‎C. SFAELLOU‎
‎POUR SON PERE‎

‎NATHAN. 1990. In-8. Cartonnage d'éditeurs. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 157 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 372.4-Livre scolaire : lecture‎

Reference : RO60044265
ISBN : 2092402846


‎Traduit du grec par A. Giannakaki. Illustrations de A. Ferrier. Classification Dewey : 372.4-Livre scolaire : lecture‎

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‎VOLTAIRE - "Affaire Calas" - CALAS (Jean)‎

Reference : 38812

‎[Recueil de 7 pièces sur l'affaire Calas]. 1- [VOLTAIRE]. Pièces originales concernant la mort des Srs Calas et le jugement rendu à Toulouse. Extrait d'une lettre de la Dame veuve Calas du 15 juin 1762. [Paris, 1762]. 22 p. 2- [VOLTAIRE]. Mémoire de Donat Calas pour son père, sa mère et son frère [A Châtelaine, le 22 juillet 1762]. 30 p. 3- [VOLTAIRE]. Histoire d'Elisabeth Canning et de Jean Calas - Histoire des Calas. [Paris, 1762]. 20 p. 4- ELIE DE BEAUMONT (Jean-Baptiste-Jacques). Mémoire à consulter, et consultation pour la Dame Anne-Rose Cabibel, veuve Calas, & ses enfans. Paris, Imprimerie Le Breton, 1762. 70 p., (1) p. d'errata.5- MARIETTE (Pierre). Mémoire pour Dame Anne-Rose Cabibel, veuve du Sieur Jean Calas, marchand à Toulouse ; Louis & Louis-Donat Calas leurs fils ; & Anne-Rose & Anne Calas leurs filles, Demandeurs en cassation d'un Arrêt du Parlement de Toulouse du 9 mars 1762. Paris, Imprimerie Le Breton, 1762. (1) f., 136 p.6- LOYSEAU DE MAULEON (Alexandre-Jérôme). Mémoire pour Donat, Pierre et Louis Calas. [Paris], Imprimerie Le Breton, 1762. (2), 63 p. 7- MARIETTE (Pierre), THIROUX DE CROSNE (Louis). Réflexions pour Dame Anne-Rose Cabibel, veuve du Sieur Jean Calas, Marchand à Toulouse; Louis & Louis-Donat Calas, leurs fils; & Anne & Anne-Rose Calas, leurs filles, Demandeurs en cassation d'un Arrêt du Parlement de Toulouse, du 9 mars 1762. [Paris], Imprimerie Le Breton, 1763. (1) f., 10 p.‎

‎ Ensemble de 7 pièces reliées en un volume in-8 (214 x 134 mm), demi-veau marbré, dos à 5 nerfs filetés or richement orné de compartiments fleuronnés et cloisonnés, palettes en tête et pied, pièce de titre de maroquin bordeaux (rel. signée Laurenchet dans le goût de l'époque) ‎


‎Edition originale des 7 pièces. Les trois premières sont rédigées par Voltaire qui donna une résonance nationale à cette affaire et lutta inlassablement pour la réhabilitation de Jean Calas.Dans le contexte de conflits religieux entre protestants et catholiques à Toulouse, Jean Calas avait été accusé à tort d'avoir assassiné son fils pour l'empêcher se convertir au catholicisme, condamné à mort et brûlé le 10 mars 1762. En 1765, à la suite d'une large mobilisation, la veuve de Jean Calas fut rétablie dans ses droits et la mémoire de son mari réhabilitée.1- "Pièces rédigées par Voltaire d'après des documents qui lui avaient été fournis notamment par l'avocat genevois Charles de Manoël de Végobre" ('Voltaire à la B.N.', 3944). (Bengesco, 1675. Coquerel, 14-16).2- (Bengesco, 1677. Coquerel, 23-24. 'Voltaire à la B.N.', 3949).3- (Bengesco, 1678. Coquerel, 25. 'Voltaire à la B.N.', 3953).4- Édition originale. (Coquerel, 26).5- Édition originale. Signé "Pierre Mariette, avocat". (Coquerel, 27).6- Édition originale. (Coquerel, 28).7- Édition originale. Signé : "Monsieur Thiroux de Crosne, maître des requêtes, rapporteur [et] Me Mariette, avocat". (Coquerel, 29).Quelques auréoles brunes à quelques feuillets.Bel exemplaire, frais, ensemble des pièces non rognées. ‎

