‎ANONYME‎
‎S.O.S N°17‎

‎AREDIT Collection Courage Exploit. 1974. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 66 pages de bandes dessinées.. . . . Classification Dewey : 843.068-BD petits formats‎

Reference : RO70049655


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‎FRIZON, Pierre.‎

Reference : LCS-18148

‎La Saincte Bible Françoise, Selon la vulgaire Latine reveuë par le commandement du Pape Sixte V. Et imprimée de l’authorité de Clément VIII. Avec sommaires sur chaque livre du Novveau Testament extraicts des Annales du cardinal Baronius. Plus les Moyens pour discerner les Bibles Françoises Catholiques d'avec les Huguenotes. Et l'explication des passages de l'Escriture selon le sens des Peres qui ont vescu auant & durant les quatre premiers Conciles Oecumenicques par Pierre Frizon, Penitencier, et Chanoine de l'Eglise de Reims. « Nous estimons que ce fer héraldique (associant une fleur de lys et un dauphin, tous deux surmontés de la couronne des princes du sang, ici répété 3 fois au dos de chacun des volumes) a dû primitivement (à compter de l'année 1678) être frappé sur des volumes destinés au Grand Dauphin, fils aîné de Louis XIV, né à Fontainebleau le 1er novembre 1661 ». (Olivier-Hermal, Manuel de l'amateur de reliures armoriées françaises, pl. 2522, fer n° 17).‎

‎Précieux et extraordinaire exemplaire de la première édition de la bible de Frizon censurée par la Sorbonne, dédicacée au roi Louis XIII et reliée à l'époque en maroquin rouge doublé de maroquin rouge pour le Grand Dauphin (1661-1711). Paris, Jean Richer et Pierre Chevalier, 1621 [Suivi de :] – Frizon, Pierre. Moyens pour discerner les bibles françoises catholiques d'avec Les Huguenotes. Paris, Jean Richer, 1621. 2 tomes en 3 volumes in-folio à 2 colonnes de : I/ (6) ff. dont 1 frontispice, 583 pp., 28 gravures dans le texte ; II/ (2) ff., 508 pp., 21 gravures dans le texte; III/ pp. 509 à 863, 1 f. numéroté 864, 3 pp. numérotées 510 à 512, 90 pp., (27) ff., 21 gravures dans le texte, 2 gravures au titre, 1 carte. Ainsi complet. Reliure du dix-septième siècle en maroquin rouge ; double encadrement de trois filets dorés sur les plats avec fleurs-de-lys aux angles, dos à nerfs fleurdelisés, doublures de maroquin rouge à dentelle dorée et cadre central de trois filets dorés avec fleurs-de-lys aux angles, gardes de papier marbré, tranches dorées sur marbrure. Reliure royale réalisée vers l’année 1678 en maroquin doublé de maroquin.‎


