‎HAUSMANN Manfred‎
‎MARTIN‎

‎C.Bertelsmann. 1957. In-12. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 77 pages illustrées en noir et blanc dans et hors texte. Ouvrage en allemand.. . . . Classification Dewey : 430-Langues germaniques. Allemand‎

Reference : RO60015672


‎ Classification Dewey : 430-Langues germaniques. Allemand‎

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‎[MANUSCRIT]. ‎

Reference : 234902

‎Journal des voyages et campagnes de 1792. 93 an 2me, 3e, 4me, 5e, 6e, 7e, 8e et 9me de la République française.. Par A. Martin, officier à la 9me demi-brigade de ligne, ci-devant 1er Régiment d'infanterie‎

‎S.l., s.d. (1803) in-8, 179 ff. partiellement chiffrées, couverts d'une écriture moyenne, soignée et très lisible (environ 25 lignes par page), avec une figure aquarellée à pleine page (la boussole), le feuillet 9 manque, vélin rigide à rabat inférieur, dos lisse (reliure de l'époque). Manque de cuir en coiffe inférieure, exemplaire déboîté.‎


‎Un exceptionnel témoignage sur l'expédition d'Égypte.L'explicit de ce très intéressant manuscrit nous éclaire un peu sur sa genèse : "J'obtins une permission de trois mois pour venir chez ma mère à Chauvirey-le-Châtel, département de la Haute-Saône, et où je déposai le présent journal, qui contient l'exacte vérité de ce que j'ai vu depuis ma première sortie de la maison paternel [sic] et pendant toutes les campagnes de la Révolution. Je demande l'indulgence du lecteur et lui expose que je n'ai fait aucune étude". Cette dernière affirmation est à relativiser : l'auteur écrit très correctement, et commet peu de bourdes orthographiques, à la différence de nombre d'officiers plus gradés que lui à la même époque. Sinon, l'aspect très net du texte, qui ne comporte ni rature ni biffure plaide en faveur de la mise au net de carnets qui ont dû subir intempéries et aléas des campagnes ; ce, d'autant que la seconde partie comporte plusieurs copies de proclamations des généraux en chef de l'Armée d'Orient, qui ont dû figurer dans la documentation de Martin sous forme imprimée.A. Martin est originaire de Vitry (Haute-Saône) [Vitry-lès-Cluny], et un de ses frères servait déjà dans l'armée depuis huit ans comme fourrier quand le jeune homme décida de s'engager le 26 février 1792 pour le premier régiment d'infanterie [ancien Régiment Colonel-général], deuxième bataillon, alors stationné à Dunkerque, et où son frère était engagé. Un paraphe sur les dernières gardes du volume, comportant "André. An X" suggère que son prénom était André. Ni Tulard, ni Meulenaere ne signalent une édition de cette relation ; les catalogues de bibliothèques ne semblent pas posséder de copie manuscrite de notre texte.Cette relation est extrêmement structurée, par campagnes, et, à l'intérieur de celles-ci, par éphémérides. Elle se concentre, du moins pour la première partie, uniquement sur les aspects militaires globaux, vus d'en bas, et sans détails superflus, avec même une discrétion peu habituelle sur la carrière et les activités de l'auteur. Pour la commodité, on peut la diviser en deux parties principales.I. De 1792 au 17 Floréal an VI [6 mai 1798], date de l'ordre d'embarquement pour l'Égypte depuis Marseille.1. Campagne de 1792 (ff. 4-8). Le régiment participa au Combat de Quiévrain (29 & 30 avril), qui fut un échec face aux troupes impériales, et aux batailles de Valmy et de Jemappes (non relatées ici).2. Campagne de 1793 (ff. 10-17). Elle se déroule entièrement dans les Pays-Bas autrichiens, avec des pointes aux Provinces-Unies, et le récit se termine par la "trahison" du général Houchard, avant le passage au calendrier révolutionnaire.3. Campagne de l'an II (ff. 18-24r). Elle est marquée par la prise d'Ypres, le siège de Nieuport, un curieux projet de regroupement de 30 000 hommes à Dunkerque pour effectuer un débarquement en Irlande.4. Campagne de l'an III (ff. 24v-29r). Elle se déroule pour la demi-brigade (deuxième demi-brigade de ligne à partir de Germinal an III) entièrement dans les Provinces-Unies, depuis Clèves (prussienne) : Utrecht, Wageningen, Deventer, Enschede, Zutphen), jusqu'à la formation de la République batave. En messidor, cantonnement à Aix-la-Chapelle.5. Campagne de l'an IV (ff. 29v-37r). Le 24 Pluviôse [13 février 1796], Martin fut nommé sergent-major. Cette année est entièrement occupée par les opérations en Allemagne contre les Impériaux : bataille de Sulzbach (19 août 1796), bataille de Wesburg.6. Campagne de l'an V (ff. 37v-41). Traversée du Rhin à Cologne, puis cantonnement d'hiver en Palatinat (Kaiserslautern, Kircheimbolanden, Neusatdt, Landau), puis en Alsace et en Franche-Comté. La demi-brigade est affectée à l'armée d'Italie, et parvient à Milan le 30 Pluviôse [18 février 