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Phone number : 33 01 47 07 40 60

EUR1,200.00 (€1,200.00 )

‎"VOLTAIRE;"‎

Reference : CLL-346

(1762)

‎"[Affaire Calas.] Mémoire à consulter, et consultation pour les enfans de défunt Jean Calas, marchand à Toulouse. Paris, Merlin, 1765. 28 pp. Mémoire du Sieur Gualbert Lavaysse. S.l.n.d. 32 pp. Mémoire pour dame Anne-Rose Cabibel, veuve Calas et pour ses enfans… Paris, Cellot, 1765. 94 pp. Pièces originales concernant la mort des Srs Calas et le jugement rendu à Toulouse. S.l., 1762. 22 pp. Mémoire de Donat Callas pour son père, sa mère & son frère. S.l., 1762. 30 pp. Histoire d'Elisabeth Canning, et de Jean Calas. S.l.n.d. 20 pp. Mémoire à consulter, et consultation pour la dame Anne-Rose Cabibel, veuve Calas, & pour ses enfans. Paris, Le Breton, 1762. 72 pp. Mémoire pour dame Anne-Rose Cabibel, veuve du sieur Jean Calas… demandeurs en cassation d'un arrêt du parlement de Toulouse du 9 mars 1762. Paris, Le Breton, 1762. 136 pp. Mémoire pour Donat, Pierre & Louis Calas. Paris, Le Breton, 1762. 64 pp. Lettre de M. le marquis d'Argence, brigadier des armées du roi; Lettre de Monsieur de Voltaire, à Monsieur le marquis d'Argence, 24 auguste 1765. S.l.n.d. 8 pp. Chanson pour Mademoiselle Clairon. S.l.n.d. 3 pp. Lettre de M. de Vo[taire] à M. d'Am[illaville] Premier mars 1765. Ferney, 1765. 16 pp. Calas sur l'échafaud, à ses juges. 1765. 7 pp."‎

‎1762 13 plaquettes en un volume in-8, demi-veau havane, dos à nerfs orné de roulettes, palettes et caissons avec motifs floraux dorés, pièce de maroquin citron, tranches rouges (reliure de l'époque).‎


‎"Précieuse réunion de 13 pièces en éditions originales concernant l'affaire Calas. Quatre de ces pièces sont signées de Voltaire : Pièces originales concernant la mort des Srs. Calas. - Mémoire de Donat Callas. - Histoire d'Elisabeth Canning et de Jean Callas. - Lettre de M. de Vol[taire]… à M. d'Am[illaville]… ""L'Homme aux Calas"", c'est ainsi que les Parisiens appelèrent Voltaire à la fin de sa vie, tant sa lutte sans relâche pour la réhabilitation de la malheureuse famille Calas symbolisa plus de vingt années de son combat pour la justice et la tolérance. Témoignage de l'intérêt énorme exprimé à l'époque pour cette affaire, toutes ces pièces ont été réunies et reliées dès leur parution. Bn, L'Œuvre imprimé de Voltaire, II, n° 153 (XXI, 6), 3944, 3948 et 3952."‎

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(CNE)

Phone number : + 33 (0)1 42 89 51 59

EUR2,000.00 (€2,000.00 )

‎Robert Caron, Lucienne Mornay, Maurice Morin‎

Reference : R110384450

(1955)

‎Qui ? Détective n° 450 - Henri Julien maintient : Non ! je n'ai pas tué par Robert Caron, Sans pardon pour son père par Lucienne Mornay, L'étonnant destin du tanneur Henri le Nénaon ouvrier devenu milliardaire par Maurice Morin‎

‎Bureaux du journal. 14 février 1955. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 23 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎ Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎BONNARD (Abel) : L’Enfance. Paris, Le Divan, 1927. Plaquette petit in-8 sensu stricto, 72pp. [dont faux-titre et titre]-(1) f. [blanc / achevé d’imprimer], brochée, couverture imprimée ocre (de très bonne apparence, malgré une petite trace d’enfoncement en bas du dos, par contre, à l’intérieur, invasion de taches brunes – déjà - : papier de très mauvaise qualité). ÉDITION ORIGINALE, dans la collection « Les Soirées du Divan », n° 25, tirée à 925 exemplaires numérotés (celui-ci un des huit cents sur « bel alfa bouffant » (sic). D’entrée, le propos se veut rassurant : « J’aime plus l’enfance que les enfants » (p.7), mais, l’éducation doit être sévère : « (elle) n’est que le dernier cas du dressage » (p.59). Par ailleurs, quelle condescendance, quelle suffisance envers les plus démunis : « Un petit pauvre regarde avec une sorte d’étonnement et d’indépendance la misère de ses parents, qui n’est pas encore la sienne [sic !]» (p.44). Quel détachement du petit malheureux sur son sort : il est vrai que la religion est là, qui lui promet un bel avenir post-mortem. Surtout, pas de révolte, car, « rien de plus sinistre qu’un polisson gouailleur (…), c’est pourquoi le type de Gavroche est si repoussant » (p.41). Rien que çà. Autobiographie ? : « Un petit garçon de quatre ans jouait souvent avec une jeune fille, qui le maniait comme une poupée (…). Moi aussi, dit-il, quand je serai une jeune fille comme toi. – Mais, mon chéri, répondit-elle, tu ne seras jamais une jeune fille. Il faillit pleurer » (p.45). Dépit. Il faudra choisir, drame freudien / cornélien, attirance/répulsion : « Les enfants excellent à manier les grandes personnes (…) Dans ces manèges, l’adresse des deux sexes n’est pas égale (…) [Les garçons] sont plus simples, plus rudes (…) Les petites filles sont des femmes dès leur naissance, et les premières armes de ces innocentes sont celles des courtisanes » (p.63). Malgré tout, le Bonnard poète jaillit in fine : « Les enfants sont l’illusion de l’espèce, comme le printemps est l’illusion de l’année » (p.70)‎

Reference : G425

‎ Abel BONNARD (Poitiers, 1883-Madrid, 1968) était plus italien que corse, dit-on, par son père biologique, le comte Joseph, Napoléon, dit « Gégé », PRIMOLI, « homme du monde », descendant de Joseph et Lucien BONAPARTE, rien que ça. Le poète sera promu Ministre de l’Education Nationale, en avril 42. Il avait toutes les qualités requises pour exercer cette haute fonction, comme en témoigne sa profession de foi sur l’Education : « Il n’est pas bon de répandre aveuglément l’instruction » ; elle doit être réservée à une élite (note 3). Et, pour enfoncer le clou, « L’instruction n’est bonne, ni pour les femmes, ni pour le peuple » ; surtout pour les femmes du peuple…. Pour lui, la diffusion de l’instruction [est] responsable de « l’abject érotisme répandu (…) dans ces derniers temps », mélange de polissonnerie du XVIII° siècle et de « lourde sensualité juive » (note 4). Il restera ministre jusque dans le dernier carré, à Sigmaringen, avant de passer en Espagne; condamné à mort par contumace, il sera quasiment blanchi en 1960, sa peine étant commuée en dix ans de bannissement (date d’effet : 1945) : en conséquence, il était en droit de demander réparation à la République ; mais n’acceptant pas cette flétrissure morale, il retourne chez Franco ; il trépassera à Madrid, parfaitement oublié. Pas tout à fait : ses nombreux surnoms ont surnagé au désastre : « Abetz Bonnard », « La belle Bonnard », l’élégant « Abel Connard » et surtout « Gestapette » (note 5), en raison de ses affinités électives et sexuelles. Sur le Web, comme d’habitude, on trouvera tout et son contraire, pile ou face, endroit et envers (note 6) : aujourd’hui, les gays revendiquent ses mœurs (note 7), les moralisateurs nostalgiques de la Révolution Nationale insistent lourdement sur ses fréquentations… exclusivement féminines (note 8). En ce qui concerne l’inventeur du terme « Gestapette », c’est la foire d’empoigne : ne prêtant qu’aux riches, c’est tout d’abord attribué au Maréchal en personne, le quel n’aimait pas les « tapettes » ; à Londres, ce serait Pierre Dac : improbables tous les deux. On ne trouve trace de ce « mot » chez les praticiens de l’humour vache, Henri Jeanson et Galtier-Boissière, les références données à leurs écrits étant fausses, « Le Canard enchaîné » et « Le Crapouillot » ayant cessé de paraître dès 1939. Peut-être s’agit-il d’une boutade lancée, microphone fermé, par un quelconque cacique dans une école de la Collaboration, devant un béat parterre de veaux quiets, diffusée de façon illégale dans les réseaux « amis », avant de passer dans ceux de la Résistance ; procédé malhonnête et très contestable, qui, bien sûr, ne pourrait pas se reproduire aujourd’hui. ADDENDUM LES « SECRETS » DE LA NAISSANCE D’ABEL BONNARD Presque toutes les plumes de la littérature historique s’accordent pour affirmer qu’Abel, par l’intermédiaire de son père biologique, descendait de la famille Bonaparte ; avec des variantes : fils naturel « d’un Bonaparte » (chire.com), d’un des frères de Napoléon « Joseph » (medias.presse.info, Rey Cabietes, Yves Morel) ; Lucien est rarement cité (note 9). Quelques rares fausses notes dans cette quasi unanimité : la « paternité » du bonhomme, lointain bâtard de l’Empire et de la Papauté, est aujourd’hui remise en cause par Amado M. Rey Cabieses (note 10) : « Giuseppe Primoli falleciό solterio (…) Existe una idea segùn laqual G.P., de sus amores con Marie-Pauline Benielli, casada con E.A.E. Bonnard (…) habria tenido un hijo, Abel Bonnard (…) Usό [SIC!] el pseudόnimo de Gestapette. Sin embargo, otras fuentes aseguran que Bonnard era simplemente amigo de Premoli ». [ souligné par nous] (note 11) Qu’en est-il réellement ? La fille de Joseph, Zénaïde Bonaparte (1801-1854) avait épousé son cousin germain, Charles Lucien Bonaparte (1803-1857), fils de Lucien. Parmi leurs rejetons viables, la Princesse Charlotte (1832- 1901) épousa le Comte Pietro PRIMOLI di FOGLIA (1821-1883), Officier de la Maison Pontificale. Après le décès d’un de leurs fils, en 1882, suivi de près par la perte de son mari (1883), Carlita dut être internée à Paris, dans le service du Docteur Blanche, psychiatre renommé, qui ne put la guérir : consanguinité quand tu nous tiens… La suite : Joseph, Napoléon Primoli, l’autre fils engendra Abel, de sa liaison avec Pauline Benielli « qui ne pouvant l’épouser, se résolut à un mariage de raison » (Yves Morel) (note 12) ; le Prince n’épousa pas la bergère. Personnellement, j’ai un penchant, une inclination pour la prime au lit conjugal…‎

‎ FAKE HISTORY Cette histoire n’est qu’un conte, une histoire à dormir debout. Les historiens se sont fourvoyés, volontairement ou non : une ascendance noble, fut-elle impériale et illégitime, flatte l’orgueil du bourgeois. Seulement voilà : comme la terre, l’État Civil ne ment pas, …au moins sur les dates. On trouvera dans les Archives de la Corse du Sud, l’acte de mariage de Pauline Benielli et Ernest Bonnard, dans celles de la Vienne, l’acte de naissance d’Abel : le premier en date du 10/02/1880 (note 13), le second, en date du 19/12//1883 (note 14). Que la gestation fut longue ! Et on comprend mieux l’attachement d’Abel à sa maman ! Elle mourra dans la villégiature pétainiste de Sigmaringen en 1945. Mais il a encore mieux : Abel n’était pas fils unique, avant lui étaient nés un frère et une sœur, décédés tous deux en bas âge (note 15). ================= ‎


‎Note 3- Abel Bonnard : Pour l’élite intellectuelle, dans la Revue hebdomadaire, t.7, 07/07/1936, p.248). Note 4- cité d’après B. Pénicaud et Vincent Vidal-Naquet : Les révolutions de l’Amour (etc.). Note 5- aujourd’hui remis à la mode par nos chères politiques, NKM à propos de Patrick Buisson, la Marine au sujet du beau Florian… [en 2017…] Note 6- cf. Pierre Dac, qui à Radio Londres, fustigeait le ministre : dans son parti, « l’envers vaut l’endroit ») Note 7- hexagonegay.com précise qu’à l’époque, « les lieux de rencontre homos parisiens (cinémas et vespasiennes) connaiss[ai]ent bien sa silhouette » ; en revanche, il déplore que « Je Suis Partout » ni la presse d’extrême- droite, si prompts à dénoncer l’homosexualité (…) n’ont fait état de l’homosexualité de Bonnard ». Note 8- pour present.fr/tag/abel-bonnard/ : « La belle Bonnard… Gestapette… Yves Morel le sait : immanquablement, ce sont les plaisanteries qui fuseront de la bouche des sots si vous jetez le nom d’A.B. dans une conversation (même universitaire). Et pourtant, voilà une personnalité plus complexe que sa mauvaise renommée : on ne lui connaît que des liaisons féminines ». Sans rire ! Note 9- Buisson (Patrick) : 1940-1945. Années érotiques (Paris, Albin Michel, 2009.2 volumes. « Abel Bonnard, le scandaleux » (t. I, p.263 et suiv.) nous apprend que « son vrai père est un aristocrate italien, J.N. Primoli, descendant de Lucien Bonaparte, qui séduisit sa mère, Marie-Paule [sic !] Benielli, peu de temps avant son mariage [re-sic !!]». Note 10- Descendia de José Bonaparte, Rey de Espana y de las Indias, y sus entronques i talianos y franceses (Anales de la Real Academia Matritense de Heràldica y Genealogia, vol.XII, 2009, pp. 143-327). Note 11- Pasquali, Costanza : Proust, Primoli. La Moda. Otto lettere inedite di Proust e tre saggi. Roma, Ed. di Storia et litteratura, 1961, p.32. Note 12- Yves Morel ( Abel Bonnard. Coll. Qui suis-je ? Editions Pardès, 2017) : « Ne pouvant épouser le père de son enfant, Pauline Benielli se résolut à un mariage de raison avec Ernest Bonnard (…) qui reconnut Abel et lui donna son nom », qui complète bien la formule de P. Buisson (note 9). Note 13- Archives Départementales de Corse du Sud Ajaccio, Mariages, 1880 (f° 55-56/159) Note 14- Archives Départementales de la Vienne, Naissances, 1883 (9 E, p. 251), avec cette note marginale manuscrite : « Décédé à Madrid (Espagne) le 31 mars 1968 ». Confirmation de sa naissance, post mortem. Note 15- Abel- Jean- Désiré (A) aux prénoms identiques et Fanny-Françoise-Justine (B) (A) Melun, avril 1881- Poitiers, 26/06/1883. A.D. de la Vienne , Décès 1883, n°490, f° 147/278 (B) AD de la Vienne, Poitiers, 08/07/1885 [Naissances 1885, n°438, f°121/250]- 12/05/1886 [Décès 1886, n°370, f° 102/259. « Nom de la mère : Pauline Bennieni »] !! Aujourd’hui, (08/2022), que l’on consulte Wikipédia, ou des sites dits sérieux ( ?) de généalogie (geneanet, geneastar), la fausse généalogie prospère. Une lueur d’espoir : la généalogie d’Ernest Bonnard, le père « nourricier »… Patatras ! Si le frère aîné Abel (1881-1883) est bien mentionné, on trouve immédiatement après un « demi-frère Abel, etc.). Errare humanum est, perseverare diabolicum. ‎

Roland Gautier - Jurançon

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EUR18.00 (€18.00 )

‎LALLY-TOLLENDAL (Trophime Gérard, comte de).‎

Reference : 9559

‎Mémoire Produit au Conseil d'État du Roi, par Trophime-Gérard, Comte de Lally-Tolendal, Capitaine de Cavalerie au Régiment des Cuirassiers, dans l'Instance en cassation de l'Arrêt du 6 Mai 1766, qui a condamné à mort le feu Comte de Lally son père, Lieutenant Général des Armées du Roi, &c. Et signifié pour Défense A Monsieur le Procureur Général du Parlement de Normandie, dans l'Instance renvoyée en cette Cour par l'Arrêt du Conseil, qui a prononcé la cassation ; à la requête dudit Comte de Lally-Tolendal, nommé Curateur à la mémoire de son Père, par l'Arrêt de la Cour du 21 Décembre 1778.‎

‎ Rouen, Veuve Besongne & Fils, 1779 ; in-4. 1f.-343pp.-6pp. (explications des plans)-3 grands plans dépliants coloriés- 2ff. (table des matières, manuscrite). Plein veau fauve, dos à nerfs orné, pièces de titre et de tomaison rouges, encadrement de filets dorés sur les plats, avec au centre les armes épiscopales d'Arthur-Richard DILLON, évêque d'Evreux, puis de Toulouse, et de Narbonne en 1762 (d'argent au lion léopardé de gueules accompagné de 3 croissants de même. O. H. R., pl 1913). Filets dorés sur les coupes, roulettes dorées sur les chasses, tranches dorées. Des frottements sur les plats et les coins, charnière du plat sup. fendue sur 10 cm. ‎


‎Première partie seule, (tomée 1 au dos), avec les beaux plans entièrement coloriés de Fort Saint-David et de ses attaques, de Madras, et de Pondichéry et de ses environs (en 1758-1760). Thomas Arthur, baron de Tollendal, comte de Lally, glorieux militaire et protégé de Madame de Pompadour, se voit nommé, en 1756, Commissaire du roi, syndic de la compagnie des Indes et commandant général de tous les établissements français aux Indes orientales, en remplacement de Dupleix. Mais Lally-Tollendal n'était pas un diplomate aguerri, et ne possédait aucune connaissance sur l'Inde. Malgré une farouche résistance contre les Anglais (bien que manquant de moyens humains et pécuniers) il capitule à Pondichéry en 1761. Arrêté, il est envoyé en Angleterre et obtient de rentrer en France pour se défendre des accusations de lâcheté, de trahison et de corruption formulées à son encontre. Son extrême autoritarisme, les relations difficiles qu'il entretenait avec ses subalternes et le besoin de la monarchie de trouver un bouc émissaire à la déconfiture des colonies indiennes, le firent condamner par le Parlement de Paris, sans qu'il soit entendu, à être décapité. Il eut la tête tranchée en place de Grève le 3 mais 1766. Son fils légitimé, Gérard de Lally-Tollendal, soutenu par Voltaire, entreprit de faire réhabiliter son père ; il obtint du roi la cassation du jugement du Parlement et le renvoi de l'affaire devant les Parlements de Rouen et de Dijon. Il est lavé du crime de haute trahison, mais le procès s'arrête avec la dissolution du Parlement à la Révolution. Ce mémoire comporte 3 parties ; la première présentée ici est la plus intéressante, car Gérard de Lally-Tollendal expose les faits depuis le départ de France de son père, jusqu'à son retour à Paris après sa captivité à Londres : "Mon père n'a pas été coupable" : Abrégé des services de son père en Europe - La guerre de l'Inde, la mission et les projets de son père, le départ de France et l'arrivée à Pondichéry - Les expéditions de Goudelour, Saint-David et Divicottey - Le projet d'expédition sur Madras, l'opposition de l'escadre, l'expédition sur Tanjaour - Nouveau refus de l'escadre d'une expédition sur Madras. L'expédition d'Arcate - Abus, prévarications, désordres dans Pondichéry. Inimitiés, cabales, refus de tous secours - Siège de Mzulipatam par les Anglais - Traités infructueux, trahison et détresse. - Les nouveaux ordres de la cour. Déchainement universel contre son père. - Sédition, disettes, intrigues des jésuites. - Le blocus des Anglais, la révolte dans Pondichéry. - La reddition de Pondichéry, la cruauté des Anglais envers son père - Son retour en Europe, son arrivée en France et les manuvres de ses ennemis. Les vraies causes de la perte de l'Inde. Les deux parties suivantes concernent le procès. ‎

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