‎Première édition de cette célèbre Bible française illustrée, dite Bible de Frizon, censurée par La Sorbonne dès sa parution. En 1689, La Caille en faisait aussi l'éloge et Michel de Marolles en signalait les gravures. Cette édition de la Bible est la première qui ait été faite à Paris ; elle est très rare, & l'on n'en connoit presque point d'exemplaires : il en existe deux à Paris ; l'un dans la bibliothèque du Roi, l'autre dans celle des Célestins. L'impression en est fort belle (G. F. de Bure, Bibliographie instructive, 1763, 1, n°31). - Duportal, Catalogue, 412. Cette première édition de cette version de la Bible de Louvain, jugée encore trop protestante par la Sorbonne, constitue la première bible française illustrée de gravures en taille douce. L'ouvrage tient le premier rang parmi les livres illustrés du temps de Louis XIII, avec 70 eaux-fortes originales comportant plus de 900 sujets, auxquels s'ajoutent un frontispice de Michel Lasne, deux vignettes et une carte. À côté d’artistes restés anonymes, la plupart des grands dessinateurs ou graveurs de l'époque ont contribué à l'illustration de l'ouvrage : notamment Claude Mellan, Michel Lasne, Léonard Gaultier, M. Van Lochom, Melchior Tavernier, Jean Zniarnko, M. Faulte, etc. Œuvre majeure de l'édition biblique, l'ouvrage est aussi un chef-d’œuvre de l'illustration française de son temps. « Cette bible de Frizon de 1621 est ornée de plusieurs figures très belles et fort estimées. On l’appelle vulgairement la Bible de Richer, qui est recherchée des curieux » (Histoire de l’Imprimerie, page 244). La première Bible imprimée en français est celle de Jean de Rely, qui est une révision de celle de Des Moulins, imprimée en 1487 sur l'ordre de Charles V. Naturellement cette Bible n'était pas une version littérale, mais une Bible historiée, comme il est écrit au folio 353. Un exemplaire se trouve à la bibliothèque Nationale et un autre à l'Arsenal à Paris. En 1528, Lefèvre d'Étaples finit la traduction entière de la Bible, qui fut imprimée à Anvers. Le travail de Lefèvre était basé sur la Vulgate (rendue fidèlement pour la première fois dans une traduction française). Il n'était pas destiné en lui-même à devenir la Bible populaire du peuple français, mais il préparait la voie pour un tel bienfait. Ce travail devint le modèle que les protestants et catholiques suivirent. En 1535, Pierre Robert Olivetan produisit une nouvelle traduction qui suppléait aux faiblesses de la version de Lefèvre. Natif de Picardie, il fut un des leaders de la Réforme en France. A cause de l'opposition rencontrée en France la première édition de cette Bible fut imprimée à Neuchâtel (en Suisse), les autres le furent à Genève. Malgré la censure, bien des Bibles de Genève entraient en France. Citons un passage du livre "Histoire des protestants en France", p. 68, qui montre le travail de quelques chrétiens de l'époque "étudiants et ministres, porte-balles, porte-paniers, comme le peuple les appelait, parcouraient le pays, un bâton à la main, le panier sur le dos, par le chaud et le froid, dans les chemins écartés, à travers les ravins et les fondrières de campagne. Ils s'en allaient, continue Mr de Félicé, frapper de portes en portes, mal reçus souvent, toujours menacés de mort, et ne sachant le matin où leur tête reposerait le soir". En 1566, René Benoît publia une traduction de la Bible, qui fut censurée par la Sorbonne en 1567 et finit de paraître en 1568. Benoît dut s'humilier devant la Sorbonne et reconnaître que sa traduction était une copie de celle de Genève, qui devait par conséquent être rejetée. Il en fut de même de la révision que Pierre Besse dédia à Henri IV en 1608, de celle de Claude Deville en 1613, et de celle de Pierre Frizon dédié à Louis XIII en 1621. « Le [Pape] PauI IV ordonne que toutes les Bibles en langue vulgaire ne peuvent ni être imprimées ni être gardées sans une permission du Saint-Office. C'était en pratique la prohibition de la lecture des Bibles en langue vulgaire » (Dictionnaire de Théologie Catholique, 15, col. 2738). La quatrième règle de l’Index (des livres interdits) publié par le pape Pie IV déclare : "L'expérience prouve que si l'on permet indistinctement la lecture de la Bible en langue vulgaire, il en arrivera par la témérité des hommes plus de mal que de bien." Le pape Sixte-Quint fait savoir expressément que personne ne peut lire la Bible en langue vulgaire sans une « permission spéciale du Siège apostolique ». Merveilleux exemplaire relié par Luc-Antoine Boyet dont on reconnait les fers caractéristiques (Esmerian, Deuxième partie). Le contraste entre l'altière élégance de la doublure et des plats et la luxuriante richesse des coupes symbolise la primauté de Boyet dans l'art de la reliure française au XVIIe siècle. « Il fut sans doute le premier relieur qui s'attacha et réussit à si bien soigner cette façon du corps d'ouvrage. Il excelle notamment dans le choix du maroquin, la confection de la couture et de l'endossage, les chasses basses. » Précieux et extraordinaire exemplaire royal offert vers l’année 1678 à