LE COURRIER DU LIVRE. Non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages.. . . . Classification Dewey : 152-Perception sensorielle
Reference : RO80082494
"Collection ""Jean"". Classification Dewey : 152-Perception sensorielle"
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, Snoeck, 2018 Hardcover, 368 pages, FR. edition, 290 x 230 x 35 mm, Comme Neuf !, Illustrations en couleur / n/b. ISBN 9789461615138.
Dans le cadre des collaborations entre mus es du Grand-Ouest, le Mus e des Beaux-Arts de Rennes et le Mus e d'Arts de Nantes pr sentent de f vrier mai 2019 une exposition en coproduction intitul e loge du sentiment et de la sensibilit - Peintures fran aises du xviiie si cle des collections de Bretagne. Cet v nement pr sente l'originalit de se d rouler simultan ment dans les deux institutions avec un catalogue commun. Le propos g n ral de l'exposition est une d couverte de l'ensemble de la production picturale du Si cle des Lumi res travers le prisme du sentiment et de la sensibilit . Dans la seconde moiti de ce si cle, litt rature et peinture refl tent une nouvelle vision de l'Homme et de son environnement. Sentiment et sensibilit deviennent de nouvelles qualit s de l' me, donnant une libert in dite de ressentir le monde. Diderot s'interroge sur le sentiment dans la peinture et au th tre, Rousseau porte aux nues la sensibilit dans la Nouvelle H lo se et th orise une nouvelle forme d' ducation dans l' mile, Voltaire s' merveille de l'impact de la nature sur ses sens et son me... La peinture offre un cho enthousiaste et inspir ces pr occupations in dites. Le choix des oeuvres a t r alis essentiellement dans les riches collections conserv es aux mus es de Brest, Nantes, Quimper et Rennes avec des compl ments apport s par les collections publiques (mus es, glises, b timents municipaux) de Morlaix et de Lamballe. La r union de ces collections permet de repr senter l'ensemble des grands artistes du si cle tels qu'Antoine Watteau, Fran ois Boucher, Carle Vanloo, Charles Joseph Natoire, Jean Sim on Chardin, Hubert Robert, Jean-Baptiste Greuze ou Jean Honor Fragonard. L'exposition en deux parties organis e Rennes et Nantes, loge du sentiment et loge de la sensibilit , permet d'embrasser l' volution de la peinture fran aise sur un si cle, depuis Antoine Watteau jusqu'au d but du xixe si cle. Rennes s'expose la grande histoire, antique, religieuse et mythologique. Nantes met l'honneur les diff rents genres, du grand portrait d'apparat aux sensibles natures mortes. Ce partage des oeuvres s'appuie sur une division ancienne bien connue, que les hasards des collections semblent avoir reproduite dans nos mus es : Rennes conserve davantage de peintures d'histoire que Nantes, qui s'illustre plus dans la peinture de genres. Un premier ensemble d'environ 70 tableaux, r uni Rennes autour de la notion de sentiment, voquera en quatre sections l' volution de la peinture sujet historique (biblique, mythologique, antique et contemporaine). Un second ensemble d'environ 70 oeuvres pr sente en six sections au Mus e d'arts de Nantes un parcours autour de la notion de sensibilit travers la peinture de genre (portraits, sc nes galantes, paysage, natures mortes.). Cet v nement in dit fait suite l'organisation en 2013, par les mus es de Quimper et de Rennes, de l'exposition De V ron se Casanova, qui, selon le m me principe faisait le bilan des richesses des mus es bretons dans le domaine de la peinture italienne. Les restaurations et les recherches men es l'occasion de cet v nement ont permis d'apporter un clairage nouveau sur de nombreuses oeuvres et quelques d couvertes importantes dans les r serves de certains mus es
, Brepols, 2022 Hardback, lvi + 436 pages, Size:210 x 270 mm, Language(s):French, English. ISBN 9782503597775.