1797]. L'itinéraire la conduit ensuite par Brescia, Peschiera, Mantoue, Crémone. Le 26 Messidor [14 juillet 1798], première mention du général Bonaparte : "Nous célébrâmes à Milan la fête des Victoires et nous reçûmes du général en chef Bonaparte nos nouveaux drapeaux". En fin d'année, garnison à Alexandrie.7. Campagne de l'an VI (ff. 42-60). La demi-brigade est détachée en Provence, pour y rétablir l'ordre dans certaines localités : itinéraire par Nice, Toulon, Marseille, Brignoles, avec de ci de là quelques anecdotes locales : "Nous logeâmes à Aubagne, petite ville ; quelque tems auparavant [elle] avoit eu l'effronterie de brûler Bonaparte en effigie. La municipalité fut au devant du général Lanne pour le féliciter, mais fut très mal reçue, les trois quarts de ses habitans avoient pris la fuite dans les montagnes à notre approche". Après la signature des préliminaires de paix, l'unité demeure en Italie comme troupe auxiliaire de la République ligurienne, formée du territoire de l'ancienne République de Gênes. Puis elle est réaffectée en France, avec garnison à Marseille, pour une brève période, car "notre demi-brigade faisoit partie des troupes qui devoient embarquer pour l'expédition secrette". En effet, à partir du f. 45 et jusqu'à la fin du texte, tout le récit est occupé par l'Expédition d'Égypte. Ce n'est pas seulement l'objet qui change, mais aussi la manière : aux notations souvent sèches et lacunaires de la première partie, succèdent des narrations plus détaillées et circonstanciées ; on devine que cette expédition fut la grande affaire de la vie militaire de Martin.II. L'Expédition d'Égypte (ff. 45-177).La relation est extrêmement détaillée, depuis l'embarquement à Marseille, et Martin cultive enfin le détail, non seulement des opérations, mais aussi des monuments aperçus, et des particularités des populations des pays traversés, se faisant comiquement apprenti ethnologue. Voici par exemple son passage sur les nomades du désert : "Les Bédoins sont des Arabes qui habitent les déserts de l'Affrique et de Syrie. Ils ne vivent que de meurtre et de brigandages, outre qu'ils sont bien armés et montés sur des chevaux d'une vitesse incroyable ; ils s'assemblent en assez grand nombre, puis se mettent en course, pillent les caravaniers, mettent les villages à contribution, et enfin ruinent le malheureux pays qu'ils parcourent. Quoique les femmes ne soient pas l'objet de leur affection, ils attachent un grand prix à leur beauté ; ce peuple ne fait point usage de vin, ni d'autres liqueurs fortes, il est musulman. Sa passion favorite est ce crime qui, outrageant la nature, provoqua autrefois contre Sodome la vengeance céleste. Plusieurs malheureux soldats tombés en leur pouvoir après avoir été victimes de cette infâme passion, périrent de la main de ces barbares." Qu'en termes choisis cela est dit. De temps à autre, un excursus plus développé se veut une description globale du pays, comme cette partie intitulée "Quelques observations sur l'Égypte, sa situation, sa manierre d'être gouvernée, sa fertilité, &c.", qui occupe les ff. 57-58, et reprend au demeurant des passages de Volney. Enfin, à l'occasion du début du Ramadan correspondant au 1er Nivôse an IX [22 décembre 1800], on a droit à un long excursus sur l'Islam (ff. 145-150), qui fait la part belle à tout ce qui est le plus superficiel, et où la célèbre anecdote du chat de Mahomet l'emporte en longueur sur les principes de la religion.Sinon, le déroulement des opérations est suivi avec une précision qui n'exclut pas le lyrisme, totalement absent de la première partie : on lira dans cette perspective, par exemple, le récit de la bataille de Chébréis du 25 Messidor an VI [13 juillet 1798] (ff. 53-54). L'essentiel du texte tourne évidemment autour de l'aspect militaire de l'expédition, et peu d'épisodes ne sont pas rapportés, depuis la défaite mamelouke initiale, en passant par l'expédition de Syrie (prise de Jaffa, le siège d'Acre avec ses 8 assauts), la bataille d'Aboukir, jusqu'au départ de Bonaparte pour la France, fort laconiquement signalé : "Lorsqu'en arrivant à la Coubée, nous apprîmes que le général en chef Bonaparte, avec tout son état-major, et plusieurs généraux, s'étoit embarqué le 5 courrant pour la France, que les nouvelles peu satisfaisantes qu'il avoit reçues l'avoient déterminé à faire ce voyage, cette nouvelle nous fut d'autant plus sensible que les soldats furent de suitte comme abattus de tristesse".Le reste de l'expédition se déroule sous le commandement de Kléber, puis Menou, et est dominée par les difficiles négociations engagées avec les Anglais pour l'inévitable évacuation de l'Égypte, le refus de la Convention d'El-Arich par le cabinet britannique, la bataille