Louis de France, Dauphin, appelé Monseigneur et surnommé Le Grand Dauphin, fils aîné de Louis XIV et de Marie-Thérèse d'Autriche, né à Fontainebleau le 1er novembre 1661. Chacun des trois volumes comporte en queue du dos et sur la pièce de tomaison la marque reproduite par Olivier-Hermal (Manuel de l’amateur de reliures armoriées françaises, Paris 1934, pl. 2522, fer n° 17), la référence incontestée en la matière, ainsi analysée : « Nous estimons que ce fer (associant une fleur de lys et un dauphin, tous deux surmontés de la couronne des princes de sang) a dû primitivement être frappé sur des volumes destinés au Grand Dauphin (à compter de l'année 1678) et qu'ensuite, il fut très souvent utilisé comme simple ornementation sur de nombreuses reliures, recouvertes tant de maroquin que de veau. » Cette analyse était confirmée par Jean Toulet, l’ancien conservateur en chef de la réserve de la B.n.F. Quelques clercs contemporains contestent cette attribution et méconnaissent la science héraldique de l'âge classique. Aucun fer héraldique, à notre connaissance, comportant plusieurs emblèmes royaux ne fut créé au XVIIe siècle dans un but simplement ornemental. Ce fer armorié, composé d'une fleur-de-lys couronnée et de l'emblème du dauphin surmonté de la couronne des princes de sang fut « frappé dès 1678 sur des volumes destinés au Grand Dauphin » adolescent et ce n'est qu'ensuite, le dauphin majeur utilisant les armoiries reproduites par Olivier, planche 2522 fers 1 à 9, que ce fer n° 17 « fut très souvent utilisé comme simple ornementation sur de nombreuses reliures, recouvertes tant de maroquin que de veau » (Olivier-Hermal). Cette nuance héraldique, certes éloignée de nos préoccupations modernes, a apparemment échappé à la sagacité de certains amateurs contemporains les amenant à rejeter globalement l'appartenance princière de l'ensemble des volumes frappés du fer héraldique n° 17. Imaginer en effet qu'au Siècle de Louis XIV, un tel fer héraldique royal eut pu originellement être poussé sur des livres à titre simplement ornemental est une hérésie héraldique. M. J. - P. - A. Madden fut le premier à consacrer une étude historique à ce fer héraldique. (Voir «Le livre, année 1880 »). Au terme d'une analyse documentée, et qui fait autorité, il concluait que ce fer « se trouvait frappé au dos de nombreux volumes adressés au Dauphin et imprimés de 1678 à 1706, c'est-à-dire de sa dix-septième à sa quarante-cinquième année ». L'on sait qu'un demi siècle plus tard, en 1934, Olivier-Hermal confirmait la destination de ce fer héraldique en la réservant aux premières années de son apparition (à compter de 1678). «Nous avons rencontré ce fer n°17 sur des volumes dont la date de publication est tantôt antérieure, tantôt postérieure à la mort du Grand Dauphin (1711). Nous estimons que ce fer a dû primitivement être frappé sur des volumes destinés au Grand Dauphin, et qu'ensuite, il fut très souvent utilisé comme simple ornementation sur de nombreuses reliures, recouvertes tant de maroquin que de veau. » (Olivier-Hermal). Jean Toulet, ancien Conservateur en Chef de la Réserve des livres rares à la B.n.F. et autorité incontestée pour la période classique, considère que les très rares volumes de la fin du XVIIe siècle reliés en maroquin d'époque doublé de maroquin ornés d'une simple fleur-de-lys étaient bien évidemment destinés aux princes de sang royal. Les somptueuses reliures recouvrant cette bible censurée par la Sorbonne, décorées avec une extrême élégance, sont l'œuvre de l'atelier de Luc-Antoine Boyet. Boyet travaillait alors pour le Grand Dauphin et « la pratique du bon goût aristocratique, à la fin du XVIIe siècle, voulait que l'on minimise le plus possible la marque d'appartenance et la dimension des armoiries ornant les reliures. » Louis de France appelé Monseigneur, dit le Grand Dauphin, reçut en naissant la croix et le cordon de l'ordre du Saint-Esprit ; il eut pour gouverneur le duc de Montausier et pour précepteur Bossuet. Il épousa le 7 mars 1680, à Châlons-sur-Marne, Marie-Anne-Christine-Victoire de Bavière, décédée en 1690, qui lui donna trois fils. Reçu chevalier du Saint-Esprit le 1er janvier 1682, il fit quelque temps campagne en Allemagne et en Flandre (1688-1694), mais fut constamment tenu à l'écart des affaires par Louis XIV. Le Grand Dauphin épousa secrètement vers 1695 Marie-Émilie Joly de Choin. Il mourut le 14 avril 1711, de la petite vérole, au château de Meudon. Cet exemplaire prestigieux fut catalogué et reproduit en couleur il y a 20 ans par Pierre Bérès au prix de 450 000 FF (70 000 €) « Livres et Manuscrits significatifs et choisis, N°25 ». Pierre Berès cataloguait alors 275 000 FF l’édition originale de 1544 de « Délie » de Maurice Scève, 300 000 FF les Œuvres de Rabelais de 1556 et 675 000 FF (≈ 100 000 €) le fameux exemplaire en vélin de l’époque de l’édition originale de 1555 des Œuvres de Louise Labé Lionnaize. Ce volume cote aujourd’hui plus de 650 000 €, un exemplaire passé à New York en reliure moderne venant d’être vendu 450 000 € à un bibliophile européen.‎

