FERENCZI et FILS. 1931. In-12. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 234 pages. Quelques pages non coupées. Rousseurs sur les plats de couverture.. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
Reference : RO80023512
Envoi de l'auteur. Roman. Moeurs de Paris. Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
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Paris FERENCZI et FILS 1931 In-12 Broché Dédicacé par l'auteur
Edition originale. Petits manques au dos, mais ENVOI AUTOGRAPHE signé de l'auteur au journal l'Est Républicain. Bon 0
Publications Artistiques Françaises. Octobre 1998. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 114 pages. Nombreuses illustrations en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 700-LES ARTS
Sommaire : L'oeil par ceux qui l'ont écrit, Sous le signe du serpent a plumes par Laure Meyer, Peggy, collectionneuse d'artistes par Elisabeth Vedrenne, Pratolino, le jardin des merveilles par Elisabeth Vedrenne, Anish Kapoor, beauté et peur du vide par Joerg Bader, Henri Edmond Cross, a petites touches par Dominique Clévenot Classification Dewey : 700-LES ARTS
4 pages autographes de 49 vers signés sur 2 feuillets in-4 (avec deux repentirs), avec mention à l'encre, d'une autre main, en bas de la dernière page : "Paris Bd Saint Germain 1902" : Nous en livrons une transcription partielle : [ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Liberté grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillait de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".
Beau poème autographe signé de Maurice Renard (1875-1939), l'écrivain à succès de nombreux romans fantastiques et de science-fiction, parmi lesquels le célèbre ouvrage "Les Mains d'Orlac". Dans le présent poème manuscrit, il évoque la mort tragique du dauphin Louis-Charles de France (1785-1795), connut comme "Louis XVII", et le poids de ce crime sur la conscience de la Nation... Bon tat (petites fentes en pliures)