ROYALTY. non daté. In-Folio. En feuillets. Etat d'usage, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Rousseurs. Paginé de 4 à 5. Partition pour Piano et chant + paroles. Couverture muette. Petites déchirures sur les pages n'altérant pas la lecture de la partition.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Reference : RO50039791
R. 550. Paroles de Raymond VINCY. Classification Dewey : 780.26-Partitions
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A Paris, chez Denys Bechet, 1666.In-8 de (1) f.bl., (6) ff., 1 carte dépliante, 245 pp., (3) pp., (1) f.bl. Relié en plein veau brun granité de l’époque, dos à nerfs orné, coupes décorées, tranches mouchetées. Reliure de l’époque. 179 x 113 mm.
Rare edition originale du premier livre français jamais publié sur le Siam. Cordier, Bibliotheca Sinica, 827-828 ; Brunet, I, 1179. « Les premiers contacts entre la France de Louis XIV et le Siam de Phra Naraï remontent aux années 1660, lorsque des vicaires apostoliques et des ecclésiastiques des jeunes Missions étrangères de Paris s’installent à Ayutthaya, la capitale du royaume de Siam. L’un d’eux, Jacques de Bourges, a fait partie du premier groupe de missionnaires arrivés à Ayutthaya en 1662. Il est l’auteur du premier livre français jamais publié sur le Siam, la Relation du voyage de Monseigneur de Beryte […] jusqu’au royaume de Siam, publié à Paris en 1666. C’est une traditionnelle relation viatique qui propose le récit du voyage principalement terrestre au Siam (l’aventure), et une description systématique de ce royaume (l’inventaire). Challe, qui se vante d’ « avoir lu toutes les relations qui ont été imprimées, tant sur les terres que sur la religion… », ne connaissait pas ce livre, car il poursuit : «… mais je ne me souviens point d’en avoir jamais lu de Messieurs des Missions étrangères… » ». « Monseigneur Lambert de La Motte et les missionnaires apostoliques Jacques de Bourges et François Deydier s’embarquèrent à Marseille en novembre 1660 pour Alexandrette, d’où ils commenceraient un voyage surtout terrestre qui les conduirait par Alep, Baghdâd, Bassora et Ispahan à Bandar Abbas sur le détroit d’Ormuz. Un vaisseau de la East India Company les déposerait à Surate d’où ils traverseraient le sous-continent indien jusqu’à Masulipatam sur la côte de Coromandel. Un dhow maure les conduirait de là à Mergui, port siamois. Un dernier voyage fluvial et terrestre, et voilà nos gens à Ayuthia, capitale du royaume de Siam, où ils débarquent en août 1662, après un voyage extrêmement éprouvant de vingt et un mois. Ce périple mémorable nous est bien connu grâce à la Relation du voyage de Monseigneur l’évêque de Béryte, vicaire apostolique du royaume de la Cochinchine, par la Turquie, la Perse, les Indes, &c. jusqu’au royaume de Siam et autres lieux, par M. de Bourges (Denys Bechet, Paris, 1666 ; réédité en 1668 et 1683). Précédant de vingt ans la grande vogue siamoise des années 1685-1688, la Relation de Jacques de Bourges nous propose la première relation et description française du Siam, et ceci au début du règne de Somdet Phra Naraï qui recherchera l’alliance et l’amitié de Louis XIV avec qui il échangera des ambassades dans les années 1680 ». (De branche en branche. Etudes sur le XVIIe et le XVIIIe siècles français. Dirk Van der Cruysse). Le présent ouvrage est illustré d’une carte dépliante gravée par Du Val retraçant le parcours des missionnaires francais depuis paris jusqu’au Siam. Exemplaire grand de marges car conservé dans sa reliure de l’époque, de cet intéressant récit de voyage capital pour la connaissance du Siam au XVIIe siècle. Aucun exemplaire de cette rare originale n’est répertorié dans ABPC depuis 1989.
Paris, Pierre Prault, 1716 in-4, 8 pp., en feuille.
Édition originale (il existe curieusement une seconde édition à la date de 1744). L'épître est signée, mais ce nom de Bélier de Saint-Brisson résiste à une identification précise.Admirable réservoir de prophéties de tout genre que ce bon Nostradamus ! Ici, c'est la centurie XI, 6, qui est mise à profit pour prédire à l'enfançon royal un destin des plus glorieux (mais que prédire d'autre pour obtenir permission d'imprimer et faveurs éventuelles) : "Du vieux Charon on verra le phénix / Estre premier & dernier de ses fils, / Reluire en France, & d'un chacun aimable, / Régner long-temps avec tous les honneurs / Qu'auront jamais eu ses prédécesseurs, / Dont il rendra la gloire mémorable". En interprétant "le vieux Charon" comme Louis XIV, on obtient un sens potable, et l'affaire est faite. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Londres, Thomas Hookham, et se trouve à Paris, Veuve Duchesne, 1787 2 vol. in-12, 360 pp. ; 384 pp., brochés sous couvertures d'attente de papier vert strié. Petit manque de papier au f. 259-60 du vol. II, avec perte de lettres.