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‎AUBUISSON DE VOISINS (Jean-François d')‎

Reference : 74901

(1801)

‎Recueil de 17 mémoires‎

‎Paris, Le Journal des Mines, 1801-1807, in-8, , , Recueil de 17 mémoires sur l'exploitation des mines et leur administration parus dans le Journal des Mines : - Mémoire sur la partie économique et administratives des mines de la Saxe. 20 juin 1801. pp. 64-90 - Articles fondamentaux de la jurisprudence des mines, dans les pays de l'Europe où les mines sont exploitées avec le plus d'avantage et passent pour être le mieux administrées. [1806]. pp. 277-308 - Nouvelle méthode d'assigner la direction des percemens dans les mines, et de tracer les plans des ouvrages souterrains [suivi de:] Essai fait dans une fonderie de fer du Tyrol, avec de la tourbe carbonisée et non carbonisée. [novembre ou décembre 1804]. pp. 164-194 1 pl. - Description raisonnée de la préparation des minerais en Saxe, notamment à la mine de Beschert-Glück. 17 septembre 1807. pp. 23-58, 121-148, 273-307, 466 -497 3 pl. - Observations faites dans quelques fonderies, sur le rapport entre la quantité de charbon de houille et celle de charbon de bois, employés dans le fondage des minerais. [mai 1803] pp. 154-159 - Sur le prix coûtant de l'exploitation de la roche, comme servant de base à la fixation des prix faits dans le travail des mines. [octobre 1804]. pp. 17-34 - Description des Houillères d'Anzin (Département du Nord). [mai 1805] pp. 119-146 1 pl. - Du picotage et du cuvelage des puits dans les Houillères d'Anzin. [juin 1805]. pp. 162-170 - De la mine de plomb de Poullaouen, en Bretagne, et de son exploitation. [janvier 1807]. pp. 347-374 - Notice sur la fonderie de fer de Gleiwitz dans la Haute-Silésie [suivi de :] Note de M. Wagner sur Un essai fait avec de la tourbe dans une fonderie de fer, par Lampadius. pp. 455-468, 88-104 - Du gisement et de l'exploitation d'une couche de galène, près de Tarnowitz, en Silésie. [février 1805]. pp. 326-344 - Notice sur les machines à vapeur des mines de Tarnowitz en Silésie. [avril 1803] pp. 37-41 - Exposé des travaux en usage à la fonderie de plomb de Frederichschütte, près de Tarnowitz. [1804-1805] pp. 437-454 - Notice de M. Mohs, sur la montagne appelée Ringekühle, dans la Hesse accompagnée des Notes de M. Daubuisson. octobre 1803. pp. 191-198 - Extrait d'une lettre de J.F. Daubuisson, à A.J.M. Brochant, ingénieur des mines, sur la température dans les mines de Freiberg. [mars 1802]. pp. 113-122 - Observations sur la variation diurne de l'Aiguille aimantée, extrait de divers auteurs. pp. 375-382 - De la mesure des hauteurs par le baromètre d'après la théorie de M. Laplace. mai 1803; pp. 330-361 1 pl. Sont reliés à la suite, extraits de la même revue : -ANDREOSSY, Histoire du canal du Midi (canal du Languedoc) considéré sous les rapports d'invention, d'art, d'administration, etc. avec des cartes, plans et profils des principaux ouvrages. [1803-1804]. pp. 355-374. - BROCHANT, Traité élémentaire de minéralogie suivant les principes du professeur Werner, conseiller des mines de Saxe, rédigé d'après plusieurs ouvrages allemands, augmenté des découvertes les plus modernes, etc. [1815] pp. 66-75 - BIOT, Traité élémentaire d'astronomie-physique. [1804-1805]pp. 317-320 Jean-François d'Aubuisson de Voisins (1769-1841) étudia auprès d'Abraham Gottlob Werner à la Bergakademie de Freiberg. Dans un premier temps, ses travaux sont fondés sur ceux de Werner, principalement en ce qui concerne l'identification, la classification, la distribution et la formation des minéraux. Il fut, pendant 30 années, ingénieur en chef des mines de Toulouse. Il est également connu pour les importants travaux d'hydraulique qu'il fit exécuter dans cette ville de 1817 à 1828 pour le captage et la distribution des eaux : son traité d'hydraulique, qui connut deux éditions, est l'un des meilleurs de son époque sur le sujet. Cachets de l'Université catholique de Paris. Reliure un peu défraîchie. Bon état intérieur. Ward & Carozzi, n° 88. DSB I, 327-328. Jean Gaudant, Couverture rigide‎


