CHEZ L'AUTEUR. 1854. In-4. En feuillets. Etat d'usage, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. Lettre imprimée, d'une page.. . . . Classification Dewey : 355.021-Militaria
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Un volume in-12 de 165x100x20 mm environ, contenant 9 publications datées de 1752-1753, sans lieu ni mention d'éditeur, pleine basane marbrée fauve, dos à nerfs portant titres dorés sur pièce de titre en maroquin bordeaux, orné de caissons à riches motifs dorés, tranches rouges. Quelques rousseurs et pages brunies, rares petits défauts de marge, petites épidermures sur le cuir, sinon bon état
Le droit de remontrance, durant l'Ancien Régime, est le droit des Parlements ou de tous les officiers royaux de contester les lois et les lettres patentes émises par le roi avant leur enregistrement s'ils estiment qu'elles sont contraires aux intérêts du peuple ou aux lois fondamentales du royaume. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Paris, Toussaincts Du Bray, 1614 ; plaquette in-12, bradel papier marbré ( Lobstein). 15 pp. Exemplaire finement établi. EDITION ORIGINALE. Cette lettre datée du 26 mars supplie le Prince (de Condé) de revenir à la Cour.- Ayant épousé en 1608 Charlotte de Montmorency, dont Henri IV était épris, le prince de Condé fut obligé de prendre la fuite en Belgique puis en Italie. Il reviendra en 1614 (peu après cette lettre) sous la Régence de Marie de Médicis qu'il troublera par ses intrigues et son ambition. Sa première révolte date d'ailleurs de 1614 et se terminera par le traité de Sainte-Menehould.- Après la mort d'Henri IV, le poète Nervèze s'était attaché au service de Henri de Condé. Courtisan accompli, il s'illustra dans le """"parler Nervèze"""", caricature de la conversation et de la lettre de cour qui suscita les railleries de Sorel. Il témoigne pourtant d'un souci esthétique qui fut à l'origine de la préciosité. Cioranesco, 51011.- La Bouralière. Bibl. poitevine 411.- Arbour 7250.
Reference : 91832
1787-1788-1789, 1 volume in-12 de 195x120x35 mm environ, demi-basane marbrée cognac, dos lisse portant titres dorés sur pièces brune et verte, orné de caissons à fleurons et motifs doré, tranches rouges. Quelques pages brunies, frottements sur le cartonnage et le cuir, coins émoussés, le 17 de l'Extrait des Registres du Parlement de Normandie ne se trouve pas à sa place, mais elle est bien présente, sinon bon état.
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Lettre autographe signée datée du 6 février 1929 d’une page in-4 par laquelle il donne son accord pour la publication de lettres qu’il avait écrites à Mme Clifford Barney.Jointe à cette lettre : un DESSIN ORIGINAL de Paul Valérie à la mine de plomb sur une page de carnet à dessin de 13,5 x 20 cm. montrant son autoportrait de face accompagné du visage de Miss Barney de profil. Cette lettre et ce dessin figuraient au catalogue de la vente d’autographes au profit des Artistes du 30 juin 1951 au Petit Palais.
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Lettre d’une page sur un double feuillet in-4 à en-tête de la République d’Haïti, avec sa fonction imprimée “B. Inginac, Général de Brigade, Secrétaire Général près de Son Excellence le Président d’Haïti”.Joseph-Balthazar Inginac (1775 - 1847) est un personnage éminent de la jeune république d’Haïti, il fut chargé, à partir de 1804, d’élaborer le code Rural afin d’exploiter les terres reprises aux colons. Il a occupé divers postes sous Petion et Boyer, notamment celui de secrétaire particulier de Pétion à partir de 1810, poste qu’il conserva sous Boyer. En charge des relations extérieures et de l’instruction publique, il eut à mener des missions diplomatiques délicates avec l’Angleterre et les États-Unis afin de donner une reconnaissance internationale à Haïti. Nommé chef d’escadron et aide de camp du président en 1811, il fut successivement promu colonel, puis général de brigade et enfin, en 1839, général de division. Il a, en particulier, négocié l’accueil à Haïti de noirs étasuniens. En 1839, il fut l’un des commissaires chargés de négocier un traité de commerce avec la France. Pour des raisons indépendantes de ses compétences, la plupart de ses missions furent des échecs, mais son sens de la diplomatie, son intelligence et son dévouement à la cause de son pays a marqué tous ses interlocuteurs. Il fut brièvement banni suite au renversement de Boyer, puis rappelé en 1845.La lettre est adressée à M. Jullien, homme de lettres à Paris. Ce dernier lui avait recommandé un M. Dubois pour un poste auquel Inginac l’avait embauché et pour lequel il offrait toute satisfaction. Mais alors qu’il commençait son travail il fut frappé par “la maladie du pays à laquelle il n’a pu résister malgré les soins qui lui ont été prodigués”. Un post-scriptum dit “M. Villevalix s’occupera sous peu de vous faire parvenir les renseignements que vous demandez”. Le correspondant est sans doute Marc-Antoine Jullien (1775 - 1848), révolutionnaire et homme de lettres qui, à cette époque, s’occupait de pédagogie. Jullien était un enthousiaste de la cause haïtienne, il dirigeait à cette époque la Revue Encyclopédique, revue qu’il avait fondée en collaboration avec son ami l’abbé Grégoire. Il a noté en tête de la lettre “rép. le 23 mai 1825 par M. Leblanc, instituteur. écrit le même jour à M. Boyer président d’Haïti et Villevalaix.”