d'Héliopolis, l'insurrection du Caire et l'assassinat de Kléber. C'est au cours de cette dernière période que Martin fut nommé enfin sous-lieutenant le 9 Pluviôse an VIII [29 janvier 1800]. Les funérailles de Kléber sont décrites avec un luxe de détails impressionnant, puis tout tourne autour de l'encerclement par les armées ottomanes et anglaise, des négociations pour l'évacuation (les articles de la convention sont d'ailleurs intégralement reproduits) et du retour en Europe par Marseille. Les derniers feuillets relatent les étapes de la réinsertion de la demi-brigade dans la France du Consulat : affectation en Haute-Provence (Saint-Maximin) sous forme de petits postes détachés pour réduire le brigandage endémique et très mobile qui sévissait dans la région ; casernement à Montpellier ; révolte de Sète ; enfin, réorganisation de l'unité qui ne devait plus compter que trois bataillons : effectuée à Nîmes, elle aboutit à la réforme de 15 officiers et à l'affectation à Autun. Martin pour sa part fut affecté au 3me bataillon. Il obtint le 1er Nivôse an XI [22 décembre 1802] une permission de trois mois, qu'il alla passer chez sa mère à Chauvirey. Ici s'interrompt le manuscrit du sieur Martin, sans que l'on sache à ce stade (cf. infra) la suite de sa carrière militaire. Il est à supposer que la mise au net de notre texte remonte à cette période de permission.ON JOINT : une autre version de la même relation, rédigée bien après le retour d'Égypte, passablement différente de la première, mais formée sur le même canevas. Elle se présente sous la forme d'un volume in-4 relié en plein vélin rigide, dos lisse muet, texte réglé et soigneusement écrit, se distribuant comme suit :1. Un premier ensemble de 133 pp., qui forme la mise au net de la première partie du texte précédent, à savoir depuis l'engagement de Martin en février 1792 jusqu'au 22 Messidor an VI [10 juillet 1798], soit le début de la campagne d'Égypte. Plus soignée, la rédaction est également plus complète, et contient des détails que l'on ne trouve pas dans la première ; par exemple, ce passage relatif à l'exécution de Louis XVI, absent de la rédaction initiale (par prudence ? par suite d'un changement d'opinion rétrospectif ?) : "Je ne sçai ce qu'a produit en France la mort ignominieuse de ce trop faible et vertueux Roi, mais les Belges chez qui nous étions en furent indignés : l'armée en parut surprise. Nous ne fûmes point trompés sur les suites que cela nous occasionnerait, et dès ce moment nous nous attendîmes à une guerre des plus terribles".2. Une suite de 107 ff. vierges, très probablement destinés à recevoir une nouvelle rédaction des événements de l'Expédition d'Égypte, mais qui ne put être réalisée pour des raisons inconnues.3. Un second ensemble paginé 347-431 et donnant la suite de la vie militaire de Martin depuis le 25 germinal an XI [15 avril 1803], soit la fin de sa permission de trois mois (cf. supra) jusqu'en février 1809. C'est ici que l'on peut connaître l'évolution de la carrière de l'auteur, ainsi que les campagnes auxquelles il participa de nouveau : départ pour les garnisons de Landau, Wissembourg, Lauterbourg ; formation d'un bataillon d'élite composé de trois compagnies de grenadiers et de trois compagnies de chasseurs, chacune de 100 hommes, qui fut envoyé à Arras ; participation au camp de Boulogne ; défense des côtes de Normandie et de Picardie contre les entreprises anglaises lors de la reprise des hostilités ; campagne d'Allemagne de 1805, avec un récit détaillé de la bataille des 10-11 Frimaire an XIV - 2 décembre 1805. Ceci dit, l'abondance de copies de proclamations et la relation de négociations diplomatiques auxquelles Martin ne put évidemment pas assister montrent à l'envi que le brave officier passe progressivement d'un journal personnel à une histoire de la période. On gagne ici en cohérence et en exposition ce que l'on perd en immédiateté et en spontanéité rédactionnelle.À partir de la page 407, on a affaire à une copie d'un autre auteur, et nous en sommes dûment avertis : "Ce que je vais raconter de ce qui se passa sur la fin de 1806 et dans le courant de 1807, n'est point écrit par l'auteur de cet ouvrage". Et, en fait, cette copie concerne toute la fin du texte jusqu'aux brèves notations de février 1809 (l'année 1808 ne fait l'objet d'aucune relation).4. Enfin, une suite de 67 ff. vierges, peut-être destinée à la rédaction d'une suite.Il est évident que Martin a voulu donner de ses souvenirs une rédaction soignée et définitive, peut-être destinée à être imprimée, et que ce second jet atteste un début de réalisation. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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EUR9,500.00 (€9,500.00 )

