EDITIONS DE L'AGENCE DE PRESSE NOVOSTI. 1977. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 109 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 947-Europe de l'Est, URSS
Reference : RO70122605
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Editions du Centre National De La Recherche Scientifique. Fort et dense In-4°, reliure en skyvertex crème sous jaquette ill (laminoire de fonderie), 521 pages, texte abondant émaillé de tableaux et cartes, très bel ensemble de cette uvre monumentale acte du colloque en sciences Humaines tenu à Lyon en Octobre 1970.
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Iheal & éditions vrac. 1987. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 155 pages - couverture contrepliée.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : L'indépendance des Amériques et la Révolution française : l'enjeu géopolitique des Caraïbes aux Guyanes par Guy Martiniere - industrialisation du Brésil - industrie, société et espace au Brésil par Bernard Bret - habitat ouvrier à Volta Redonda : du symbole populiste à la logique capitaliste par Rosélia Piquet - industrialisation et (dés)intégration régionale du Nordeste brésilien par Jaime Marques-Pereira & Brasilmar Ferreira Nunes - industrialisation et restructuration urbaine au Brésil : le cas des villes moyennes de l'Etat de Bahia par Alain Zantman - les transferts technologiques dans la stratégie des entreprises brésiliennes par Hubert Drouvot - infos scientifique et coopération - les institutions de recherche et l'Amérique latine - manifestations scientifiques - dialogues - lectures. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
CNRS, Université de Toulouse-Le Mirail, 2006, fort gr. in-8°, 750 pp, préface de Jean-Pierre Amalric, 4 cartes et 4 plans, 45 tableaux et 18 graphiques, biblio, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Méridiennes)
Alors que l'histoire du travail a été depuis une quinzaine d'années revisitée par des sociologues comme Robert Castel ou des philosophes comme Dominique Méda, la question du passage entre l'univers corporatif, dominé par la figure du maître artisan, et le monde industriel, où l'ouvrier d'usine occupe une position centrale, constitue encore une sorte de hiatus. Le découpage chronologique traditionnel des champs historiographiques, la force du paradigme révolutionnaire dans l'approche du phénomène industriel et de la naissance de la société libérale empêchent d'apprécier l'impact de la disparition des anciennes communautés de métier sur les économies urbaines et d'appréhender le changement social entre l'époque des Lumières et les débuts de l'industrialisation. Le choix d'une perspective transversale dans le temps s'accompagne ici d'une démarche comparative qui permet de mettre en relation l'expérience abolitionniste française avec celle de la progressive extinction observée en Espagne. Les cas comparés de Toulouse et de Saragosse donnent l'occasion de mesurer les changements intervenus entre 1760 et 1830 dans les villes encore peu touchées par le développement de nouvelles techniques productives que l'histoire des débuts de l'industrialisation a longtemps négligé en dépit de leur nombre, de leur rang et de leur obéissance. L'étude comparée débouche sur la mise en évidence d'une sorte de modèle d'évolution du monde du travail dans des économies urbaines qui, tout en participant à l'industrialisation, se caractérisent toujours par une intensification des modes déjà existants de production. La mort des corporations, brutale ou lente, n'a pas été le prélude à une progressive extinction de l'artisanat urbain. C'est bien plutôt une multiplication des agents économiques de faible envergure en situation d'indépendance formelle qui s'observe en milieu urbain dans les premières décennies du XIXe siècle et qui, dans le cas français, paraît avoir été défavorisée par la fameuse loi d'Allarde.
La documentation française. 1978. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 132 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : L'Argentine du Général Videla deux ans de reorganisation nationale 1976-1978 - l'argentine d'Isabel Peron et la décomposition du populisme - la réorganisation nationale et les objectifs du nouveau régime militaire - un avenir politique incertain - les grands propriétaires et les problemes agraires en Argentine 1973-1978 - les différentes politiques agricoles - industrialisation et modeles de developpement en Argentine - l'économie primaire extravertie - l'industrialisation par substitution d'importations - le systeme industriel - l'évolution historique du syndicalisme argentin entre 1955 et 1973 etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
SEDES, 1997, gr. in-8°, 231 pp, 52 graphiques et tableaux, carte, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Regards sur l'histoire)
"Cet ouvrage présente l'histoire de l'industrie et de la société industrielle britannique à l'ère de la seconde révolution industrielle. Il s'agit d'une synthèse bienvenue, dans un domaine négligé par les historiens français et où la bibliographie en langue française présente encore trop souvent (à l'exception notable des travaux de François Crouzet et de Jean-Pierre Dormois) une image déformée et périmée du déclin de l'économie britannique depuis 1880, par ignorance des travaux récents publiés en langue anglaise. L'ouvrage, très pédagogique, adopte une chronologie originale mais pertinente, abordant successivement le temps des doutes (1873-1913), le temps des bouleversements (1914-1931), le temps de l'effort (1932-1951), et le temps de l'abondance (1952-1973). Chaque partie analyse la conjoncture économique, les politiques gouvernementales, les mutations des structures et des stratégies des entreprises, et les évolutions sociales liées à l'industrialisation. Il faut louer la présence de nombreux tableaux, graphiques et cartes qui seront fort utiles. Mais le principal mérite de cet ouvrage est de souligner la double originalité de l'évolution britannique, dans l'entre-deux-guerres et pendant les « Trente Glorieuses ». M. Lemonnier montre que la crise de 1929 y est moins lourde de conséquences que celle de 1921, d'où le contraste entre le pessimisme des années 20, marquées par de douloureuses reconversions, et le redressement (incomplet mais spectaculaire) des années 30. Bertrand Lemonnier analyse également avec finesse le « paradoxe » des années 1952-73, âge d'or si on le compare avec les performances de l'industrie britannique depuis 1760, mais qui laisse un goût amer aux acteurs économiques, la comparaison internationale leur étant nettement défavorable : la croissance britannique est l'une des plus faibles de l'Europe occidentale, loin derrière l'Allemagne, la France et l'Italie. Ce livre est l'un des rares ouvrages à présenter en langue française un tableau réaliste des forces et des faiblesses de l'économie britannique depuis 1914. Les mutations sociales liées à l'industrialisation sont elles aussi bien vues, ce qui ne saurait étonner d'un historien de la société britannique de l'après-45, complétant ainsi le travail ancien, mais toujours d'actualité, de François Bédarida." (Isabelle Lescent-Giles, Histoire, économie et société, 1998)