‎Bon ‎

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‎Rombauts, E.; Welkenhuysen, Andries‎

Reference : 013257

(1975)

ISBN : 9061860253

‎Aspects of the Medieval Animal Epic: Proceedings of the International Conference, Leuven, May 15-17, 1972: Proceedings of the International ... May 15-17, 1972 (Mediaevalia Lovaniensia)‎

‎Leuven 1975 Leuven University Press Soft cover ‎


‎Aspects of the Medieval Animal Epic: Proceedings of the International Conference, Leuven, May 15-17, 1972: Proceedings of the International ... May 15-17, 1972 (Mediaevalia Lovaniensia) soft cover, 250 x 170 mm, 268 pg, in good condition, ‎

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‎GAVARD (Charles) [Diagraphe et Pantographe/Diagraph and Pantograph] CHAVANE [Graveur/engraver] JUGELET-GUDIN-DUBOIS-GILBERT-HUE [Peintres/painters].‎

Reference : 5779

(1838)

‎[Suite de 17 gravures figurant les batailles navales de la guerre d'indépendance américaine extraites de:/Suite of 17 engravings depicting the naval battles of the American War of Independence from:] Galerie historique de Versailles.‎

‎Paris, Charles Gavard, 1838-1849. 1838 17 feuilles grand in-folio oblong de papier vélin ( 475 x 330 mm.) de: 17 gravures sur acier dont 5 en deux états, le second sur chine contrecollée. ( taches, déchirures marginales restaurées, quelques marges jaunies ou rousseurs). Non reliées, rangées dans un cartonnage recouvert de papier à la colle..‎


