‎BILLET Alfred‎
‎Duchesse !‎

‎OLLENDORFF Paul. 3ème édition. 1887. In-12. Relié demi-cuir. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 311 pages. Titre et fleurons dorés sur le dos cuir vert. Coins et tranches des plats frottés.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

Reference : RO80030746


‎ Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

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‎ANNE (Albert)‎

Reference : 10142

(1963)

‎La Houssaye et Noyon. Ancien domaine de Sully et de la duchesse de Berry. Note sur Casimir Delavigne‎

‎Fécamp, L. Durand et fils, 1963. 140 g In-8 broché, 79-[4] pp., [1] f., un tableau généalogique de la famille Delavigne sur double page, illustré de 8 plans et figures.. Les terres et bois de La Houssaye et Noyon se situent aux environs du hameau de Mesnil-Renard, au sud de l'actuelle commune de Bonnières-sur-Seine et dépendaient de la seigneurie de Rosny qui est célèbre pour avoir appartenu à Sully puis à la duchesse de Berry. Par ailleurs, plusieurs membres de la famille de Casimir Delavigne ont été au service des seigneurs de Rosny. Exemplaire non coupé. . (Catégories : Ile de France, )‎


Phone number : 06 17 93 27 81

EUR15.00 (€15.00 )

‎JUCHEREAU DE LA FERTE, dite de Saint-Ignace, Jeanne-Françoise.‎

Reference : LCS-18112

‎Histoire de l’Hôtel-Dieu de Québec. Edition originale de ces annales retraçant le récit de la création à Québec du premier hôpital par les Hospitalières de Dieppe sous les auspices de la duchesse d’Aiguillon, nièce du cardinal de Richelieu.‎

‎« Ces annales sont un des documents historiques les plus précieux que l’on possède. » Montauban, chez Jerosme Legier, et se vend à Paris, chez Claide-Jean-Baptiste Herissant, s.d. [1752].In-12 de (8) ff., 556 pp., (1) f. Veau brun, filet à froid autour des plats, dos à nerfs orné de fleurons dorés, coupes décorées, tranches mouchetées. Reliure de l’époque.162 x 91 mm.‎