‎[Charles Martin] - ‎ ‎LA FONTAINE, Jean de | MARTIN, Charles (illustrateur) ‎

Reference : AMO-4515

(1930)

‎Les Contes et Nouvelles en vers de Jean de La Fontaine. Illustrés de soixante-quatre hors-texte par Charles Martin. ‎

‎Librairie de France, 110, Boulevard Saint-Germain, Paris, 1930 2 volumes grands in-4 (28,5 x 13 cm) brochés de (6)-XXI-249-(6) et (6)-361-(1) et (17) pages d'introduction signée André Fontainas. Avec 64 illustrations hors-texte de Charles Martin dont 32 rehaussées en couleurs au pochoir à l'aquarelle, les 32 autres étant en noir. Les aquarelles originales de l'artiste ont été reproduites par la photogravure (non interprétées donc). Couvertures imprimées en brun et bleu à rabats. Le texte est imprimé en noir avec encadrements, ornements et décors imprimés en bleu ciel. Exemplaire encore protégé par son papier cristal d'origine et dans son emboîtage spécial en papier bleu titré imprimé. Partiellement non coupé (presque entièrement). Petites amorces de fente du papier au dos du premier volume, sans aucune gravité. Beau papier d'Arches fort resté bien blanc sans rousseurs. Le tirage a été de 3.000 exemplaires. Celui-ci est un des 350 exemplaires sur papier d'Arches. Il a été tiré 15 ex. sur Japon, 50 ex. sur Hollande, 350 ex. sur Arches, 1500 ex. sur vélin pur fil Lafuma et 1500 ex. sur vélin d'alfa Navarre. Notre exemplaire porte le numéro CCCXVII. Notre exemplaire contient livré à part la suite des 15 eaux-fortes libres tirées à très petit nombre. Elles sont tirées en noir sur papier d'Arches également. Notre exemplaire contient livré à part la suite complète des 64 hors-texte (32 coloriés et 32 en noir). Enfin, notre exemplaire contient livré à part 8 aquarelles originales ayant servies à l'impression de l'ouvrage (dont une seule est signée et est l'aquarelle définitive ayant servie au clichage pour l'impression) et une esquisse d'une illustration de la suite libre. Soit un total de 9 oeuvres originales de l'artiste présentes avec cet exemplaire.‎