Summary This volume investigates religious music in France during the 19th century, after the disruption of the French Revolution and the Concordat (1801), until a few years after the Law of Separation of Churches and State (1905). With its various and complicated forms ? choral, instrumental, orchestral, etc.? and aesthetic concepts, 19th-century French religious music echoes the many facets of religious life in France, dominated by the Catholic faith, but diversified into many neo-Catholic systems (saint-simonism, humanitarianism, ultramontanism, etc.). Religious music interacts with society, moral philosophy, aesthetics, and politics. Thinkers such as Lamennais, Lacordaire, Montalembert, Dom Gueranger, and Renan, who had a deep influence on their contemporaries, were influential on musicians. The ideas of music writers such as F tis, d'Ortigue, F lix Cl ment are also studied. The texts in this volume explore the relation between music and worship, the liturgical movements and reforms, and the adoption of the Roman rite. Of particular interest is the research on plain-chant and its role in liturgy and musical compositions, as well as its intersections with politics. Case studies (Berlioz, Gounod, Liszt, Saint-Sa ns, Massenet, d'Indy, Faur ) illustrate these questions. Finally, several texts investigate the presence of religious elements in cabaret, and the educational or secular repertoire. According to D'Ortigue, If one bases one's thoughts on what we call 'religious sentiment', there are no more rules, no more limits . Religious sentiment allows a global view of secular and sacred conceptions, and explains the great musical variety in a period divided between tradition, science and faith. TABLE OF CONTENTS Nicolas Dufetel Introduction Syncr tisme, clectisme et sentiment religieux: Les transformations de la musique catholique en France au XIX me si cle entre profane, sacr et politique Musique religieuse, culte et soci t Clair Rowden Catholicism and Moral Philosophy in Nineteenth-Century France Vincent Petit La musique et le chant dans le culte catholique en France au XIX me si cle Nicolas Dufetel Charles Gay, Liszt et Gounod: artistes chr tiens entre Paris et Rome. Les ann es 1830 aux sources du catholicisme romantique Catrina Flint de M dicis Between the Impersonal and a Parcel of the Soul : Sacred Music Debates and the Parisian Schola Cantorum Le plain-chant: liturgie, arch ologie et politique Benedikt Lessmann Le chant gr gorien en France (1811-1908): entre liturgie, science, politique et esth tique Am lie Porret-Dubreuil Figures de la restauration de la musique d' glise: physionomie du Congr s pour la restauration du plain-chant et de la musique d' glise, Paris 1860 Nicolas Dufetel Les sources fran aises du plain-chant et de la Sainte lisabeth de Liszt: D' Ortigue, Montalembert, Raillard, Lambillotte et quelques autres Musique sacr e et 'Sacr e Musique' dans l' glise: tudes de cas Sylvia L' cuyer D' Ortigue, Berlioz, le Te Deum, et la vraie musique religieuse Alban Ramaut Hector Berlioz et l'expression du spirituel Christina M. Stahl Confessions de foi d'un incroyant: la musique religieuse de Camille Saint-Sa ns Helga Schauerte-Maubouet La musique religieuse de Gabriel Faur : ordre et beaut , luxe, calme et volupt Hors de l' glise: le sentiment religieux entre profane et sacr Michela Niccolai Le religieux 'populaire' dans la chanson: entre cabarets et maisons d' ducation pour les jeunes filles. L'exemple du Fonds Bornemann (1850-1910) Jean-Christophe Branger L'amour, ineffable myst re, Nous fut donn par l' ternel : Massenet et l'expression du sentiment religieux Timothy Flynn Newly Discovered Works by Charles Gounod: An Introduction to Some Unique Manuscript Sources at Northwestern University Jennifer Walker Les Drames sacr s and Sacred Drama: Armand Silvestre, Eug ne Morand, and Charles Gounod on the Neo-Christian Stage Pauline G nissel Le Principe religieux de Vincent d'Indy appliqu au Chant de la cloche Abstracts and Biographies Index
, , 1749-1750. 2 vol. in-12 à 15 lignes par page, texte encadré, de (8)-554 pp. ; (4)-509 pp., veau brun glacé, filets dorés sur les plats, dos orné à nerfs, pièce de titre "Oeuvres de H.M.R.D." en maroquin fauve, gardes de papier dominoté, tranches dorées (reliure de l'époque).