‎Rare ensemble de gravures provenant de la "Galerie historique de Versailles" reproduisant des uvres de peintres célèbres consacrées aux batailles navales de la guerre d'indépendance américaine. La « Galeries historique de Versailles », monumental ouvrage rassemblant plus de 1750 planches fut publié Charles Gavard (1794-1871) entre 1838-1849. En 1836, Louis-Philippe avait accordé à ce polytechnicien les droits exclusifs sur la reproduction de chaque uvre du Musée historique de Versailles à laide dun outil de son invention, le diagraphe. Présenté aux Salons de 1833 et 1834 et à lExposition des produits de lindustrie française de 1834, ce nouveau procédé constituait une aide au dessin permettant de tracer les contours dun objet en suivant un point de mire. Il se révéla utile à plus dun titre pour la réalisation de louvrage : il permit en effet la production dun nombre considérable de gravures en un temps record et assura leur large diffusion. Bien quil fût perçu par certains comme une menace pour lart, le diagraphe ne pouvait remplacer le travail des artistes. Gavard avait ainsi confié à Luigi Calamatta et Paolo Mercuri la direction d'une équipe de 154 graveurs et 32 dessinateurs réputés, qui donnèrent toute leur force aux gravures des Galeries historiques. La qualité de reproduction des uvres est remarquable, fruit de lutilisation du Diagraphe et le Pantographe. Les planches gravées sur acier sont ensuite terminées à leau-forte et au burin par les meilleurs artistes de lépoque. Trois états des planches furent produits. Le présent ensemble provient de lédition de luxe avec les gravures sur Chine et de celle sur vélin au format in-folio. Notre ensemble réuni de célèbres batailles navales livrées par les Français contre les Anglais au cours de la guerre dindépendance Américaine : Combat de la frégate française, la belle poule contre la frégate anglaise, lAréthuse, 17 juin 1778. Combat naval de Ouessant, le 27 juillet 1778. Combat de la frégate française la Concorde contre la frégate anglaise la Minerve, 22 août 1778. Combat de la frégate française la Junon contre la frégate anglaise le Fox, 11 septembre 1778. Combat du vaisseau français le Triton contre le vaisseau anglais le Jupiter et la frégate anglaise la Médée, 20 octobre 1778. Combat de la frégate française la Minerve contre deux vaisseaux anglais et deux frégates anglaise, 7 février 1779. Combat naval de lile de la Grenade, 6 juillet 1779. Combat de la frégate française la Surveillante contre la frégate anglaise le Québec, 7 octobre 1779. Combat naval en vue de la Dominique, 17 avril 1780. Combat naval de la Praia, 16 avril 1781. Combat entre les frégates françaises la Nymphe et lAmphitrite contre le vaisseau anglais lArgo, 11 février 1783. Combat naval en vue de Gondelour, 20 juin 1783. Cinq de ces gravures sont en deux états de tirage, sur vélin et sur chine contrecollées. Rare et belle iconographie. 17 large oblong folio sheets of vellum paper (475 x 330 mm.) of: 17 engravings on steel including 5 in two states, the second on laminated China paper. (stains, marginal tears restored, some yellowed margins or foxing). Unbound, stored in a cardboard box. Rare set of engravings from the "Galerie historique de Versailles" reproducing works by famous painters dedicated to the naval battles of the American War of Independence. The Historical Galleries of Versailles, a monumental work bringing together more than 1750 plates, was published by Charles Gavard (1794-1871) between 1838 and 1849. In 1836, Louis-Philippe granted this polytechnician exclusive rights to reproduce each work in the Historical Museum of Versailles using a tool of his invention, the diagraph. Presented at the Salons of 1833 and 1834 and at the Exhibition of French Industrial Products of 1834, this new process constituted a drawing aid allowing the contours of an object to be traced by following a point of focus. It proved useful in more than one way for the production of the work: it enabled the production of a considerable number of engravings in record time and ensured their wide distribution. Although it was seen by some as a threat to art, the diagraph could not replace the work of artists. Gavard had thus entrusted Luigi Calamatta and Paolo Mercuri with the management of a team of 154 engravers and 32 renowned designers, who gave all their strength to the engravings of the Historical Galleries. The quality of reproduction of the works is remarkable, the result of the use of the Diagraph and the Pantograph. The plates engraved on steel were then finished with etching and chisel by the best artists of the time. Three states of the boards were produced. This set comes from the luxury edition with the engravings on China paper and the one on vélin in folio format. Our collection brings together famous naval battles fought by the French against the English during the American War of Independence: Combat of the French frigate, La Belle Poule against the English frigate, the Aréthuse, June 17, 1778. Naval combat of Ouessant , July 27, 1778. Combat of the French frigate the Concorde against the English frigate the Minerve, August 22, 1778. Combat of the French frigate the Junon against the English frigate the Fox, September 11, 1778. Combat of the French ship the Triton against the English ship the Jupiter and the English frigate the Médée, October 20, 1778. Combat of the French frigate Minerve against two English ships and two English frigates, February 7, 1779. Naval combat on the island of Grenada, July 6, 1779. Combat of the French frigate Surveillante against the English frigate Quebec, October 7, 1779. Naval combat in sight of Dominica, April 17, 1780. Naval combat of Praia, April 16, 1781. Combat between the French frigates Nymphe and Amphitrite against the English ship Argo, February 11, 1783. Naval combat in sight of Gondelour, June 20, 1783. Five of these engravings are in two states of print, on vellum and on laminated china paper. Rare and beautiful iconography.‎

