MICHEL LEVY FRERES. 3ème édition. 1870. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Manque en coiffe de pied, Intérieur acceptable. 57 pages + 16 pages du catalogue de l'éditeur. Charnières partiellement fendues.. . . . Classification Dewey : 792-Théâtre
Reference : RO80060820
Drame en 1 acte, en vers. Classification Dewey : 792-Théâtre
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(s. l. n. d) 1925 Grand in-8 reliure demi-percaline vert bouteille, dos lisse et muet, non paginé, pages lignées de cahier, calligraphié en noir. Documents autographe administraitfs et journaux découpés contre-collés hors-texte. Menus frottements, coins et pieds rognés, rares rousseurs.
Registre des comptes et journaux du Cercle d’ouvriers, comtes rendus des AG des cercles catholique à Amiens et St Jacques. Eléments d’archives rare et authentique. Bon état d’occasion
Les Arènes 2014 In-4 cartonné 30,4 cm sur 25,2. 112 pages. Très bon état d’occasion.
Très bon état d’occasion
Karthala 2004 In-8 broché 24 cm sur 15,5. 593 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
Les éditions ouvtières 1985 In-8 broché 23,3 cm sur 15,4. 237 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
« Organe spécial de la classe laborieuse rédigé par des ouvriers exclusivement »
Reference : 42622
(1840)
Paris, , 1840-1850. Ensemble 128 livraisons en 3 vol. in-4, demi-maroquin rouge à long grain, dos à nerfs orné de filets dorés (reliure moderne).
Rarissime collection complète des 128 numéros de L'Atelier, premier journal important rédigé, composé et diffusé pour et par des ouvriers.Ce journal anti-capitaliste, apparu après la répression des grèves ouvrières des années 1830, est né de la coalition de divers métiers rassemblant environ 200 ouvriers qui se réclamaient du socialisme utopique et chrétien de Philippe Buchez. Le périodique fut le plus largement diffusé et le plus durable des journaux ouvriers de la capitale, puisque sa publication dura dix ans avant d'être interdite.L'Atelier, qui se qualifia d'abord d'Organe des intérêts moraux et matériels des ouvriers, prit à partir de la 5e année le sous-titre Organe spécial de la classe laborieuse, rédigé par des ouvriers exclusivement, puis, dès le n°6 de la 8e année (27 février 1848) adopta définitivement celui d'Organe spécial des ouvriers.Le rédacteur principal du journal était le typographe Anthime Corbon.« Pour évoquer la presse populaire autour de 1848, peu de noms remontent aussi aisément à la mémoire que celui de l'Atelier. Notoriété légitime que celle d'un journal dont l'originalité fut bien d'être rédigé par d'authentiques travailleurs manuels... Pourtant le révolutionnaire d'aujourd'hui qui se jetterait dans les colonnes de l'Atelier avec l'idée que ce journal, parce qu'il était le plus authentiquement prolétaire, était ipso facto le révolutionnaire le plus radical, risquerait d'être un peu déçu. C'est le marxisme-léninisme qui a introduit dans nos esprits comme une sorte d'évidence que la révolte armée lancée à l'assaut du Pouvoir est prolétarienne, tandis que la voie pacifique est « petite bourgeoise ». Or ce n'est certes pas une vérité éternelle. Autour de 1840, quand s'est fondé l'Atelier, il nous semble que le prestige de la barricade était en baisse : l'énorme révélation des années 40 c'est que les ouvriers, sinon en masse, du moins en nombre appréciable, peuvent jouer d'autres rôles que celui de fantassins des sociétés secrètes républicaines (ou celui d'associés d'un compagnonnage désuet). Ils lisent, ils écrivent, ils s'organisent, ils s'associent, c'est bien le fait radicalement nouveau (donc révolutionnaire, à sa façon) dont on prend conscience ; et c'est sur ce fait de la promotion ouvrière, de l'autonomie ouvrière, de l'initiative ouvrière que les années 40 ont fondé d'immenses espoirs. C'est peut-être même cela qu'on appelait alors spécifiquement « Socialisme ». Ce serait cependant déprécier l'Atelier, et minimiser du même coup la présente entreprise de réimpression, que d'y voir seulement une mine de matériaux et une source de réflexions pour l'histoire idéologique et pour la science politique. L'Atelier a voulu être un grand périodique culturel, comme nous dirions aujourd'hui. Ecrit par des hommes qui vivaient au coeur de Paris militant comme du Paris populaire, il reflète par eux bien des aspects de la vie de leur temps, soit qu'ils les décrivent pour en tirer argument, soit qu'ils éprouvent le besoin d'y prendre position. C'est pourquoi tout homme d'aujourd'hui curieux de cette fascinante époque, les années 40, et de cette extraordinaire Révolution, Quarante,- Huit, s'y plongera pour en retrouver les données et l'atmosphère. N'est-ce pas le propre de la presse que d'offrir en bloc à l'historien des opinions et des récits, du subjectif et de l'objectif » (Maurice Agulhon).Bel exemplaire parfaitement relié. Complet du Supplément au n°9 (31 mai 1843) de la 3e année (pp. 73-84), qui contient une Discussion sur la certitude morale et religieuse.Mention de seconde édition sur le numéro 1. Quelques mouillures et salissures dans le premier volume.