‎Édition originale de ces annales retraçant le récit de la création à Québec du premier hôpital par les Hospitalières de Dieppe sous les auspices de la duchesse d’Aiguillon, nièce du cardinal de Richelieu.Barbier, II, 686.Chassés de la Nouvelle-France après la chute de Québec aux mains des frères Kirke en 1629, les Jésuites y retournent trois ans plus tard après que le Traité de Saint-Germain-en-Laye (1632) ait rendu à la France sa colonie et, pour un temps, « l’Église canadienne sera missionnaire », avec à sa tête le père Paul Le Jeune. C’est lui qui, en 1634, exprime le besoin d’un hôpital pour soigner les autochtones et les quelques colons qui s’y trouvent. C’est en pensant surtout aux autochtones que le père Le Jeune demandait la venue à Québec de religieuses hospitalières. « S’il y avait ici un Hopital il y aurait tous les malades du pays, & tous les vieillards, pour les hommes nous les secourerons, selon nos forces, mais pour les femmes il ne nous est pas bien seant de les recevoir en nos maisons», écrit-il. L’institution souhaitée était en effet moins destinée aux Français qu’aux autochtones, « sujets à de grandes maladies, et qui n’avaient aucun moyen d’adoucir la misère dont ils étaient accablez surtout dans leur extreme vieillesse». « L’élan mystique qui traverse la France dans les premières décennies du XVIIe siècle coïncide avec le mouvement colonisateur » et il n’est pas étonnant que plusieurs religieuses d’ordres et monastères manifestent un vif intérêt pour le projet du jésuite. Toutefois, les conditions matérielles pour l’établissement de religieuses et l’aménagement d’un monastère-hôpital à Québec sont à toutes fins utiles inexistantes. Le père Le Jeune lance alors nouvel appel mais cette fois il s’adresse aux personnes « capables de supporter financièrement l’entreprise ». La réponse est venue de la cour de France. La duchesse d'Aiguillon, mariée à 16 ans au marquis de Combalet, selon la volonté de son oncle, le cardinal de Richelieu, devient veuve à 18 ans ; elle ne se remarie pas et emploie presque toute sa fortune à soulager les pauvres et à fonder des établissements de charité. À 31 ans seulement, elle est déjà très engagée à ces fins. Elle est notamment la principale fondatrice du grand hôpital de Paris, rappelle l’historien Henri-Raymond Casgrain. Sous la conduite spirituelle de saint Vincent de Paul, promoteur et initiateur de nombreuses œuvres de charité et marquée par sa lecture des Relations des Jésuites, notamment celle de 1635 du Père Le Jeune, la duchesse prend conscience de l’importance des missions canadiennes dans l’histoire de l’Église. En 1636 en effet, la duchesse d’Aiguillon « se résolut de fonder à ses dépens un Hôtel-Dieu ». Et, pour réaliser cet ambitieux projet, elle choisit de faire appel aux Religieuses Hospitalières de l’Ordre de Saint-Augustin, dites alors Filles de la Miséricorde, installées au monastère de Dieppe. « Le Cardinal de Richelieu, son oncle, voulut entrer dans la bonne œuvre, & jusqu’à leur mort ils eurent l’un et l’autre une affection singulière pour cette maison, ils donnerent quinze cent livres de revenu au capital de 20000 liv. à prendre sur les coches et carosses de Soissons qui leur appartenoient, le contrat fut passé le 16 août 1637. ». Le Dr Yves Morin décrit la « jonction des quatre facteurs » qui ont amené la duchesse à exécuter son œuvre : « (…) l’esprit de charité de la duchesse, son influence à la cour par le biais de son oncle, le cardinal Richelieu, sa connaissance de la Nouvelle France grâce aux Jésuites et le rôle essentiel de l'Hôtel-Dieu de Dieppe, un des établissements prééminents en France ». En avril 1639, le roi Louis XIII accorde des lettres patentes pour l’établissement de l’hôpital et mentionne explicitement les motifs religieux de la duchesse. Il y aura aussi un second contrat en 1640 où ces mêmes motifs seront énoncés. Dans sa lettre à Marie Guenet de Saint-Ignace, première supérieure de l’Hôtel-Dieu de Québec, la veille du départ pour Québec des trois Augustines, la duchesse d’Aiguillon écrit clairement que l’Hôtel-Dieu devra être « dédié à la mort et au précieux Sang du fils de dieu répandu pour faire miséricorde à tous les hommes et pour lui demander qu'il l’applique sur l’âme de Monseigneur le Cardinal Duc de richelieu, et celle de Madame la Duchesse Daiguillon et pour tout ce pauvre peuple…». La duchesse obtient de la Compagnie des Cent-Associés une concession de sept arpents dans l’enclos où on avait commencé à bâtir Québec et un fief de soixante arpents dans la banlieue, entre Cap-Rouge et le coteau Sainte-Geneviève, ce terrain qu’on avait désigné sous le nom de Sainte-Marie. Les mères Anne Le Cointre de Saint-Bernard (28 ans), Marie Forestier de Saint-Bonaventure-de-Jésus (22 ans) et Marie Guenet de Saint-Ignace (29 ans), qui deviendra la première supérieure de l’Hôtel-Dieu de Québec, quittent familles et amis, et leur monastère de Dieppe, établi depuis 1285, le 4 mai 1639, à destination de Québec.« De 1739 à 1779, Latour publia une imposante somme de sermons, panégyriques, discours dogmatiques, mémoires liturgiques, canoniques et autres. En quittant le Canada, il avait emporté une copie manuscrite des ‘Annales de l’Hôtel-Dieu de Québec’ rédigées par Jeanne-Françoise Juchereau de La Ferté, dite de Saint-Ignace. Il fit paraître ce texte en 1752 à Montauban, sous le titre d’’Histoire de l’Hôtel-Dieu de Québec’ ». « Dans ses notes bibliographiques touchant les sources de sa propre « Histoire de l’Hôtel-Dieu de Québec », Montréal, éd. C. O. Beauchemin & Fils, tome 4, p. 11, l’historien Henri-Raymond Casgrain écrit à propos de l’« Histoire de l'Hotel-Dieu de Québec », par la mère Juchereau de Saint-Ignace : « Cette Histoire a été écrite d'après les renseignements de la mère (Marie Guenet) de Saint-Ignace et rédigée par la mère de Sainte-Hélène. Une copie de ces annales ayant été fournie à M. de La Tour, doyen du chapitre de Québec, qui retourna en France en 1731, il prit sur lui de les faire imprimer à l'insu de la communauté de Québec. Cette impression se fit sans beaucoup de soin, et il s'est glissé dans l’ouvrage un grand nombre de fautes typographiques. Heureusement qu'on possède encore à l'Hôtel-Dieu la copie originale de la main même de la mère (Marie-André Duplessis) de Sainte-Hélène, et signée par la mère (Marie-André Duplessis) de Sainte-Hélène, et signée par la mère Jeanne-Françoise Juchereau de Saint-Ignace. CES ANNALES SONT UN DES DOCUMENTS HISTORIQUES LES PLUS PRECIEUX QUE L’ON POSSEDE. » Le texte de Jeanne-Françoise Jucheron a été réédité à Québec par Dom Albert Jamet en 1939 sous le titre de « Annales de l’Hôtel-Dieu de Québec, 1636-1716 » ». Précieux exemplaire de ce rare canadiana conservé dans sa reliure de l’époque.‎