Édition originale de ce recueil d'anecdotes et de scènes de la vie quotidienne dans la capitale de la fin du XVIIIe siècle (spectacles, voitures, cafés et restaurants, dîners, modes, etc.), ainsi que de férocités propres au tempérament aigri de l'auteur, qui ne fut jamais considéré en dépit de son immense production.C'est spécialement contre son ancien ami et mentor Restif de la Bretonne qu'il se déchaîne, se vengeant du mépris dans lequel ce dernier le tenait (il l'avait affublé des sobriquets de Gronavet, Regret, etc.). On trouvera par exemple un long portrait à charge à la page 31 du vol. I : "Il est dans Paris un auteur fort original, tant par le genre de ses ouvrages, le ton bisarre dont ils sont écrits, les choses absurdes et extrêmement indécentes qu'ils contiennent, les louanges outrées qu'il se prodigue ; que par la manière dont i se permet d'aller souvent vêtu : ses cheveux sans poudre, sont noirs comme geai, ou quelquefois si poudrés à blanc, qu'on dirait que sa tête, demi-chauve, est de plâtre (...). On pourrait lui appliquer ce que Platon disait à Diogène : Ton orgueil perce à travers les trous de ton manteau" (mais tout le paragraphe est à lire).Il récidive à la page 100 du volume II : "J'ai connu une espèce d'auteur qui a publié un roman rempli de choses monstrueuses & dégoûtantes, de prétendues situations fortes, mais qui ne sont que puériles par leurs atrocités mal motivées ; cet auteur original fut admis à l'honneur de lire à une dame d'un rang distingué & de beaucoup de goût quelques fragmens de ce fatras indigeste qualifié de roman propre à corriger les moeurs (etc.)" Il s'agit d'une lecture de la Paysanne pervertie donnée en 1784 devant la marquise de Montalembert.Quérard VI, 458. Cioranescu, XVIII, 48 451. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Précieux exemplaire du plus grand graveur au burin de l’histoire de la gravure. S.l., 1596-1598. Suite complète de 12 planches au burin au format in-4. Bords tendus sur une feuille de montage pour chacune. Réunies dans une reliure de vélin ivoire rigide. Dimensions des pages : 249 x 175 mm. Dimensions des gravures : 197 x 130 mm.
Splendides épreuves du tirage authentique, avec toutes les particularités indiquées par Bartsch. (A. Bartsch, Le peintre graveur, III, 27-38). F.W.H. Hoolstein, n°21 à 32. Précieux exemplaire du plus grand graveur au burin de l’histoire de la gravure qui a composé ces 12 pièces dans la manière de Lucas de Leyde, « ce qui lui a parfaitement réussi ». A. Bartsch. « En Hollande, ce siècle s’achève en apothéose avec Hendrick Goltzius (1558-1617), virtuose du burin comme l’histoire de la gravure n’en a jamais connu. » « A ses débuts, Goltzius travaille pour J. Cock, Ph. Galle dont il grave le portrait en 1582 puis pour N. et C.I. Visscher, H. Hondius, J. Dankaerts, H. Adolfz et d’autres encore. Il grave à cette époque de beaux portraits originaux dans la tradition anversoise : Mercator en 1576, Ch. Plantin et le célèbre Henri IV. L’italianisme le gagne lui aussi. C’est alors le Portrait de H. Bol, celui de Scaliger, et il adopte définitivement ce style dans La Sainte Famille qui serait, d’ailleurs, une gravure d’interprétation d’après Baroccio. Désireux de montrer sa virtuosité, il grave en 1593-1594 la Vie de la Vierge où il ne copie, ni ne traduit, mais pastiche intelligemment Raphaël, Baroccio, Parmesan, Bassano, Dürer et Lucas de Leyde en exécutant des compositions que ces maîtres auraient pu concevoir. Ce virtuose, ce roi du burin qui va de tour de force en tour de force a laissé des exemples parfaits avec le Portrait de Frederik Vries de 1597 et les célèbres Porte-enseigne. Ainsi s’achève le XVIe siècle en Hollande avec le triomphe du beau métier, du travail maniéré dont le chef de file H. Goltzius aura encore quelque influence au XVIIe siècle. Par contre, la Flandre catholique et prospère, pénétrée par la pompe espagnole, rejette les drôleries de Bruegel et, avec Rubens, adoptera un tout autre style. » E. Rouir, La gravure des origines au XVIe siècle. Cette suite, aussi remarquable par la composition que par le dessin, a été copiée presque aussitôt et imitée plusieurs fois. Un chef-d’œuvre hollandais de la fin du XVIe siècle en bel état de conservation.
Au bureau du journal. 1951. In-Plano. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire: Jamais l'enjeu ne fut plus grand jamais le choix ne fut plus simple; La chance de la France; Une aviation française moribonde ... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues