVIe-XVIIIe siècle; Anne-Marie Piuz, Poule au pot et pot-au-feu à l'Hôpital général de Genève [1675-1700]; Gabriella Cahier-Buccelli, l'Hôpital général de Genève à une époque charnière [1676-1712]; Livio Fornara & Barbara Roth-Lochner, Un bâtiment neuf pour des ambitions nouvelles. La construction de l'Hôpital général de Genève de 1707 à 1712; Daniel Aquillon, Hélène Chambras, Marie Passant, Georges Parvis...ou le don et l'abandon d'enfants à l'Hôpital au XVIIIe siècle; Laurence Wiedmer, Les moulins de l'Hôpital général de Genève au XVIIIe siècle; Dominique Zumkeller, Les domaines ruraux de l'Hôpital général de Genève au XVIIIe siècle; walter Zurbuchen, L'Hôpital général de Genève au temps de la Révolution et de l'Empire ou l'ère des tribulations; Gabriel Mützenberg, A travers les assistés de l'Hôpital général de Genève, un regard sur la société de 1830; Marco Marcacci, L'égalité des Genevois devant l'assistance: la création de l'Hospice général [1847-1869]; Guy Perrot, L'Hospice général, institution d'action sociale. De 1869 à 1985. Bel ouvrage en excellent état.(C63) Livre
Parfait
Paris s. d. [1890] | 21.30 x 14 cm | 3 pages in-8 au verso de 4 feuillets de l'Assistance publique de Paris
Manuscrit autographe complet signé de Paul Verlaine d'une des Chroniques de l'hôpital, 90 lignes serrées à l'encre noire, au verso de feuillets de l'Assistance publique de Paris. Chronique de l'une des hospitalisations de Paul Verlaine, se produisant entre septembre 1889 et février 1890. La mention «III» a été rayée au crayon bleu de typographe. Dans leur recueil définitif, le texte se trouve en effet en seconde position. Dans la version publiée par Le Chat noir, le 5 juillet 1890, on ne constate pas de variante avec notre manuscrit. Il s'agit donc du dernier état du texte remis à l'imprimeur. Jacques Borel situe la rédaction de cette chronique lors d'un passage à l'hôpital Cochin en juin 1890. Verlaine a passé de longs jours hospitalisés au cours de sa vie et plus particulièrement à cette époque. Durant ces séjours, il compose les Chroniques de l'Hôpital, des poèmes en prose en huit parties. Il y mêle l'anecdote, les observations de la vie des malades ainsi qu'une fine analyse poétique du milieu hospitalier. Verlaine débute par un constat troublant et désabusé: «Décidément, tout de même, il noircit l'Hôpital, en dépit du beau mois de juin [...] Oui, l'Hôpital se fait noir malgré philosophie, insouciance et fierté.» Malgré le beau temps, la rigidité du système, la misère et la maladie assombrissent la vision du poète: «Réprimons toutes objections sous peine d'expulsions toujours dures, même en ce mois des fleurs et du foin, des jours réchauffants et des nuits clémentes, pour peu que l'on loge le diable dans sa bourse et la dette et la faim à la maison.» La sortie, par expulsion ou pour guérison et la vie à l'extérieur n'offrent pas plus de réconfort que le séjour: «Évidemment nous sortirons tôt ou tard, plus ou moins guéris, plus ou moins joyeux, plus ou moins sûrs de l'avenir, à moins que plus ou moins vivants. Alors nous penserons avec mélancolie [...] à nos souffrances morales et autres, aux médecins inhumains ou bons.» Un sentiment déjà éprouvé lors de ce qu'il appelle «mes entractes», temps où il n'est pas hospitalisé. Car à la sortie de l'hôpital, c'est une vie de misère qui l'attend, malgré sa reconnaissance déjà acquise. Sa misère, Verlaine la met en parallèle de celle de la classe ouvrière qui partage ses séjours dans des hôpitaux. Le poète appelle à la résignation ses «frères, artisans de l'une et de l'autre sorte, ouvriers sans ouvrage et poètes... avec éditeurs, résignons-nous, buvons notre peu sucrée tisane ou ce coco, avalons bravement qui son médicament, qui son lavement, qui sa chique ? ! Suivons bien les prescriptions, obéissons aux injonctions, que douces nous semblent les injections et suaves les déjections, et réprimons toutes objections». Avec eux, le poète souhaite profiter de la beauté du mois de juin en reprenant deux vers de la Chanson sentimentale de Xavier Privas: «Nous nous plairions au grand soleil. Et sous les rameaux verts des chênes, nous, les poètes, aussi bien qu'eux, les ouvriers, nos compagnons de misère.» Égaux devant le malheur, qu'ils soient actifs ou oisifs, pourraient-ils ressentir de la nostalgie une fois dehors: «Et peut-être un jour regretterons-nous ce bon temps où vous travailleurs, vous vous reposiez, où nous, les poètes, nous travaillions, où toi l'artiste, tu gagnais ton banyuls et tes tods?» Malgré cette rêverie, Verlaine est «las de tant de pauvreté (provisoirement, croyez-le, car si habitué, moi, depuis cinq ans ? !)» et il conclut, amer par le constat d'une médecine moderne sans humanité: «l'Hôpital avec un grand H, l'idée atroce, évocatrice d'une indicible infortune, de l'Hôpital moderne pour le poète moderne, qui ne peut, à ses heures de découragement, que le trouver noir comme la mort et comme la tombe et comme la croix tombale et comme l'absence de charité, votre Hôpital moderne tout civilisé que vous l'ayez fait, hommes de ce siècle d'argent, de boue et de crachats ? !» - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85