PAYOT. 1950. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Coiffe en tête abîmée, Intérieur frais. 178 pages. Coiffes en pied abîmée. Déchirure sur le 2nd plat.. . . . Classification Dewey : 617.7-Ophtalmologie
Reference : RO80004916
L'histoire d'une cure miraculeuse. Une étude de psychologie visuelle. Une message d'espérance pour quiconque est atteint de défaut visuel. Bibliothèque Scientifique. Classification Dewey : 617.7-Ophtalmologie
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A Paris, chez Bernard, 1798. In-8 de (8)-316 pp., 2 pp. du catalogue Bernard (Notice des principaux livres d'assortiment qui se trouvent chez Bernard), demi-veau blond à petits coins de vélin, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Première édition française traduite par François-René de Pommereul. « Milizia fait éloge du rôle fonctionnel des édifices. Pour lui, l’architecture est née du besoin de l’homme de se protéger contre les intempéries ; aussi blâme-t-il vigoureusement l’ornementation gratuite dont les architectes, principalement ceux du baroque et du rococo, ont paré leurs monuments, détournant ainsi leur art de sa fonction primordiale. Désormais, il s’agit de revenir à la pureté des formes classiques de l’architecture gréco-romaine, mais dans un esprit critique, sous l’égide de la philosophie et de la raison. Milizia entend relever les « erreurs » des architectes les plus célèbres. Les théoriciens dont il s’inspire (Vitruve, Alberti, Palladio, Serlio, Scamozzi) n’échappent pas à la rigueur de son jugement critique. Simplicité, harmonie, unité dans la variété, juste proportion, tels sont les critères qui déterminent la beauté de l’édific » (Encyclopédie Universelle). A la suite : Des Institutions propres à encourager et perfectionner les beaux-arts en France ; Etat des objets d'arts envoyés aux divers musées français, et conquis par les armées de la République pendant la guerre de la liberté. (83 pp.). Par le général de Pommereul. Si François-René de Pommereul a traduit plusieurs essais sur l'Art du critique italien Milizia, il a aussi exprimé ses propres conceptions ; adepte du néo-classicisme, il a préconisé l'édification de monuments publics pour familiariser la société avec l'art et il a voulu encourager la créativité des artistes principalement des graveurs : ses thèses sont exposées dans la seconde partie de l'ouvrage De l'art de voir dans les Beaux-Arts : Des institutions propres à encourager et perfectionner les Beaux-Arts en France. Pommereul a milité pour la création d'un musée public de gravure où seraient réunies les estampes des collections nationales et conservés les cuivres des graveurs ; il a voulu faciliter le commerce des épreuves de façon à soutenir la création des artistes, il est ainsi à l'origine de la Chalcographie du Louvre ou Collection des estampes (1799).
Les éditionds du Grand-Saint-Bernard, 2015, in/8, reliure éditeur, couverture en couleur, 148 pages. Photographies ern couleurs de Monika Augier-Jocham.
"Trois pelles usées, cabossées, rongées par la rouille deviennent trois personnages qui sortent de l’ombre et s’avancent. Tout l’art du sculpteur Jean-Pierre Augier est là, cet art de voir qui change de vieux outils en créatures. Ce livre explore le parcours de l’artiste autodidacte, depuis son enfance et sa rencontre avec l’art, jusqu’à l’épanouissement de son œuvre. Les photographies des sculptures révèlent son cheminement dans l’exploration des formes ; le récit , très imagé, s’inspire directement de son témoignage. Des dessins issus des premiers catalogues d’exposition enrichissent la perception. Après plus de cinquante ans de sculpture et la création de milliers d’œuvres, Jean-Pierre Augier poursuit son travail sans relâche, dans un corps-à-corps joyeux avec la matière."
