‎VELING P.A.‎
‎La Guerre Franco-Allemande‎

‎[ Dossier de 11 courriers manuscrits adressés à David Dietz, chef d'atelier : La Compagnie des Chemins de Fer de l'Est aux débuts de la Guerre franco-allemande de 1870 ] I : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 20 juillet 1870, précisant le rôle de leurs services et l'organisation des Corps Francs des Chemins de fer. M. Dietz est nommé dans ce cadre chef du matériel roulant, 2 pp. ; II : Lettre de nomination à ce poste signée du Directeur de la Compagnie M. Sauvage, 1 p. ; III : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 ; IV : Copie manuscrite de la décision de nomination d'un second, M. Doré ; IV : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 à M. Dietz, précisant les "divers travaux ou fournitures qu'exigent les transports militaires" qui sont de deux sortes, "les uns qui restent à la charge de la Compagnie, tels que confections de strapontins... les autres directement demandés par l'autorité militaire et restant à la charge de l'Etat" ; V : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 2 août 1870 à M. Dietz, approuvant notamment les hamacs installés par Dietz [ pour le confort des blessés ] ; VI : Copie conforme signée par Vuillemin d'une réquisition de l'Armée du Rhin ; VII : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 3 août 1870, évoquant la livraison de bidons, d'urinoirs et de deux modèles de hamacs ; VIII : Lettre à en-tête de l'Exploitation de la Compagnie, datée du 4 août 1870 "J'ai immédiatement adressé à Messieurs les médecins de la Cie de l'Est une circulaire pour les inviter à prêter leur concours tant pour le transport que pour la visite des blessés de l'armée" ; IX : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 4 août 1870, relative à l'envoi d'un troisième modèle de hamac, de 30000 pitons, etc. ; X : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 5 août 1870 ; XI : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef signé de Vuillemin à M. Dietz, datée du 5 août 1870 : "J'ai remarqué que pour les transports des blessés militaires, sur vos hamacs dans les wagons N ou autres, il faut un temps assez long pour amener les blessés aux wagons et pour les placer sur les hamacs. En supposant que les gares dans lesquelles doit s'effectuer l'embarquement soient pourvues de hamacs avec les cordes et leurs pitons, nos hommes seraient en mesure de tout disposer dans le premier wagon venu, pour peu qu'ils soient prévenus quelques heures d'avance. Il ne serait donc pas nécessaire de garnir tous nos wagons de pitons, mais il faudrait toujours avoir aux gares d'embarquement des pitons que nos ouvriers placeraient dans les wagons..." ; XII : on joint 3 autres pièces‎

‎Lot de 14 courriers dont 11 adressés à David Dietz, chef d'atelier à la Compagnie des Chemins de Fer de l'Est aux débuts de la Guerre franco-allemande de 1870, du 20 juillet 1870 au 5 août 1870 (en général 1 ou 2 pages par lettres) : I : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 20 juillet 1870, précisant le rôle de leurs services et l'organisation des Corps Francs des Chemins de fer. M. Dietz est nommé dans ce cadre chef du matériel roulant, 2 pp. ; II : Lettre de nomination à ce poste signée du Directeur de la Compagnie M. Sauvage, 1 p. ; III : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 ; IV : Copie manuscrite de la décision de nomination d'un second, M. Doré ; IV : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 à M. Dietz, précisant les "divers travaux ou fournitures qu'exigent les transports militaires" qui sont de deux sortes, "les uns qui restent à la charge de la Compagnie, tels que confections de strapontins... les autres directement demandés par l'autorité militaire et restant à la charge de l'Etat" ; V : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 2 août 1870 à M. Dietz, approuvant notamment les hamacs installés par Dietz [ pour le confort des blessés ] ; VI : Copie conforme signée par Vuillemin d'une réquisition de l'Armée du Rhin ; VII : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 3 août 1870, évoquant la livraison de bidons, d'urinoirs et de deux modèles de hamacs ; VIII : Lettre à en-tête de l'Exploitation de la Compagnie, datée du 4 août 1870 "J'ai immédiatement adressé à Messieurs les médecins de la Cie de l'Est une circulaire pour les inviter à prêter leur concours tant pour le transport que pour la visite des blessés de l'armée" ; IX : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 4 août 1870, relative à l'envoi d'un troisième modèle de hamac, de 30000 pitons, etc. ; X : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 5 août 1870 ; XI : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef signé de Vuillemin à M. Dietz, datée du 5 août 1870 : "J'ai remarqué que pour les transports des blessés militaires, sur vos hamacs dans les wagons N ou autres, il faut un temps assez long pour amener les blessés aux wagons et pour les placer sur les hamacs. En supposant que les gares dans lesquelles doit s'effectuer l'embarquement soient pourvues de hamacs avec les cordes et leurs pitons, nos hommes seraient en mesure de tout disposer dans le premier wagon venu, pour peu qu'ils soient prévenus quelques heures d'avance. Il ne serait donc pas nécessaire de garnir tous nos wagons de pitons, mais il faudrait toujours avoir aux gares d'embarquement des pitons que nos ouvriers placeraient dans les wagons..." ; XII : on joint 3 autres pièces‎

‎Lot de 14 courriers dont 11 adressés à David Dietz, chef d'atelier à la Compagnie des Chemins de Fer de l'Est aux débuts de la Guerre franco-allemande de 1870, du 20 juillet 1870 au 5 août 1870 (en général 1 ou 2 pages par lettres) [ Dossier de 11 courriers manuscrits adressés à David Dietz, chef d'atelier : La Compagnie des Chemins de Fer de l'Est aux débuts de la Guerre franco-allemande de 1870 ] I : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 20 juillet 1870, précisant le rôle de leurs services et l'organisation des Corps Francs des Chemins de fer. M. Dietz est nommé dans ce cadre chef du matériel roulant, 2 pp. ; II : Lettre de nomination à ce poste signée du Directeur de la Compagnie M. Sauvage, 1 p. ; III : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 ; IV : Copie manuscrite de la décision de nomination d'un second, M. Doré ; IV : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 à M. Dietz, précisant les "divers travaux ou fournitures qu'exigent les transports militaires" qui sont de deux sortes, "les uns qui restent à la charge de la Compagnie, tels que confections de strapontins... les autres directement demandés par l'autorité militaire et restant à la charge de l'Etat" ; V : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 2 août 1870 à M. Dietz, approuvant notamment les hamacs installés par Dietz [ pour le confort des blessés ] ; VI : Copie conforme signée par Vuillemin d'une réquisition de l'Armée du Rhin ; VII : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 3 août 1870, évoquant la livraison de bidons, d'urinoirs et de deux modèles de hamacs ; VIII : Lettre à en-tête de l'Exploitation de la Compagnie, datée du 4 août 1870 "J'ai immédiatement adressé à Messieurs les médecins de la Cie de l'Est une circulaire pour les inviter à prêter leur concours tant pour le transport que pour la visite des blessés de l'armée" ; IX : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 4 août 1870, relative à l'envoi d'un troisième modèle de hamac, de 30000 pitons, etc. ; X : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 5 août 1870 ; XI : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef signé de Vuillemin à M. Dietz, datée du 5 août 1870 : "J'ai remarqué que pour les transports des blessés militaires, sur vos hamacs dans les wagons N ou autres, il faut un temps assez long pour amener les blessés aux wagons et pour les placer sur les hamacs. En supposant que les gares dans lesquelles doit s'effectuer l'embarquement soient pourvues de hamacs avec les cordes et leurs pitons, nos hommes seraient en mesure de tout disposer dans le premier wagon venu, pour peu qu'ils soient prévenus quelques heures d'avance. Il ne serait donc pas nécessaire de garnir tous nos wagons de pitons, mais il faudrait toujours avoir aux gares d'embarquement des pitons que nos ouvriers placeraient dans les wagons..." ; XII : on joint 3 autres pièces‎

‎La guerre Franco-Allemande 1870-1871 + Atlas 56 cartes‎

‎La guerre franco-allemande de 1870-1871 a été un conflit majeur entre la France et la Prusse (qui était à la tête de la confédération de l'Allemagne du Nord). Le colonel Rousset, également connu sous le nom de Paul Alexis Rousset, était un officier français qui a participé à cette guerre. La guerre a été déclenchée en raison de tensions croissantes entre la France de Napoléon III et la Prusse de Bismarck. La France cherchait à maintenir son hégémonie en Europe et s'opposait à l'unité grandissante des États allemands. Les causes profondes de la guerre étaient complexes, notamment des rivalités politiques, territoriales et économiques. Le 19 juillet 1870, la France déclara la guerre à la Prusse, espérant une victoire rapide. Cependant, la guerre s'est avérée désastreuse pour la France. Les forces prussiennes étaient mieux organisées et plus efficaces, et elles ont remporté plusieurs batailles décisives, dont la bataille de Sedan en septembre 1870, au cours de laquelle Napoléon III a été capturé. La guerre a également été marquée par le siège de Paris, qui a duré plusieurs mois jusqu'en janvier 1871. Les forces prussiennes ont encerclé la capitale française et l'ont soumise à un siège rigoureux. Finalement, la famine et l'épuisement ont poussé la France à capituler. La guerre s'est officiellement terminée le 10 mai 1871 avec la signature du traité de Francfort. Selon les termes de ce traité, la France a dû céder l'Alsace et une partie de la Lorraine à l'Allemagne. Cela a suscité un fort ressentiment en France et a contribué à l'hostilité franco-allemande qui a persisté jusqu'au XXe siècle. Bien que le rôle précis du colonel Rousset ne soit pas clairement établi, il aurait probablement participé à des batailles et à des opérations militaires pendant la guerre. Il est également possible qu'il ait contribué aux efforts de défense pendant le siège de Paris. Tome I, 429pp : L'armée impériale, la déclaration de guerre, campagne d'Alsace, Campagne de Lorraine. Tome II : L' armée Impériale ( suite), le Blocus de Metz. Complet en deux volumes reliés demi cuir, accrocs et taches, 220x140, usures d'usages, bon état intérieur Paris, Tallandier, Montgredien, ss date vers 1895 ref/156‎

‎La Prochaine Guerre franco-allemande. Ouvrage traduit avec l'autorisation de l'auteur par Ernest Jaeglé.‎

‎ P., Librairie illustrée, W. Hinrichsen, 1887, in-12, iv-323 pp, reliure demi-basane fauve, dos lisse, titres noirs (rel de l'époque), trace de mouillure ancienne, qqs rousseurs, état correct‎

‎L'auteur veut prouver que la majorité des Français qui influent sur l'opinion publique projettent une guerre de vengeance contre l'Allemagne. — "Voilà qu'un nouveau livre éclate comme une bombe, “la Prochaine Guerre franco-allemande”, par M. le lieutenant-colonel C. Koettschau, et dont M. Ernest Jaeglé nous donne la traduction. La seule chose qui ressorte clairement du livre du lieutenant-colonel allemand est celle-ci : Qu'il est encore temps d'attaquer la France, mais que d'ici peu toutes les chances ne seraient plus pour l'Allemagne. Or que veut l'empire allemand ? Non pas recommencer la guerre de 1870, mais bien prouver aux Français qu'ils doivent renoncer à certaines espérances. "Nous avons besoin d'une nouvelle guerre franco-allemande. L'état de chose actuel est indigne des deux nations ; elles sont là, en face l'une de l'autre, comme deux bêtes vigoureuses et hargneuses..." Quand la France se sera convaincue que, même en déployant en temps opportun toutes ses forces militaires, elle n'est pas capable d'envahir l'Allemagne, fût-ce au prix des plus grands efforts, mais que, d'autre part, la lutte engagée aura démontré qu'elle possède une armée valide et imposante, elle signera la paix avec des sentiments tout autres qu'en 1871, et cette manière d'envisager la question allemande gagnera du terrain dans cette fraction de la nation surtout qui aura conservé les traditions chevaleresques des ancêtres..." (Gaston d'Hailly, 1887) ‎

‎Les origines diplomatiques de la guerre Franco-Allemande 1870-1871.‎

‎Recueil de documents publiés par le Ministère des Affaires Étrangères Les origines diplomatiques de la guerre franco-allemande de 1870-1871 remontent à plusieurs années avant le début du conflit. Voici les principaux éléments qui ont contribué à l'escalade des tensions entre la France et la Prusse : Question de la succession espagnole : En 1868, la reine Isabelle II d'Espagne fut renversée, ce qui entraîna une crise politique. Lorsque le trône espagnol devint vacant, Léopold de Hohenzollern-Sigmaringen, membre de la famille royale prussienne, fut proposé comme candidat potentiel. Cette perspective inquiéta la France, qui craignait une extension de l'influence prussienne en Espagne et une éventuelle menace pour sa propre sécurité. L'incident d'Ems : En juillet 1870, le roi Guillaume Ier de Prusse reçut une délégation française à Ems, une station thermale en Allemagne. Pendant les négociations, une correspondance privée entre Guillaume Ier et le chancelier prussien, Otto von Bismarck, fut publiée dans les journaux français, donnant l'impression que la Prusse avait humilié la France. Cela provoqua l'indignation publique en France et renforça les tensions entre les deux nations. Alliance franco-russe : En 1891, la France et la Russie conclurent une alliance mutuelle, connue sous le nom d'alliance franco-russe. Cette alliance inquiétait l'Allemagne, car elle renforçait la position de la France sur la scène internationale et menaçait l'équilibre des pouvoirs en Europe. Rivalités coloniales : La France et l'Allemagne étaient engagées dans une course aux colonies en Afrique et en Asie. Les rivalités coloniales exacerbèrent les tensions entre les deux nations, car elles se disputaient des territoires et des sphères d'influence. Ces facteurs ont contribué à la détérioration des relations franco-allemandes et ont finalement conduit à la déclaration de guerre de la France à la Prusse le 19 juillet 1870. La guerre qui s'ensuivit fut marquée par des défaites majeures pour la France et se termina par la capitulation de l'Empire français et la signature du traité de Francfort en 1871, qui imposa des conditions sévères à la France. Tome I ( 383pp) 25 décembre 1863- février 1864 - Tome II ( 400pp) 22 février 1864 - 9 mai 1864 2 vols reliés demi cuir, dos à nerfs, 220x150, jolies reliures, bien frais, papier bien blanc Paris Gustave Ficker 1910 ref/156 ‎

‎Amédée Le faure Histoire de la Guerre franco allemande 71 Tome ivgarnier‎

‎ 1911 1911. Amédée Le Faure: Histoire de la Guerre Franco-Allemande 1870-71 Tome IV/ Garnier-Frères Librairies-Editeurs 1911 . Amédée Le Faure: Histoire de la Guerre Franco-Allemande 1870-71 Tome IV/ Garnier-Frères Librairies-Editeurs 1911‎

‎Bon état‎