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EUR8,500.00 (€8,500.00 )

‎HARDIVILLER‎

Reference : LCS-17185

‎Souvenirs des Highlands ; Voyage à la suite de Henri V en 1832 par d’Hardiviller ; Relation, scènes, portraits, paysages et costumes. Offert à S.A.R. Madame la Duchesse de Berri. Le voyage du Comte de Chambord émigré dans les Highlands‎

‎Edition originale du voyage du Comte de Chambord émigré dans les Highlands dédicacée à S.A.R. Madame la Duchesse de Berry. Exemplaire de présent offert à Henri V, Comte de Chambord, exceptionnellement enluminé à la main à son intention. Paris, Dentu, Palais Royal ; Edimbourg, 1835. Petit in-folio de : 137 pp. de texte, 1 portrait d’Henri V à pleine page, 1 fac-similé de la lettre de la Duchesse de Berri à M. d’Hardiviller, 28 lithographies hors texte sous serpente. Relié en plein maroquin vert à grain long, encadrement de filets dorés, fleur de lys aux angles, chiffre H ceint d’une guirlande fleurdelysée au centre des plats, dos à cinq nerfs fleurdelysé, coupes décorées, roulette intérieure, tranches dorées. Reliure armoriée de l’époque, signée de Marchant. 335 x 248 mm.‎


‎Edition originale rarissime dédicacée à S.A.R. Madame la Duchesse de Berry, du voyage du Comte de Chambord emigré dans les Highlands en 1832, lors de son exil qui suivit la révolution de 1830. Exemplaire personnel d’Henri V, comte de Chambord, entièrement enluminé à son intention. Henri-Charles-Ferdinand-Marie-Dieudonné d’Artois, duc de Bordeaux, puis comte de Chambord, dit Henri V, fils posthume de Charles-Ferdinand, duc de Berry et de Marie-Caroline-Ferdinande-Louise de Bourbon-Sicile, naquit à Paris le 29 septembre 1820 après la mort de son père et fut titré duc de Bordeaux ; lorsqu’une souscription publique lui eut offert en 1821 le château de Chambord, il porta le titre de comte de Chambord qu’il échangea en 1830 contre le nom d’Henri V, Charles X et le duc d’Angoulême ayant abdiqué en sa faveur. Il épousa en 1846 Marie-Thérèse-Béatrix-Gaétane, archiduchesse d’Autriche-Este, fille du duc de Modène François IV, et mourut en exil, sans postérité, le 24 août 1883 à Frohsdorf en Autriche. Le volume est l’œuvre du peintre Charles Achille d’Hardiviller (1795-1835). Elève de David, il avait été le professeur de dessin du duc de Bordeaux devenu Comte de Chambord. Il fut lié à son destin et à celui de la duchesse de Berry jusqu’à la révolution de 1830, qui ruina sa carrière. Son œuvre de lithographe, qui commence dès 1821, retrace depuis l’enfance la vie du duc de Bordeaux. On retiendra de cette période deux portraits du duc, l’un pour la duchesse de Berry, l’autre pour la duchesse d’Angoulême ; le portrait de Mlle de Berry ; l’un des quatre tableaux commandés par la duchesse de Berry, représentant les fêtes qu’elle avait données ; Le martyre de S. Etienne (ministère de l’Intérieur) ; Jeanne Hachette (Hôtel de ville, Beauvais) ; Le martyre de S. Donatien et S. Rogatien, pour la ville de Nantes. Hardiviller grava entre 1830 et 1835 de nombreux portraits, parmi lesquels celui de Lafayette, de Sébastien Erard, de Walter Scott, du duc de Reichstadt (d’après Tassaert). Ses dernières œuvres portent la date de 1835. Dans ce somptueux volume, l’artiste dessine maintes fois Henri V devant les paysages des Highlands, seul ou accompagné. Hardiviller dédie son livre à « S.A.R. Madame la Duchesse de Berri ». Le volume contient la dédicace à SAR et la « Lettre de Son altesse Royale Madame la Duchesse de Berri à Monsieur d’Hardiviller » datée « Gratz 27 octobre 1833 ». Le volume se compose de 137 pages de texte écrites par l’artiste relatant le voyage d’Henri V, d’une lettre gravée de la Duchesse de Berry et de 29 lithographies originales merveilleusement gouachées à l’époque. Notre exemplaire est ainsi conforme à l’exemplaire non colorié de la British Library quant au nombre de lithographies. L’on sait que le nombre de lithographies varie selon les exemplaires ; de 32 dans les exemplaires du tirage courant à 29 dans les exemplaires de luxe, d’Hardiviller ayant jugé trois de ses estampes indignes d’orner les exemplaires de présent. Précieux exemplaire de présent imprimé sur grand papier vélin relié en maroquin vert de l’époque au chiffre d’Henri V, comte de Chambord, l’un des rarissimes connus avec l’ensemble des lithographies en somptueux coloris main de l’époque. L’exemplaire porte l’étiquette : « De la bibliothèque du Comte de Chambord (Henri V de France, duc de Bordeaux) né en 1820. Acquise par Maggs Bros Ltd de Londres ».‎