‎Inutile de revenir sur le texte des Contes et Nouvelles en vers de La Fontaine, paru pour la première fois entre 1665 et 1671 (sans illustrations) et pour la première fois illustré en 1685. Aquarelle originale monogrammée Aquarelle originale signée (définitive) ayant servi au clichage De nombreux artistes ont illustré ces Contes et Nouvelles en vers, toujours lestes ou grivois, avec ou sans l'inspiration délibérément érotique que chacun a pu y mettre depuis la première édition illustrée de 1685. Aquarelle originale monogrammée Les Contes et Nouvelles en vers de La Fontaine, inspirés de plusieurs œuvres françaises et italiennes des XVe et XVIe siècles, dont le Décaméron de Giovanni Boccace, Orlando furioso de Ludovico Ariosto, le recueil anonyme des Cent Nouvelles Nouvelles et l'œuvre de Bonaventure Des Périers, sont mille fois plus réjouissant à lire que les célèbres Fables dont on a rebattu les oreilles de tout élève en devenir d'être un homme. Les Contes et Nouvelles avaient sans l'ombre d'un doute mille fois plus de raisons pour forger un homme près à affronter son destin croisant celui des dames. Chacun cherche son chat ... Aquarelle originale monogrammée Cette édition est à tort négligée des bibliophiles du fait d'un tirage trop important. Il faut rechercher comme ici les exemplaires de luxe. Aquarelle originale monogrammée Les aquarelles originales de Charles Martin sont très prisées des amateurs. Il fut un des grands illustrateurs de la période Art Déco. Charles Martin est né à Montpellier en 1884 et mort à Paris en 1934 à l'âge de 50 ans seulement. Sa production est très importante. Il a contribué à l'illustration de nombreuses revues d'art et de mode depuis 1912 (Gazette du Bon Ton, Femina, etc). La guerre où il sert comme simple soldat d'infanterie stoppe nette sa carrière mais il continue malgré tout à dessiner et à envoyer ses travaux à la presse, tant qu'il peut. Lors d’une permission, il montre son travail à Lucien Vogel, le créateur de la révolutionnaire Gazette du Bon Ton. Enthousiaste, l’éditeur lui propose d’en tirer un album. Sous les Pots de Fleurs (le terme désigne le casque Adrian qui équipe l’armée française) paraît le 1er décembre 1917. Comme un Laboureur ou un Chas Laborde, Martin refuse de se soumettre à la « culture de guerre ». On ne trouve chez lui aucune des outrances et conventions du dessin naturaliste et de son pseudo réalisme. Il revient de la guerre. Le style de Charles Martin, au trait délicat, excelle dans les techniques de l'eau-forte et du pochoir rehaussé d'un trait typographique. Influencé par le cubisme, son style devient épuré et se caractérise par un trait précis, efficace et joyeux. Il s'oriente rapidement vers le luxe et l'art décoratif. Il exerce son talent dans les domaines les plus variés : mode, flacons de parfumerie, meubles, papiers peints, affiches, etc. Charles Martin a illustré une vingtaine de livres dont les Contes et Nouvelles de La Fontaine que nous présentons ici. Nous soupçonnons par ailleurs Charles Martin d'avoir illustré un clandestin totalement érotique en 1926 dont le trait est vraiment typique de l'artiste (mais ...). Aquarelle originale monogrammée Exceptionnel exemplaire contenant 8 aquarelles originales abouties et 1 esquisse pour une composition libre, une suite libre de 15 eaux-fortes en noir et une suite complète des 64 compositions hors-texte (soit 143 estampes au total). Très bon exemplaire tel que paru.‎