J-F Letenneur Livres Rares - Saint Briac sur Mer
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‎[Journal de Bordeaux et du Département de la Gironde] - ‎ ‎Collectif ; [ MARANDON, Bruno Gabriel ; CORNU ]‎

Reference : 58855

(1792)

‎Journal de Bordeaux et du Département de la Gironde. [ Ensemble non suivi de 235 numéros, du Samedi 30 avril 1791 au Samedi 30 Juin 1792 [ Premier Volume, du Samedi 30 avril 1791 au 27 décembre 1791 : 116 numéros ] Avril 1791 : n° 69 ; Mai 1791 : n° 70, 71, 72, 73, 74, 75, 76, 77, 78, 79, 80, 82, 83, 84, 85 ; Juin 1791 : n° 88, 89, 90, 91, 92, 93, 94, 95, 96, 97, 98, 99, 100, 101, 102, 103, 104 : Juillet 1791 : n° 105, 106, 107, 108, 109, 110, 111, 112, 113, 114, 115, 116, 117, 118, 119, 120, 121 ; Août 1791 : n° 122, 123, 124, 125, 126, 127, 128, 129, 133, 139 [ Avec insertion du n° 219 du Courrier française du 7 août 1791 ] ; Septembre 1791 : n° 140, 141, 142, 143, 144, 145, 146, 147, 148, 149, 150, 151, 152, 153, 154, 155, 156 ; Octobre 1791 : n° 157, 158, 160, 161, 162, 163, 164, 165, 167, 168, 170, 173 ; Novembre 1791 : n° 174, 175, 176, 177, 178, 179, 180, 181, 182, 183, 184, 185, 190, 191 (en fin de recueil) ; Décembre 1791 : n° 193, 194, 195, 196, 197, 198, 200, 201, 202, 203, 204, 205, 206 ; [ Second volume, du Dimanche Premier Janvier 1792 au n° 30 du Samedi 30 Juin 1792 : 119 numéros ] Janvier 1792 : n° 1, 2, 3, 6, 8, 9, 10, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 25, 27, 28, 29, 30, 31 ; Février 1792 : n° 1, 2, 3, 7, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 18, 19, 22, 23, 24, 25, 27, 28, 29 ; Mars 1792 : n° 1, 2, 3, 4, 6, 7, 8, 9, 11, 14, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 24, 25, 26, 27, 31 ; Avril 1792 : n° 1, 3, 7, 11, 14, 15, 16, 17, 18, 20, 21, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 30 ; Mai 1792 : n° 1, 2, 3, 4, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 21, 22, 23 ; Juin 1792 : n° 2, 4, 13, 15, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 26, 29, 30 ‎

‎2 vol. fort in-8 brochage d'attente de l'époque, avec couverture de la Troisième Année [ 1792 ] en tête du premier volume "Chez Les Frères Labottière & Pinard", Bordeaux, 235 numéros de 8 pages (soit environ 1880 pages). Détail : Journal de Bordeaux et du Département de la Gironde. [ Ensemble non suivi de 235 numéros, du Samedi 30 avril 1791 au Samedi 30 Juin 1792 [ Premier Volume, du Samedi 30 avril 1791 au 27 décembre 1791 : 116 numéros ] Avril 1791 : n° 69 ; Mai 1791 : n° 70, 71, 72, 73, 74, 75, 76, 77, 78, 79, 80, 82, 83, 84, 85 ; Juin 1791 : n° 88, 89, 90, 91, 92, 93, 94, 95, 96, 97, 98, 99, 100, 101, 102, 103, 104 : Juillet 1791 : n° 105, 106, 107, 108, 109, 110, 111, 112, 113, 114, 115, 116, 117, 118, 119, 120, 121 ; Août 1791 : n° 122, 123, 124, 125, 126, 127, 128, 129, 133, 139 [ Avec insertion du n° 219 du Courrier française du 7 août 1791 ] ; Septembre 1791 : n° 140, 141, 142, 143, 144, 145, 146, 147, 148, 149, 150, 151, 152, 153, 154, 155, 156 ; Octobre 1791 : n° 157, 158, 160, 161, 162, 163, 164, 165, 167, 168, 170, 173 ; Novembre 1791 : n° 174, 175, 176, 177, 178, 179, 180, 181, 182, 183, 184, 185, 190, 191 (en fin de recueil) ; Décembre 1791 : n° 193, 194, 195, 196, 197, 198, 200, 201, 202, 203, 204, 205, 206 ; [ Second volume, du Dimanche Premier Janvier 1792 au n° 30 du Samedi 30 Juin 1792 : 119 numéros ] Janvier 1792 : n° 1, 2, 3, 6, 8, 9, 10, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 25, 27, 28, 29, 30, 31 ; Février 1792 : n° 1, 2, 3, 7, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 18, 19, 22, 23, 24, 25, 27, 28, 29 ; Mars 1792 : n° 1, 2, 3, 4, 6, 7, 8, 9, 11, 14, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 24, 25, 26, 27, 31 ; Avril 1792 : n° 1, 3, 7, 11, 14, 15, 16, 17, 18, 20, 21, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 30 ; Mai 1792 : n° 1, 2, 3, 4, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 21, 22, 23 ; Juin 1792 : n° 2, 4, 13, 15, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 26, 29, 30 ‎


‎Très rare réunion, non suivie, de 235 numéros de ce très important journal bordelais, publiés entre le 30 avril 1791 et le 20 juin 1792, période charnière dans l'Histoire de France mais également dans l'histoire de cette publication. Publié du 15 mai 1790 à septembre 1797, le "Journal de Bordeaux et du Département de la Gironde" devient quotidien à partir du 1er janvier 1792, la pagination et la numérotation continue faisant alors place à une pagination et à une numérotation mensuelle. Ce journal remplaçait le "Bulletin, Affiches et Annonces..." que les frères Labottière avaient créé en mars 1790 "et auquel ils voulurent donner plus d'importance en lui attribuant un nouveau titre". Marandon en demeura le rédacteur jusqu'à la fin 1791. Le journal donnait les nouvelles de France et de l'étranger, du commerce et du port de Bordeaux, proposait diverses annonces, mais il devient également l'organe de la "Société des Amis de la Constitution", dont les fondateurs devinrent les futurs girondins (Vergniaud, Guadet, Gensonné, Ducos, Boyer-Fonfrède, Furtado, Marandon, Troplong, etc.). A la fin de l'année 1791, la société changea de nom pour devenir la "Société des Amis de la Liberté et de l'Egalité", mais c'est alors que le Journal de Bordeaux cessa d'en être l'organe. "Les abonnés trouvaient probablement la politique du rédacteur Marandon trop sectaire et les propriétaires du Journal, les frères Labottière, le congédièrent". Le nouveau rédacteur, Cornu (" de son vrai nom Jean-François Cornu de Boissancourt") est un jeune avocat parisien de 25 ans, qui mourra guillotiné sous la Terreur, le 24 juin 1794. Les termes de son jugement feront allusion au journal qu'il rédigeait "avec autant de talent que de feuillantisme !" Girondin indéfectible, Marandon l'avait précédé sur l'échafaud bordelais le 27 octobre 1793... Les rares recueils disponibles sont presque toujours lacunaires, notre exemplaire ne fait pas exception avec pour cette période environ 74 numéros manquants d'après la numérotation (16 dans le premier volume, 58 dans le second, dont 26 pour les seuls mois de mai et juin 1792), mais il n'en demeure pas moins un ensemble tout à fait remarquable pour l'étude de la Révolution Française. Labadie, La Presse Bordelaise pendant la Révolution, 66 et s.‎

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