L’ensemble des quatre romans inédits d'Honoré Marie Regnier du Tillet s'inscrit dans le cadre d'une expérience littéraire singulière, née d'une mission administrative ordinaire, mais marquée par une réflexion profonde sur le genre du récit et la dynamique du sentiment dans la littérature. À vingt ans, l’auteur fut chargé de rédiger un « journal du voyage fait par la Maison du Roi » pour accueillir la Dauphine, Marie-Thérèse d'Espagne, en 1745, un événement diplomatique crucial sur la Bidassoa, à la frontière franco-espagnole. Ce journal, rédigé sous le regard d’un jeune fonctionnaire, ne possédait, selon ses propres termes, qu’un « intérêt sec » et un attrait limité à l’événement qu’il documentait. Cependant, le manuscrit initial, jugé trop austère, suscita l’intervention de la duchesse de Brancas, dame d'honneur de la dauphine, qui conseilla à l'auteur de romancer son récit en y introduisant deux histoires de sa propre invention, afin d’ajouter un « intérêt plus vif » au texte.L’auteur soumet son manuscrit aux conseils avisés de la marquise de Gomez, romancière de son époque, qui y apporta des ajustements stylistiques et structurels. Ce geste transformera un simple document administratif en un outil de création littéraire, donnant naissance à deux premiers romans sentimentaux : Le Prix de la vertu et Le Généreux armateur, datés du 1er janvier 1749. Ces romans, en dépit de leur naissance dans l'univers de la fonction publique, sont empreints d’une forte composante émotionnelle, reflet d’une société qui valorisait la sensibilité et la galanterie. L’épître dédicatoire qui accompagne ces ouvrages est révélatrice du lien entre l'écrivain et sa marraine littéraire, soulignant l’importance de l’échange intellectuel dans la construction de son oeuvre.Dans Les Vrais triomphes du sentiment, Regnier du Tillet s’engage dans une critique acerbe du roman de Jean Galli de Bibiena, Le Triomphe du sentiment, publié en 1750. Ce geste critique témoigne de la réflexion de l’auteur sur le rôle de la littérature sentimentale dans la société de son époque, et sur la manière dont les auteurs manipulent les affections humaines pour les inscrire dans un cadre moral. Le roman Relache à Malaga, né d’une traversée maritime ennuyeuse, illustre la manière dont l’écriture peut se nourrir des expériences quotidiennes et banales, donnant naissance à un genre littéraire qui s'inscrit dans le prolongement de la culture de la mer et de l'administration navale.Par la suite, Regnier du Tillet poursuivit une carrière dans l’administration de la Marine, avant de devenir un membre respecté de l’académie royale de marine et un acteur politique en Corse, où il fut élu député suppléant à l'Assemblée législative. Loin d’être seulement un écrivain, Regnier du Tillet incarne un homme de son époque, mêlant devoir administratif et ambition littéraire. L’influence de ses expériences de fonctionnaire, de marin et de critique littéraire se fait sentir tout au long de son œuvre, qui, tout en restant ancrée dans les préoccupations de la société de son temps, trouve une dimension universelle dans ses questionnements sur le sentiment et la vertu.Précieux recueil des oeuvres manuscrites restées inédites d'Honoré Marie Regnier Dutillet dont aucun des titres n'apparaît au catalogue de la BnF. Manuscrit calligraphié orné à l'encre noire de bandeaux, 2 frontispices (68 x 125 mm) et 7 en-tête (68 x 35 mm). Ex-libris "G.O." non identifié.[Regnier du Tillet] Doneaud Du Plan (Alfred), Histoire de l’Académie de Marine, Paris, Berger-Levrault, 1878.
P., Bossard, 1930, pt in-4° (21 x 27), 265 pp, frontispice original au burin par Gandon, texte encadré d'un filet rouge, broché, couv. salie, état correct. Edition originale, un des 200 ex. numérotés sur Arches (sur un tirage total de 1100 ex.)
"Le très intéressant ouvrage de M. Georges Grosjean a un but spécial qui est de s'enquérir si l'ancienne France a connu le sentiment que nous appelons aujourd'hui patriotisme, ce que l'on se refuse généralement à admettre. Sans nier qu'entre les provinces qui composaient le royaume de France existât un lien commun : la dynastie, on ne veut voir là qu'une relation exclusivement personnelle et l'on répète que les Français de l'ancien régime n'étaient qu'une « collection de petits peuples groupés autour d'un trône dont ils relevaient à titres divers ». Pour nous prouver l'existence du sentiment national, M. Georges Grosjean a choisi une période de notre histoire et, dans cette période, un épisode qui nous montre ce qu'était dans l'âme populaire le sentiment de loyauté dynastique qui faisait supporter sans plaintes à tant de bourgeois et de paysans les pires calamités. Son livre est la glorification, dans la France du quatorzième et du quinzième siècle, du patriotisme incarné dans la sainte et glorieuse figure de Jehanne, la bonne Lorraine, «, qu'Anglais brûlèrent à Rouen », et que chanta François Villon. M. Grosjean nous conte, une fois de plus, la merveilleuse histoire de celle qui fut l'interprète du sentiment national et l'âme même de la France." (Henri de Régnier, Le Figaro, 1932)
Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique."
Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).