Librairie L'amour qui bouquine - Alise-Sainte-Reine

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EUR4,900.00 (€4,900.00 )

‎Martin Charles‎

Reference : bj1609

(1913)

‎Modes et Manières d'aujourd'hui : 3 plaques de zinc, pour 5 des 12 compositions de Charles Martin (1913)‎

‎Corrard Pierre Modes et manières d'aujourd'hui Plaque de graveur 1913 "EXCEPTIONNEL ET SANS ÉQUIVALENT ! ""Modes et manières d'aujourd'hui"" est la publication du meilleur de la mode du début du XXe siècle, par les artistes l'ayant faite, au plus haut de leur art. Le projet est porté par Pierre Corrard, écrivain et éditeur de grand talent. Afin d'accompagner la révolution artistique et vestimentaire des années folles, il publie, en 1912, une première chemise, avec des illustrations de Georges Lepape. Devant l'accueil fait à cette première publication, il décide, chaque année, de proposer une chemise identique, avec des auteurs et des artistes différents. Pour la deuxième année, il demande à Nozière et à Charles Martin. Nous proposons ici certaines des plaques de zinc ayant servi à imprimer les compositions de Charles Martin pour la chemise de 1913. Ces 3 plaques ont permis de reproduire 5 des 12 gravures réalisées par Charles Martin (2 présentent deux illustrations, et 1 en présente une seule), à savoir : une plaque pour les planches II (La Neige) et XI (Les Cerises), une pour les planches VIII (Les Lucioles) et IX (La Passerelle), et enfin une pour la planche X (L'Orage). La provenance de cet ensemble est exceptionnelle : il provient directement de la famille Corrard. Nous joignons à ces planches, qui plus est, un bon de commande à l'entête de ""Modes et manières d'aujourd'hui"", vierge, ainsi qu'une carte à l'entête des ""Collections Pierre Corrard"", vierge également. /////// EXCEPTIONAL AND ONE OF A KIND ! “Modes et manières d’aujourd’hui” showcased the best of early twentieth century fashion through artists at the height of their talent. This project was led by Pierre Corrard, author and publisher of great renown. In 1912, in order to promote the revolution of arts and fashion of the Jazz Age, he published a first portfolio containing illustrations by Georges Lepape. Following the enthusiastic reception of this first issue, he decided to release each year an identical portfolio featuring different authors and artists. For the second year, he asked Nozière and Charles Martin. We offer for sale three of the zinc plates used for the reproduction of the works of Charles Martin for the 1913 issue. These 3 plates have been used for the reproduction of 5 of the 12 engravings by Charles Martin (two of them have two distinct illustrations, the third one has one illustration only): one zinc plate for illustrations: II (La Neige / Snow) and XI (Les Cerises / The Cherries), one plate for illustrations: VIII (Les Lucioles / The Fireflies) and IX (La Passerelle / The Walkway), and one plate for the illustration X (L’Orage / The Storm). The provenance of these plates is itself exceptional, as they came to us directly from the Corrard Family. We add to this ensemble an order slip bearing the header of “Modes et manières d’aujourd’hui”, as well as a card with the “Collections Pierre Corrard” header, both blank. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."‎


Abraxas-Libris - Bécherel
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EUR1,800.00 (€1,800.00 )

‎[Martin Van Maele] - ‎ ‎[Martin VAN MAELE] [Charles BAUDELAIRE] ‎

Reference : AMO-4501

(1917)

‎LES FLEURS DU MAL. Suite complète de 12 eaux-fortes gravées par Martin Van Maele en double-état avec remarques, avant la lettre tirées sur papier du Japon.‎

