‎PIGAULT-LEBRUN‎
‎THEODORE‎

‎Didier & Méricant. Non daté. In-16. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos frotté, Quelques rousseurs. 112 pages. Illustré de gravures en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 843-Littérature populaire‎

Reference : RO60028585


‎Nouvelle collection illustrée. Classification Dewey : 843-Littérature populaire‎

€19.80 (€19.80 )
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5 book(s) with the same title

‎MOLIÈRE:‎

Reference : 17945

‎Les Fourberies de Scapin, avec 28 dessins de Théodore Strawinsky.‎

‎ Guy Lévis Mano, 1935. Broché, couverture ivoire imprimée et rempliée à trois côtés, non coupé. 24,3 x 17 cm. ‎


‎Illustré de vingt-neuf dessins de Théodore Strawinsky reproduits au trait. Tirage à 500 exemplaires, n°487 des 490 sur vélin. [77]. ‎

Phone number : +4122 310 20 50

CHF30.00 (€30.70 )

‎MAROT Clément; BEZE Théodore:‎

Reference : 8338

‎Le Nouveau Testament, c'est à dire, la Nouvelle Alliance de nostre Seigneur Jesus Christ. [suivi de ] Les Pseaumes de David, mis en rime Françoise, par Clément Marot, et Théodore de Bèze.‎

‎Charenton, P. Des-Hayes et A. Cellier, 1656. 2 tomes en un volume in-16, une page de titre gravée, et [488] pages pour le nouveau testament : A-I6, K-T6,V6, X6-Z6, Aa-Ii6, Kk-Rr6, Ss4; et [292] pages pour les pseaumes: a2, A-I6, K-T6, V2, a-c6, d-e4, f2. Plein veau moucheté, dos muet à nerfs richement orné de filets et fleurons dorés, roulette à froid sur les coupes, tranches dorées. Mini manque au coin de la coiffe de queue, et un coin un soupçon frotté. ‎


‎Outre le titre gravé, chaque page de titre est décorée d'une petite vignette (même sujet mais pas même gravure). Bel exemplaire bien établi, avec le texte réglé imprimé sur deux colonnes. Édition à l'usage des Réformés, vendue à Charenton où les Protestants avaient un temple important. L'édit de Nantes de 1598 interdit à la construction tout temple protestant à moins de cinq lieues de Paris. En conséquence, le premier temple de Paris fut construit à l'est, à Charenton (sur le territoire de l'actuelle commune de Saint-Maurice), en 1607, par l'architecte Jacques II Androuet du Cerceau. Ce premier temple est détruit par un incendie en 1621. Un deuxième temple sera construit en 1623 par Salomon de Brosse et Jean Thiriot; il sera rasé en 1685 après la révocation de l'édit de Nantes. (wiki). ‎

Phone number : +4122 310 20 50

CHF1,000.00 (€1,023.50 )

‎[GRENUS François Théodore Louis Grenus, baron de]:‎

Reference : 13154

‎Notices biographiques sur Jacques, Théodore, Pierre, Gabriel et Jean-Louis Grenus, successivement citoyens de Genève des 1620 à 1782. Accompagnées d'anciennes anecdotes somptuaires et de matériaux inédits relatifs aux troubles politiques de 1737 et à Jean Jacques Rousseau, etc.‎

‎Genève, chez Joel Cherbuliez, 1849. In-8 broché de XX-XII-301-[3] pages, sous couverture d'attente bleue, muette. ‎


‎Dessin exact de la médaille honorifique au baron de Grenus, décrétée par le Conseil administratif de Genève en mai 1847. Edition originale [Geisendorf 2954]. Quelques rousseurs. ‎

Phone number : +4122 310 20 50

CHF70.00 (€71.64 )

‎BOST (Théodore) et Sophie BONJOUR.‎

Reference : 101258

(1977)

‎Les derniers puritains, pionniers d'Amérique. Lettres de Théodore Bost et Sophie Bonjour, 1851-1920, présentées par Charles Marc Bost.‎

‎ Hachette, 1977, fort in-8°, 439 pp, préface d'Yves Berger, 12 pl. de photos hors texte, broché, couv. illustrée à rabats, bon état‎


‎1851- Théodore Bost, Suisse francophone et de père français, quitte son pays natal. Il a dix-sept ans et s'embarque pour l'Amérique. Il vivra là-bas jusqu'à sa mort, en 1920. Qu'allait-il donc chercher au Nouveau Monde ? Et avec lui les immigrants, par dizaines de milliers ? Les lettres qui composent ce livre le disent : « De l'ouvrage, du terrain et de la liberté. » L'Amérique ou le mythe de la terre promise... Longue, minutieuse chronique de la vie quotidienne, pleine de soucis d'argent, de spéculations sur les récoltes à venir, de voeux rarement accomplis, d'espoirs si souvent fauchés, ces lettres racontent l'acharné combat, jamais gagné, toujours recommencé, mille fois perdu, que les pionniers livrent à la nature... — "Les lettres de Théodore Bost et Sophie Bonjour illustrent bien la vie des pionniers au milieu du XIXe siecle. Leur intérêt tient d'abord à la durée inaccoutumée de cette correspondance (1851-1920) dont seuls sont publiés des extraits. Elle tient aussi au caractère des deux personnages, lui, le dixième enfant d'une famille de onze, fils de pasteur contestataire rejeté par sa congrégation, condamné à une errance qui va le mener à travers la Suisse et la France jusqu'à un petit village de Dordogne, elle, aussi, d'ascendance suisse et protestante. L'itinéraire de Théodore et de Sophie les conduit de New York dans le Minnesota, puis en Californie, ou ils meurent, lui à 86 ans en 1920, elle à 87 ans en 1922. Que de choses ils ont vues, qu'ils racontent dans leurs lettres : la guerre de Secession, les guerres indiennes, la mise en valeur du Middle West, la Grande Guerre. De bons textes de liaison et des notes rendent la lecture de cette correspondance facile et agréable." (Claude Fohlen, Revue Historique) — "Le 26 février 1851, à Serrières, près de Neuchâtel, en Suisse, Théodore Bost, prend la diligence pour Genève. Le 20 avril suivant, il débarque à New York. Il a dix-sept ans. Théodore est le dixième des onze enfants d’un pasteur suisse d’origine française. A treize ans, malade, il a dû quitter l’école pour aller travailler dans des fermes. C’est alors qu’il a formé comme des centaines de milliers d’Européens de l’époque, le projet d’aller défricher des terres en Amérique. Du jour de son arrivée à New York jusqu’à celui de sa mort, survenue en 1920, en bon fils, bon frère et bon cousin qu’il est, Théodore écrira plusieurs fois par semaine aux membres de sa famille. Ses lettres et celles de sa femme, Sophie Bonjour, qu’il épouse en 1858, ont été retrouvées, classées, annotées, présentées par Charles Marc Bost, son petit-neveu (...). Un document unique et passionnant." (Le Nouvel Observateur, 1er août 1977) — "Le pasteur Ami Bost (1790-1874), d'une famille du Dauphiné réfugiée à Genève, joua un rôle important dans le Réveil en France. Il eut dix fils, dont six furent pasteurs, et une fille. Parmi ces enfants, John Bost, fut le fondateur des asiles de La Force et le dixième, Théodore Bost (1834-1920) s'établit en Amérique comme fermier. C'est de sa correspondance que sont extraites les lettres publiées ici par son petit-neveu, Charles-Marc Bost, fils du pasteur Charles Bost, historien du protestantisme. Ces lettres écrites par un jeune homme très religieux, montrent un aspect inhabituel de l'Amérique des années 1850. Parti dans le nouveau monde en 1851, à l'âge de 17 ans, Théodore a d'abord quelques occupations de courte durée : il travaille dans une ferme ; il enseigne ensuite le français dans une mission baptiste au Canada, puis sous forme de cours particuliers dans le Vermont. Il colporte des livres religieux pendant quelques mois et il part pour l'Ouest en 1855. Après avoir travaillé à la construction d'une route, sans pratiquement se faire payer, puis avoir été employé d'un marchand de bois, il achète pour 300 dollars un « claim » (c'est-à-dire un terrain non défriché, qui n'a pas encore été vendu par le gouvernement) avec de l'argent prêté par ses parents, dans le Minnesota. Alors commence la partie la plus étonnante de ce récit, racontant la vie, rarement décrite, du défricheur. Il mène une vie incroyablement dure, lors des premiers hivers, mais bénéficie de l'aide de ses voisins. Peu à peu il met en culture une partie de ses 160 acres. Naturalisé américain en 1856, il paye 200 dollars et devient réellement propriétaire de sa ferme en 1857. Depuis 1856, il correspondait avec Sophie Bonjour, avec qui il souhaitait se marier. Celle-ci arriva en Amérique en 1858, et le mariage put enfin être célébré. Théodore et Sophie continuent à mettre en valeur le domaine, défrichant, améliorant la maison d'habitation, élevant un petit troupeau de bovins. Ils subissent les aléas de l'agriculture, victimes de calamités naturelles ou des fluctuations de cours des produits agricoles, et sont à plusieurs reprises aidés par des prêts de la famille Bost. Ils jettent un regard critique sur l'Amérique, se plaignent de la dureté générale des habitants, bien qu'ils aient vécu au milieu d'un petit groupe de chrétiens dont ils étaient les piliers. Anti-esclavagistes de toujours, ils applaudissent au début de la guerre de Sécession, puis s'indignent de la conduite de certains politiciens du Nord. Ils décrivent sans sympathie la révolte des indiens, rapidement réprimée, en 1863. Cette même année, les Bost construisent une nouvelle maison, plus confortable, sur leur domaine. La mauvaise santé de Théodore l'incite à abandonner les gros travaux de la terre, et il développe la plantation d'arbres fruitiers, et se lance dans l'apiculture, ayant 57 ruches en 1867 et jusqu'à 90 en 1872. En 1870, il était retourné en Europe pour soigner sa santé et voir sa famille, ce que bien peu d'émigrants ont pu accomplir. En 1874, il devient marchand à Excelsior, puis vend sa ferme ; mais il ne peut s'adapter à cette nouvelle condition et retourne sur une autre ferme qu'il achète près de l'ancienne en 1877. A partir de ce moment, les lettres s'espacent de plus en plus. En 1887, les Bost s'installent en Californie, d'abord comme fermiers, puis retraités, auprès de leurs nombreux enfants et petits-enfants. Lors de l'affaire Dreyfus, Théodore se montre favorable au capitaine ; pendant la première guerre mondiale, il décrit l'évolution de l'opinion américaine, et, s'enthousiasme lors de l'entrée en guerre des Etats-Unis. Sa dernière lettre est d'avril 1920, deux mois avant sa mort à quatre-vingt-six ans. Sophie lui survivra deux ans. L'intérêt de ces lettres réside dans ce que leurs auteurs avaient une plus grande cuture que la plupart des pionniers, et qu'ils décrivent le développement de l'Amérique avec leurs yeux d'Européens, faisant parfois preuve d'un certain humour pour décrire leurs difficultés. Ils n'ont jamais été parfaitement intégrés à ce pays où la dureté et l'égoïsme étaient la loi générale, ce qui était trop contraire à leurs convictions chrétiennes. Certes, ils n'ont pas fait fortune, et ne sont pas devenus de ces riches « cousins d'Amérique » que l'on imagine généralement, mais le récit de leur lutte de tous les jours ne manque pas de grandeur. Il présente certainement un aspect plus caractéristique de la vie américaine au XIXe siècle que lés images traditionnelles de cow-boys ou de millionnaires." (J. Thierry du Pasquier, Bulletin de la Société de l'Histoire du Protestantisme Français, 1978) ‎

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Phone number : 01 43 54 43 61

EUR25.00 (€25.00 )

‎[Cavalière] - ‎ ‎[Revue] KOENIG Théodore‎

Reference : 007160

(1969)

‎Phantomas 86. Théodore Koenig‎

‎Bruxelles Directeur Théodore Koenig 1969 In-8 agrafé, couverture illustrée Edition originale ‎


‎16e année, juin 1969. Texte de Théodore Koenig : Poèmes restreints et proses concises. Illustrations de Ailk Cavalière Très bon exemplaire 0‎

Phone number : 01 42 66 38 10

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