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EUR35,000.00 (€35,000.00 )

‎[S.A.R. MADAME DUCHESSE DE BERRY] V. BONHIOL (COMMERCANT NANTAIS - ENTREPRISE DE PLOMBS DE CHASSE LAMINÉS : V. BONHIOL ET CIE NANTES)‎

Reference : 24646

(1870)

‎[MANUSCRIT] MADAME LA DUCHESSE DE BERRY - sa vie - le soulèvement dans la Vendée - son arrestation - sa captivité - sa mort - ses obsèques suivis d'une notice sur Deutz, par V. BONHIOL - Aout 1870‎

‎Paris 1870 -in-8 demi chagrin un Manuscrit ORIGINAL relié, reliure demi-chagrin violet in-octavo (binding half shagreen in-octavo), RELIURE D'ÉPOQUE, dos à nerfs (spine with raised bands)(dos insolé), décoré "or" et à froid (gilt and blind stamping decoration), titre frappé "or", entre-nerfs à fleurons fleur de Lys "or", filet à froid de part et d'autre des nerfs, papier marbré marron foncé, marron clair et rouge aux plats, tête lisse dorée (gilt top edge), gouttière et tranche de queue non-rognées, Ex-Libris gravé en noir par Dan Lailler sur papier blanc collé au dos du 1er plat : aux armes de RICHELOT [de la Bibliothèque de René RICHELOT (1895-1969), un des derniers Grands Bibliophiles Bretons, ancien président de la Société archéologique d'Ille et Vilaine ], extrait découpé du catalogue de la Librairie Durand-Noël collé au dessus de l'Ex-Libris aprés l'achat de celui-ci, Texte Autographe Manuscrit à l'encre brune par V. BONHIOL (tampon de V. Bonhiol, Paris en bleu en bas du titre + Préface signée V.B.), Manuscrit orné d'une photographie albuminée en noir : Portrait de Mme la Duchesse de Berry en frontispice + 2 Photographies albuminées en noir "Portrait de Mme la Duchesse de Berry" différentes en hors-texte (dont une à la fin de sa vie) + 2 dessins originaux à la plume en noir à l'encre de chine ( dessin du Chateau de la Pénissière + dessin avec Femmes en costume d'époque lisant l'affiche "ETAT DE SIEGE" devant l'entrée du Château des Ducs de Nantes) + une grande planche hors-texte dépliante : "Intérieur et plan de la mansarde ou S.A.R. la Duchesse de Berry à été arrêtée"d'aprés un dessin de PLOUAYS DE CHANTELOU, lithographié en noir par Charpentier à Nantes + un Fac-Similé de lettre Autographe de Marie-Caroline Duchesse de Berry à Mr Meyer consul de Naples à Bordeaux, fait à Paris en Aout 1870, ‎


