HEUGEL & CIE. 1900. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 5 pages de partitions pour chant et piano. Théâtre Nationale de l'Opéra COmique. Roman musical en 4 actes et 5 tableaux. Paroles et Musique.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Reference : RO50042563
H. & CIE. 20166 Classification Dewey : 780.26-Partitions
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S.l. [Vienne], s.d. (1810) gravure in-8 de 21 x 16 cm, en feuille, fixée sur papier fort.
Rare estampe allégorique mise en couleurs, non légendée et non signée, de facture allemande.Elle représente l'alliance franco-autrichienne réalisée à travers le mariage de l'Archiduchesse Marie-Louise avec Napoléon. Surmonté de la Renommée, un obélisque présente, en regard et en médaillon, les bustes couronnés de lauriers et de leurs aigles impériaux respectifs, de l'Empereur François (légendé : "Frantz") et de Napoléon.Au pied de l'obélisque une femme vêtue à l'antique mais rappelant Marie-Louise, procède au brûlement des symboles belliqueux de la guerre (casque, bouclier, épée, également de facture antique).Absente des catalogues connus. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
A Paris, Joubert fils et Charles Bance, s.d. (1810) gravure in-8 de 24 x 18,5 cm, en feuille, fixée sur papier fort.
Napoléon empereur.Peu courante.Estampe allégorique sur vergé, à l'eau-forte et au pointillé (l'encadrement au burin), mise en couleurs, dessinée et gravée par Jean-Baptiste Gautier l'aîné (actif entre 1789 et 1820).Un ovale encadré représentant les médaillons de l'Empereur et de l'Impératrice présentés dans l'azur par une femme ailée à la trompette (la Renommée) et un angelot mutin (le Génie de la France)La scène domine le globe présentant surtout son extrême nord et les ambitions de Napoléon sur la Russie. La scène repose sur une tablette inférieure portant la description allégorique.Consécutive au mariage de Napoéon et Marie-Louise notre épreuve est en réalité un second état. Il s'agit en effet de la reprise modifiée d'une gravure de 1804, éxécutée avec Joséphine, pour le Sacre. Le nom et le portrait de la première impératrice sont naturellement remplacés par ceux de Marie-Louise.De Vinck, 7821 (regroupe les deux estampes sous le même numéro). Aucun exemplaire dans la Vente Soulavie (février 1904) ou au CCFr. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
A Paris, Chez Ribault, (1811) 23,7 x 28,5 cm à la cuvette, en feuille. Quelques rousseurs.
Beau portrait peu courant et à grandes marges.Profil de la jeune impératrice, dessiné par Durand Duclos, d'après le buste sculpté d'après nature, à Compiègne, par Bosio.3e état (muet du titre et avant mention du dépot légal) du portrait gravé au burin par Jean-François Ribault (1767-1820), habile graveur notament l'un des graveurs du Livre du Sacre.De Vinck, 8528 (pour la gravure finale et les 3 états antérieurs). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l.n.d. (vers 1840) in-8, paginé 103-110, avec une vignette cul-de-lampe, broché sous couverture factice de papier bleu postérieur.
Il s'agit des obsèques de Marie-Louise-Adélaïde d'Orléans, dite Mademoiselle d'Orléans (1698-1743), fille du Régent, et non de son arrière-nièce la soeur de Louis-Philippe, Adélaïde-Louise (1777-1847). Cette princesse préféra se consacrer à Dieu qu'à la vie de Cour et devint abbesse de Chelles en 1719. Après un supériorat assez brillant, la princesse se retira subitement en 1731, avant de démissionner de ses fonctions en 1734. Elle alla vivre à Paris, en tant que simple religieuse, au couvent de la Madeleine du Traisnel. Elle y mourut de la variole en 1743 à l'âge de 44 ans. Mais ses obsèques furent célébrées dans l'abbaye de Chelles. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Bernard RISTROPH [Archives de la comédienne Louise Conte] [Henry de Montherlant]
Reference : DMI-213
(1974)
23. Bernard Ristroph (1920-1990), carte autographe adressée à la comédienne Louise Conte (1923-1995), [Paris], [octobre 1974], 12,7x8cm, à propos de la représentation de L’Exil de Henry de Montherlant au Studio des Champs-Élysées. Provenance : archives de la comédienne Louise Conte (1923-1995) Le metteur en scène Bernard Ristroph invite Louise à une représentation de L’Exil. En tant que comédien, Ristroph interpréta de nombreux personnages de pièces de Montherlant à la scène : dans La Ville dont le prince est un enfant, en 1967 et 1977 ; dans Le Maître de Santiago, en 1971 ; dans Port-Royal, avec Louise Conte, en 1977 ; dans Brocéliance, avec Louise Conte, en 1984 ; toujours dans des mises en scène de Jean Meyer. * ** Louise Conte est une actrice française, sociétaire honoraire de la Comédie-Française, née le 25 juillet 1923 à Enghien-les-Bains (Val-d'Oise) et morte le 19 octobre 1995 (à 72 ans) à Château-Thierry (Aisne). Engagée dès 1943 à la Comédie-Française Louise Conte en devient, à partir de 1948, sociétaire. Puis, elle est nommée sociétaire honoraire en 1970, ce qui lui permet de continuer à s'y produire. Lors d'une tournée de représentation de La Machine infernale de Jean Cocteau pour la saison 1953/1954, elle croise le chemin de l'acteur dramatique Hubert Rouchon qui deviendra son compagnon. Alors qu'elle poursuit sa carrière d'actrice il se tourne vers l'écriture et le dessin. Le couple fera dans le petit village de Guiseniers l'acquisition d'une propriété que Louise baptisera "Les étonnements". Trop isolés de la capitale, ils s'installèrent finalement à Enghien-les-Bains au 23/25 de la rue des thermes. Du vivant de Montherlant, Louise Conte a créé le rôle de Sœur Catherine de Sainte-Flavie dans Port Royal, à la Comédie Française, dans une mise en scène de Jean Meyer, en 1954 ; puis, celui de la reine Jeanne dans Le Cardinal d’Espagne, à la Comédie Française, dans une mise en scène de Jean Mercure, en 1960. Elle reprit, après la mort du dramaturge, le rôle de Sainte-Flavie, toujours dans une mise en scène de Jean Meyer, au Théâtre des Célestins, en 1977 ; puis celui de la Reine Jeanne, dans une mise en scène de Raymond Gérôme, au Théâtre de la Madeleine, en 1989. Enfin, et toujours sous la direction de Jean Meyer, elle reprend le rôle de madame Persilès dans Brocéliande, au Théâtre des Célestins, en 1984.