‎S.d. (1917) [pour l'éditeur J. Chevrel] 12 planches (frontispice et 11 planches) en deux états soit un ensemble de 24 planches. En feuilles. 29 x 20 ou 20,5 cm pour les feuilles 15 x 10 cm pour les cuivres (mesuré à la cuvette) - 12 planches tirées sur Japon avant la lettre avec remarque. Etat définitif. - 12 planches tirées sur Japon avant la lettre avec remarque. Etat non terminé, eau-forte pure. Le frontispice de l'état définitif est signé au crayon par l'artiste Martin Van Maele (en bas à droite). Chaque planche de l'état définitif est légendée au crayon en bas à droite. - 12 planches tirées sur vergé d'Arches avant la lettre (remarques grattées. Chaque planche, à l'exception du frontispice (ce qui est normal), est légendée à l'encre à la plume par l'artiste. Le tirage courant est sur vélin de Rives. Celui-ci, un des rares exemplaires sur Japon (quelques exemplaires seulement) avant la lettre, état définitif et eau-forte pure, avec remarque. Avec le rare tirage avant la lettre légendée sur Vergé d'Arches.‎


‎Cette suite a été faite pour compléter l'édition des Fleurs du Mal donnée par l'éditeur Chevrel en 1917. Les poèmes de Baudelaire illustrés sont les suivants : Litanies de Satan - Femmes damnées - La Beauté - Le Revenant - Un Fantôme - Les Bijoux - Le Léthé - Métamorphose du Vampire - Les deux Bonnes Soeurs - Le Vin de l'Assassin - Une Martyre. Martin Van Maele, alias Maurice François Alfred Martin (1863-1926) est l'un des illustrateurs emblématiques du premier quart du XXe siècle. On lui doit de nombreuses illustrations originales pour la littérature classique comme pour la littérature érotique. Sa carrière jusqu'en 1901 est mal connue. À partir de cette date, il débute en illustrant Les Premiers Hommes dans la Lune d'Herbert George Wells édités par Félix Juven. L'année suivante, Van Maele illustre quelques couvertures d'aventures de Sherlock Holmes publiées par le même éditeur. En 1901 également, il commence à travailler pour l'éditeur érotique Charles Carrington, illustrant des ouvrages sadomasochistes, mais aussi Anatole France et Apulée. Van Maele y publie également, en 1905, un ouvrage plus personnel, La Grande Danse macabre des vifs, quatre séries de dix dessins satiriques et humoristiques, dans lesquels la sexualité s'offre comme premier aperçu de la mort. Après l'expulsion de France de Carrington, en 1907, il travaille pour Jules Chevrel et illustre Choderlos de Laclos, Jules Michelet et Denis Diderot. De 1909 à 1919, Van Maele ne publie que cinq livres. À partir de 1920, il travaille avec Jean Fort et continue à illustrer des classiques de l'érotisme littéraire (l'Arétin, Paul Verlaine, Charles Sorel, etc.), en parallèle à des ouvrages de Pierre Mac Orlan, principalement sadomasochistes, mais laissant aussi place à des pratiques plus rarement évoquées en littérature, comme la klysmaphilie. En 1903, Van Maele s'installe à Varennes-Jarcy avec sa femme, sa mère et sa grand-mère. De 1904 à 1926, ils habitent une maison de la rue de Mandres. Il y meurt en 1926 alors qu'il achevait d'illustrer les Dialogues de l'Arétin. Référence : Luc Binet, Martin Van Maële ou le diable se cache dans les détails, éditions Humus, 2017, page 403 ; à propos de Martin Van Maele lire l'excellente étude publiée par Jean-Marc Barféty, Van Maele, in Une histoire familiale de Jean Genet (en ligne). Cette suite est rare et très recherchée sur papier vélin de Rives ; ce tirage de grand luxe sur papier Japon est pour ainsi dire devenu introuvable. Le tirage sur Arches est également très rare. Excellent état de l'ensemble et rarissime (double) tirage sur Japon complété par la rare suite sur vergé d'Arches avant la lettre. Puissante interprétation graphique des Fleurs du Mal, sublime évocation de l'Eros et Thanatos.‎