Imprimerie Laboureur et Cie. 1949. In-4. En feuillets. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Papier jauni. 19 pages agrafées - quelques illustrations en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : L'art de voir - pour connaître nos provinces françaises - la tour de Montaigne - la Lorraine et Nancy - conseils à celles qui sont dans les nuages - les échanges scolaires internationaux - du wagon pullmann au sac à dos - les maisons et les granges dans les Alpes du Nord - l'art roman dans le Roussillon - pour la marche pour la bicyclette et le bateau - la France pays du pétrole - peinture et photographie - l'école de tourisme - histoire à travers les vieux airs de chez nous - châteaux et résidences royales sur le bord de la Loire. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
13,5x21 cm, broché, 191 pages, bon état, couverture et dos un peu tachés, tampon de l'ex-propriétaire sur page de garde, préface de Frédérick Leboyer, traduction de Colette et Daniel Roumanoff, biographie de Prajnanpad et glossaire en fin d'ouvrage, code-barre : 9782863160275
Comme pour les sciences exactes, la science spirituelle exige d'expérimenter, de trouver, de vérifier et de réaliser la vérité... Une approche très pragmatique d'un des maîtres indiens les plus modernes d'aujourd'hui. Ces lettres ont ceci de paradoxal et de merveilleux qu'elles sont universelles et personnelles tout à la fois. En ce que Yogeshvar Chattopadhyaya (son véritable nom) qui jamais ne prêche ni n'enseigne ex-cathedra, s'adresse à chacun de nous dans notre langage, nous libère de la pensée et nous oblige à voir, à nous établir sur le terrain solide du voir...
Paris, Bernard, 1798. In-8 de (8)-316 pp., 2 pp. (catalogue Bernard), veau marbré, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge, premier plat de couverture de papier dominoté conservé (reliure de l'époque).
Première édition française des essais sur l'art du critique italien et théoricien de l'architecture Francesco Milizia (1725-1798) traduits et commentés dans une seconde partie par François-René de Pommereul où celui-ci expose ses thèses sous le titre Des institutions propres à encourager et perfectionner les Beaux-Arts en France, suivi de État des objets d'arts envoyés aux divers musées français, et conquis par les armées de la République pendant la guerre de la liberté.« Milizia fait éloge du rôle fonctionnel des édifices. Pour lui, l’architecture est née du besoin de l’homme de se protéger contre les intempéries ; aussi blâme-t-il vigoureusement l’ornementation gratuite dont les architectes, principalement ceux du baroque et du rococo, ont paré leurs monuments, détournant ainsi leur art de sa fonction primordiale. Désormais, il s’agit de revenir à la pureté des formes classiques de l’architecture gréco-romaine, mais dans un esprit critique, sous l’égide de la philosophie et de la raison. Milizia entend relever les « erreurs » des architectes les plus célèbres. Les théoriciens dont il s’inspire (Vitruve, Alberti, Palladio, Serlio, Scamozzi) n’échappent pas à la rigueur de son jugement critique. Simplicité, harmonie, unité dans la variété, juste proportion, tels sont les critères qui déterminent la beauté de l’édifice » (Encyclopédie Universelle). Rare exemplaire relié à l'époque avec le très beau premier plat conservé de papier dominoté fabriqué par Letourmi à Orléans « LETOURMI - N°177 ». Quelques corrections et biffures à l'encre du temps (pages 15, 74, 211, 251) signalent probablement la main du traducteur et essayiste François René Jean de Pommereul (1745-1823) général de division de la Révolution française qui devint préfet d'Indre-et-Loire sous le Premier Empire. Adepte du néo-classicisme, il préconisa l'édification de monuments publics pour familiariser la société avec l'art et voulut encourager la créativité des artistes principalement des graveurs. Pommereul a milité pour la création d'un musée public de gravure où seraient réunies les estampes des collections nationales et conservés les cuivres des graveurs ; il a voulu faciliter le commerce des épreuves de façon à soutenir la création des artistes, il est ainsi à l'origine de la Chalcographie du Louvre ou Collection des estampes (1799). Grand bibliophile, sa bibliothèque est en partie conservée à la médiathèque de Fougères, sa ville natale.