DE MOMIGNY. Fin XIXe - Début XXe. In-8. En feuillets. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 2 pages de partitions accompagnées des paroles.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Reference : RO80054030
"Tiré de ""Le Troubadour Ambulant"", Journal de Guitare. Romance Classification Dewey : 780.26-Partitions"
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
Madame de Verzure, Reflexions hazardées d'une Femme ignorante, Qui ne connait pas les défauts des autres que par les siens, & le Monde que par relation & par oui-dire. Amsterdam et Paris, Vincent, 1766. 2 tomes in-12 en 1 volumes, XXIV-210-[6]-[4]-282p. Edition originale et unique. Barbier et Cioranescu indiquent que l'auteur est madame de Verzure et Quérard précise qu'elle serait l'épouse d'un banquier de Genève. Gay ne cite pas cet ouvrage. Une source récente indique que l'auteur pourrait être Marie Pannier d'Orgeville (1712-1770) mais il s'agit d'une erreur car cette Marie est la mère de Marie-Emilie de Verzure (1734-1804), elle-même mère d'Antoine Destutt de Tracy (1854-1836), membre de l'Académie française. Nous n'avons pas trouvé trace d'une autre Marie de Verzure que celle-ci, qui fut mariée à un militaire de carrière, mort en 1766 à la bataille de Minden, et non à un banquier. Dans Femmes et philosophie des Lumières (Paris, Garnier, 2020), Julie Candler Hayes nous en dit : « Les Réflexions hazardées d'une femme ignorante (1766), parues anonymement, allient grands sujets moralistes et examens des mours contemporaines, souvent selon une optique physiocratique. Ni obscure ni ignorante, leur auteure, Marie Pannier d'Orgeville (1712-1770) [sic], épouse d'un financier, conseiller du roi, place notamment au centre de son livre des questions épistémologiques : le rapport entre introspection et observation d'autrui, et la nature de l'entendement humain, dans deux essais d'inspiration sensualiste ». Toutefois, elle fait donc une erreur sur l'identité de l'auteur. Provenances : -Justinien Barlatier de Myenes (XVIIIe) avec son ex-libris autographe sous son ex-libris aux armes gravé. Toutefois, même si c'est par transparence, nous ne lisons pas « Justinien Myenes » mais plutôt « Justinien Myeure » (?). L'ex-libris, répertorié dans la base AFCEL, indique J. Barlatier de Mas. Il est gravé par le célèbre peintre François Boucher (1703-1770). -François Dugueyt (1752-1832), président du tribunal de première instance de Lyon, avec son ex-libris « A M. DUGUEYT, conseiller ». Plein veau, dos à nerfs orné, tranches rouges. Coins usés, manques aux coiffes, petit trou en pied de dos, quelques rousseurs, mors supérieur fendillé en bouts. Bon exemplaire de cet ouvrage rare.
1766 Amsterdam et Paris, Vincent, 1766, 2 parties en 1 volume in-12 de XXII-210 pp. ; (4)-282 pp., rel. de l'époque de plein veau fauve granité, dos lisse orné de fers dorés, pièce de titre de maroquin, rouge, bel ex.
Rare édition originale et la seule parue. (Barbier IV,130), Cioranescu. "Les Réflexions hazardées d’une femme ignorante (1766), parues anonymement, allient grands sujets moralistes et examens des mœurs contemporaines, souvent selon une optique physiocratique. Ni obscure ni ignorante, leur auteure, Marie Pannier d’Orgeville (1712-1770), épouse d’un financier, conseiller du roi, place notamment au centre de son livre des questions épistémologiques : le rapport entre introspection et observation d’autrui, et la nature de cl’entendement humain, dans deux essais d’inspiration sensualiste." (Jule Candler Hayes, "Femmes et Philosophie des lumières".) Ex libris Etienne de Canson bibliothèque du château de la Rivoire (à Vanosc), collé sur la page de titre.
Lyon, Pierre André, 1678. In-4 de [40]-1108-[24] pages, pleine basane brune du temps, dos à nerfs orné de filets et fleurons dorés.
Édition originale. "Traité de démonologie devenu absolument introuvable [...] qui tend principalement à prouver l'existence des phénomènes provoqués par les Sorciers et les Magiciens" Caillet. Cet ouvrage vit le jour après les trouble survenus en Bourgogne en 1664: les paysans, voyant leur récoltes périr par des intempéries, en attribuèrent la cause aux sorciers et autres jeteurs de sorts. L'auteur tente de trouver un juste milieu en attribuant à la nature certains phénomènes, mais également aux magiciens d'autres singularités. Aussi, "il traite du commerce des hommes avec le démon, des pactes du Sabbat, des talismans. [...] Divers indices pour reconnaître les sorciers; comment discerner les maléfices d'une maladie naturelle; preuves et épreuves pour la découverte des crimes, philtres d'amour, de la métamorphose des sorciers en loup ou Lycanthropie." Dorbon. L'ouvrage se termine sur la réponse à L'Apologie du célèbre libertin Gabriel Naudé. Manques aux coiffes, coins tapés et frottés. Yve-Plessis, 862; Dorbon, 729; Guaïta, 157; Caillet, I, 2333.
Paris, le radical, bibliothèque anticléricale, s. d. In-12°, 101 pp., intérieur frais. Br. (couv. us., coins émoussés, cachet en 1ère de couv., dos recollé avec manques en tête et queue).
Couverture rigide Barcelona , Sierra y Marti , sd ( début XIXè ) , 3 parties reliées en 1 vol in16 1/2 basane , 393 pp , 21 gravures sur bois à peine page 2 ème partie : Las ridiculas simplezas de Bertoldo , 3 ème partie : Historia de Cacaseno . Gravures naïves splendides . Dos frotté , exemplaire court de marge. Langue: Français