Librairie L'amour qui bouquine - Alise-Sainte-Reine

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‎M. Maillard-Luypaert (red.) Met bijdragen van A. Briau, C. de Boulard, L. Depuydt-Elbaum, P. Desmette, P. Fraiture, A. Genbrugge, K. Haneca, P.-Y. Kairis, S. Le Bailly de Tilleghem, L. Nys, N. Peeters, P. Van de Moortel & D. Verloo‎

Reference : 57743

‎Frans Pourbus l'Ancien Tournai Les panneaux peints pour l'abbatiale Saint-Martin. Histoire, iconographie, style, technique, restauration‎

‎, KIK-Brepols, 2017 softcover, 229 pages., 230 x 290 mm, Languages: French. ISBN 9782930054308.‎


‎Au d but des ann es 1570, un jeune peintre tabli Anvers, Frans Pourbus, re oit une commande importante pour l?abbatiale de Saint-Martin de Tournai, saccag e par les iconoclastes en 1566 : l?ex cution de deux s ries de peintures sur bois repr sentant la Passion du Christ et la Vie de saint Martin. N Bruges vers 1545, Frans Pourbus est le fils du peintre Pieter Pourbus. Il a appris son m tier aupr s de Frans Floris. Il peint des portraits, mais aussi de grands ensembles destin s orner des autels ou des stalles, Bruges, Gand, Audenarde, Dunkerque. Sa r putation de peintre talentueux l?a pr c d Tournai o son beau-p re, Cornelis De Vriendt, dit Cornelis Floris II, travaille l? dification et la d coration du jub de la cath drale Notre-Dame. Les panneaux sortis de l?atelier de Pourbus pour Saint-Martin ont surv cu aux vicissitudes du temps : la reconstruction de l? glise abbatiale sous le r gne de Louis XIV comme aux troubles de la p riode r volutionnaire. Apr s la disparition de l?abbaye, ils ont trouv un abri au s minaire piscopal fond en 1808 par l? v que de Tournai Fran ois-Joseph Hirn. De 2012 2015, ils ont b n fici d?un traitement de conservation-restauration l?Institut royal du Patrimoine artistique Bruxelles. Aujourd?hui expos s dans la r serve pr cieuse du s minaire, ils s?offrent aux regards des visiteurs dans toute leur splendeur retrouv e. Table of Contents Avant-propos Daniel Procureur Frans Pourbus l'Ancien, de l'abbaye Saint-Martin au s minaire de Tournai Monique Maillard-Luypaert Tournai, la cit piscopale et l'abbaye Saint-Martin 1 Ombres et lumi res: le christianisme Tournai au XVIe si cle Philippe Desmette Le peintre et les p rip ties de son oeuvre tournaisienne 2 Frans Pourbus (ca 1545-1581), une toile naissante dans la peinture d'histoire religieuse Natasja Peeters 3 Les accrochages successifs du cycle de la ?Passion du Christ et de la Vie de saint Martin? de Frans Pourbus l'Ancien (XVIe-XXIe siecles) Aude Briau 4 Une oeuvre pr baroque au risque de l'iconographie: le retable peint par Frans Pourbus pour l'abbatiale Saint-Martin de Tournai (1574) Ludovic Nys et Serge Le Bailly de Tilleghem Le traitement de conservation-restauration des dix-sept panneaux 5 Introduction au projet d' tude, de conservation et de restauration de la ?Passion du Christ et de la Vie de saint Martin? de Frans Pourbus l'Ancien, 1574 Livia Depuydt-Elbaum 6 La technique d' ex cution des supports Dominique Verloo 7 Dendrochronological analysis of the panel paintings Pascale Fraiture and Kristof Haneca 8 La technique d' ex cution de la couche picturale Dominique Verloo 9 Observations sur la technique picturaJe de Frans Pourbus l' Ancien Peter Van de Moortel 10 L? tat et l'histoire mat rielle des supports bois Aline Genbrugge 11 L? tat et l'histoire mat rielle de la couche picturale C cile de Boulard 12 Le traitement structurel des supports bois Aline Genbrugge 13 Le traitement de la couche picturale C cile de Boulard 14 Bilan d' une enqu te: pour une reconsid ration de Frans Pourbus l' Ancien Pierre-Yves Kairis Bibliographie‎

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