‎Marie Caroline Ferdinande Louise de Bourbon, princesse des Deux-Siciles, plus connue sous son titre de Duchesse de BERRY, fut l'épouse de Charles-Ferdinand d'Artois, duc de Berry, second fils du roi Charles X de France, assassiné en 1820 et la mère du comte de Chambord, prétendant légitimiste au trône de France sous le nom de « Henri V ». Au nom de son fils, elle tenta en vain de prendre le pouvoir en France en 1832 en qualité de « régente ». Elle est à l'origine des dernières Insurrections Vendéennes et Chouannes qui secouent le nord-ouest de la France en mai et juin 1832 ........... Joli Manuscrit inédit, d'une belle écriture en petite ronde fine, presque calligraphié, fourmillant de détails dramatiques et de touchantes anecdotes, d'autant plus importants que son auteur fut un Acteur dans le Mouvement Vendéen. Victor BONHIOL (Industriel Nantais) était un légitimiste. On connait de lui un autre manuscrit : " [MANUSCRIT]. La Presse. Revue critique et complète des journaux parus en 1848. Suivie de la nomenclature des journaux qui ont été publiés jusqu'au coup d'état (2 Dbre 1851) tant à Paris que dans les départements, d'une table alphabétique des noms de tous ceux qui ont écrit dans les journaux de Paris (1848). Août 1868. Le tampon de V. Bonhiol, Paris sur le titre et le chiffre V.B. sur le plat, laissent à penser que ce nom est celui de l'auteur de ce manuscrit car ce V. Bonhiol composa lui même en 1872 un manuscrit sur les Journaux de la Commune, rencontré dans un catalogue de la librairie Picard. "........ EXEMPLAIRE UNIQUE ........ de la Bibliothèque de René RICHELOT (1895-1969), un des derniers Grands Bibliophiles Bretons, ancien président de la Société archéologique d'Ille et Vilaine ..... livre acquis le 31 Janvier 1976, à la vente de la bibliothèque de René RICHELOT à Rennes, expert : DURAND-NOËL...... cet ouvrage a figuré à l'exposition "Madame, Duchesse de Berry" au Musée DOBREE à Nantes(15 Décembre 1963- 15 Février 1964) sous le N°280 cf catalogue page 46 ........ en trés bon état (very good condition). en trés bon état ‎

Phone number : 06 81 28 61 70

EUR1,200.00 (€1,200.00 )

‎ DINO, Dorothée de Courlande (duchesse de) ‎

Reference : 22940

(1909)

‎DUCHESSE DE DINO (puis duchesse de Talleyrand et de Sagan). CHRONIQUE DE 1831 A 1862, publiée avec des annotations et un index biographique par la princesse Radzwill, née Castellane‎

‎ Paris Plon-Nourrit et Cie 1909-1910 -in-8 demi-veau 4 Volumes, reliure demi-veau glacé havane clair in-octavo (binding half-calfskin in-octavo) (23,3 x 16 cm), BELLE RELIURE D'EPOQUE, dos 5 faux-nerfs (spine with raised bands), décoration "or" et à froid (gilt and blind stamping decoration), titre et tomaison frappés "or", pièce de titre et pièce de tomaison sur fond "Chocolat" avec un filet "or" en encadrement, roulette chainette "or" en place des nerfs avec un filet à froid de part et d'autre des nerfs, entre-nerfs à fleuron "or" dans un encadrement d'un double filets "or" avec fers "serpents" "or" aux angles, double filets "or" en tête et en pied, papier peigné marron-clair, marron-foncé et jaune caca d'oie aux plats, tête lisse dorée (gilt top edge), gouttière et tranche de queue non-rognées, ILLUSTRE DE 2 PORTRAITS ET DE 2 FAC-SIMILES H-T de lettres , (461) + ( 544) + (530) + (534) Pages, 1909-1910 Paris Plon-Nourrit et Cie Editeur, ‎


‎Comprend : T. I. 1831-1835 ; T. II. 1836-1840. 2e éd. ; T. III. 1841-1850 ; T. IV. 1851-1862........Autre auteur : Radziwill, Marie Dorothée Élisabeth de Castellane (1840-1915 ; princesse)..Cette chronique a été composée avec des notes recueillies en Angleterre, durant l'ambassade du prince de Talleyrand, et ensuite avec les fragments extraits des lettres adressées pendant trente ans, par Mme la duchesse de Dino, plus tard duchesse de Talleyrand et de Sagan, à M Adolphe de Bacourt...Dorothée de COURLANDE, Duchesse de DINO, Comtesse de Périgord, Duchesse de Talleyrand, Princesse de Sagan (1792-1862). Grande dame cosmopolite au sens européen du terme, mais allemande ou plutôt prussienne de cur, la Duchesse de DINO, était à son aise avec les Rois et les diplomates, dans l'atmosphère artificielle des Cours, dans le monde international de la haute société de la Restauration, de la Monarchie de Juillet et du Second Empire, entretenant une correspondance avec quantités de personnalités. Elle en avait le côté voulu, l'abord apprêté. Mais femme à l'intelligence pratique, avec le goût du réel, elle aimait aussi la terre, la vie simple et vraie dominée par le rythme inéluctable des saisons à Sagan. Journal de la Duchesse de DINO 1831-1862, une des meilleures chroniques de la Monarchie de Juillet et du Second Empire. ....... Trés Belle Reliure......TRES RARE......en trés bon état (very good condition). en trés bon état ‎

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