GAILLARD Emile. Non daté. In-4. Cartonnage d'éditeurs. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 318 pages. Frontispoice en noir et blanc. Nombreuses gravures sur bois en noir et blanc, hors-texte. Cartonnage d'éditeur polychrome. Tranches dorées.. . . . Classification Dewey : 28.5-Enfantina
Reference : RO80053269
Classification Dewey : 28.5-Enfantina
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...
Maison de la Bonne Presse. 23 juillet 1896. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 49 à 64. Quelques illustrations dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION
Sommaire : La France par Nouvelet, L'enfance des Saints : le saint prophète Daniel, Lettres célèbres aux enfants : L. Veuillot a ses deux filles Agnès et Luce, La cathédrale de Reims, L'aigrie va fondre sur le troupeau, La filleule de Saint Roch par Marie Leconte Classification Dewey : 200-RELIGION
PARIS MATCH. 15 février 1964. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 86 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Marielle et Christine : deux petites filles de France, Les garçons aussi font honneur a la France, Von Braun : mon plan pour la lune, C'est certain maintenant : en 1970 trois hommes partiront pour la lune, Le coeur d'Irène s'est donné, Mme Nhu : un jour je rentrerai chez moi Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
FIGARO. 1928. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Environ 30 pages.Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte. Texte sur 2 colonnes. Lettrines. 1 illustration en couleurs. N°4 - 1ERE ANNEE - 15 AVRIL 1928. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire: Deux petites filles modèles - Un ancêtre de l'aviation: le marquis de Bacqueville - Un écolier Français en angleterre - Saint François d'Assise - Dans les brumes du Grand banc - Clémentine et Roudoudou - Houck et Sla - Scoutisme - Panaris - Le tigre - Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
[De l'Imprimerie de la Veuve J.B. Cavazza, De l'Imprimerie de Fernel, ] - Collectif ; LYNCH
Reference : 45450
(1814)
1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-basane marron, mention Lavau Fils portée en queue. Contient : Constitution donnée par le Roi au Peuple Français. 4 Juin 1814, De l'Imprimerie de la Veuve J.B. Cavazza, Bordeaux, s.d. [ 1814 ], 15 pp. / Testament de Louis XVI, Mort le lundi 21 janvier 1793, âgé de 38 ans cinq mois moins deux jours, De l'Imprimerie de la Veuve J.B. Cavazza, Bordeaux, s.d. [ 1814 ], 7 pp. / Nouvelles Officielles de Paris. Adresse du Gouvernement provisoire au Peuple Français. Détail de ce qui s'est passé à Fontainebleau, dans la journée du5, et la conversation de Nicolas Buonaparte avec ses maréchaux, après la prise de Paris, De l'Imprimerie de Fernel, Bordeaux, s.d. [ 1814], 4 pp. / Rapport de la Commission Extraordinaire fait au Corps Législatif, le 28 Décembre 1813 par M. Lainé Rapporteur, De l'Imprimerie de Fernel, Bordeaux, s.d. [ 1814], 7 pp. / Proclamation du Ministère de la Guerre, aux Armées. Départ de Bonaparte, De l'Imprimerie de Fernel, Bordeaux, s.d. [ 1814], 4 pp. / Journal des Dames et des Spectacles, 9 Pluviôse an 9 n°5 15 de la Lune, De l'Imprimerie d'Audibert et Burkel, s.d. [1801 ], 8 pp. / Supplément au Mémorial Bordelais du 14 Avril [ 1814 ] Entrée de l'armée Anglaise à Toulouse, Chez Lavigne Jeune, s.d. [ 1814 ], 2 pp. / Gloria in Excelsis ou La Joie des Français de posséder leur Roi, De l'Imprimerie de Fernel, Bordeaux, s.d. [ 1814], 2 pp. / Le Jardinier Fleuriste ruiné par le Froid [ Par le Comte Lynch ], De l'Imprimerie de la Veuve J.B. Cavazza, s.d. [ 1814 ], 2 pp. / Nouvelles de Londres, relatives à une prétendue machination tramée par Napoléon ; avec des nouvelles de l'épouse et des filles de Lucien Bonaparte. Londres, le 30 août, De l'Imprimerie de Fernel, Bordeaux, s.d. [ 1814], 4 pp. / Nouvelle Constitution décrétée par le Sénat, dans sa séance du 6 avril 1814, et publiée solennellement le 8 courant dans tous les quartiers de la Capitale, De l'imp. de Moreau, Bordeaux, s.d. [ 1814], 8 pp. / Traité de Paix conclu entre la France, l'Autriche, la Russie, l'Angleterre et la Prusse, De l'Imprimerie de P. Coudert, s.d. [ 1814], 40 pp.
Très intéressant recueil rassemblant 12 impressions bordelaises témoignant des débuts de la Première Restauration (rel. frottée, qq. griffonnages du copiste n'affectant pas le texte). Ces 12 imprimés sont insérés entre de très nombreuses pages manuscrites (plus d'une cinquantaine de feuillets) copiant d'autres titres du même type.