Christiné. début XXème. In-8. En feuillets. Bon état, Tâchée, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. Non paginé. 3 pages environ. Photo noire et blanche de Darius M. et ornements de H. Viollet en couverture.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Reference : RO50028274
C. 508. Partitions pour chant. Classification Dewey : 780.26-Partitions
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Christiné 1905 approx.
Bon état Petit format
Dargaud. 2000. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 48 pages . Bandes dessinées en couleurs. Exemplaire de bibliothèque.. . . . Classification Dewey : 843.06-Bande dessinée
Classification Dewey : 843.06-Bande dessinée
POLIN. 6 janv 1907. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 15 pages. Nombreuses illustrations et gravures en noir et blanc, dans le texte et hors texte. Nombreuses partitions pour chants + paroles.. . . . Classification Dewey : 780-Musique
Revue hebdomadaire illustrée. Des concerts, théâtres, cabarets artistiques, music-halls. Classification Dewey : 780-Musique
BOURCARD NÉGOCIANT ARMATEUR NÉGRIER A NANTES [Maison «PELLOUTIER, BOURCARD & CIE»]
Reference : 23868
(1786)
nantes 1786 une lettre (de 4 pages, une grande feuille pliée en deux) manuscrite à l'encre brune sur les 3 premières page sur papier velin ligné filigrané, format : 19 centimètres de large x 23,3 centimètres de haut, adresse de la lettre au centre de la 4ème page à l'encre brune : à Mr Louis Admyraud négociant à la Rochelle, lettre signée BOURCARD , Nantes, le 23 DECEMBRE 1786,
EXTRAITS DE LA LETTRE : "...... je vous remercie pour votre empressement à m'offrir le secours que je vous avais demandé, j'ai reçu dans mes lettres de Jeudy des remises que je n'attendais que dans 3 semaines, on m'en annonce d'autres par les courriers suivants, , de manière que que trouvant à les échanger ici avec DEURBROUCQ (ARMATEUR NANTAIS) contre du court, je suis trés à mon aise et puis me passer de votre papier sans pour cela etre moins sensible et reconaissant de vos bontés, je suis au reste trés faché de voir que le gouvernement remplisse si mal ses engagements avec vous...cela n'est pas tranquilisant...Je n'ai pas encore de Mr PELLOUTIER(ARMATEUR NANTAIS) de nouvelles positives sur les changements projetés en prusse pour le commerce des Caffés auquel il parait toujours s'attendre...J'attendrais en son temps vos ordre pour le départ du petit mousse qui est prêt...les caffés ne sont pas aussi bien que chez vous car on trouve encore à 18 et il n'a pas été payé au dessus, Le Cottons par contre y son t beaucoup mieux car j'ai vendu à 280 il y a deux jours, si on trouve à 250 chez vous je serais bien tenté d'y toucher, quant à l'indigo, le pris de 9 à 10 sans voir m'effraie......"............RARISSIME............en bon état (good condition).
s. d. [1948] | 21 x 30 cm | 8 pages et demi sur 9 feuillets
Exceptionnel manuscrit autographe de Louis Aragon intitulé "Chronique de la pluie et du beau temps pour Europe (mai)".8 pages et demi à l'encre bleue sur 9 feuillets uniformément brunis. De nombreuses ratures et réécritures. Publié dansEurope, no29, mai 1948, et ne figure pas dans le livre rassemblant ces chroniques (E.F.R., 1979). Superbe profession de foi militante de neuf pages, parue dans la revue littéraire anti-fasciste Europe. Aragon se fait courtiser après-guerre, au nom de "l'amitié" et "la liberté" par diverses revues, mais refuse catégoriquement de publieraux côtés d'écrivains aux tendances pétainistes. L'écrivain livre ses impressions après une interview à la radio belge, et médite sur "deux monstres abstraits : la liberté et l'amitié", dévoyés à loisir en ce début de guerre froide où le soviétisme devient - à son grand dam - le nouveau fascisme. Très attaché au discours unique que prônait le communisme, qu'il nomme "vérité nationale", cette notion sert de fil de conducteur à sa chronique. Aragon écrit en pleine affaire Kravchenko et reste persuadé par lesoviétisme qui demeure pour lui le grand vainqueur du nazisme. En grand témoin littéraire des souffrances endurées pendant l'Occupation, il est alarmé par les choix éditoriaux des revues qui cherchent à obtenir des contributions de sa part : l'une publie sans vergogne un texte de Montherlant totalement oublieux des martyrs parisiens pendant la guerre, tandis que l'autre justifie avec affection les allégeances de nombreux français pour le maréchal Pétain. C'est aussi l'occasion d'une longue et belle analyse de l'idée de nation, par Aragon qui est sans conteste le poète national de ce siècle. On y retrouve, dans ses tirades inspirées, l'idéal aragonien d'une saine émulation des nations, tournées vers le progrès. De belles pages d'Aragon en pleine cristallisation des blocs de l'Est et de l'Ouest. L'ambition d'Aragon estd'honorer la mémoire de la Résistance en choisissant de "faire confiance aux mots quand ils sont employés pour la paix". "La Nation qui me paraît aujourd'hui encore être le groupe le plus étendu qui puisse se porter garant d'une vérité [...] la radio peut et doit transmettre à son public la vérité nationale [...] 'Qu'entendez-vous concrètement par vérité nationale?' Me demande-t-il, comme il m'aurait sûrement demandé: qu'entendez-vous en disant qu'il fait grand jour en plein midi? si je l'avais dit. C'est là le mécanisme des interviews. J'ai donc pris deux exemples concrets, pour expliquer à quoi sert le maniement des abstractions. Deux cas récents où j'ai eu à me mesurer avec deux monstres abstraits : la liberté et l'amitié. La liberté d'abord. On sait comment les pires ennemis de la liberté font usage d'un livre qui s'appelle : J'ai choisi la liberté, donnant le bénéfice d'un préjugé favorable de ce mot à tous ceux qui trahissent leur pays, quand c'est pour choisir le système capitaliste [...] [...] Une revue qui s'édite à Montréal m'avait récemment écrit pour me demander ma collaboration. Son directeur littéraire faisait appel à l'homme libre (l'italique est sienne) que je suis. Cette façon de distinguer par la typographie en moi la possibilité d'être parfois un homme libre, parfois non, m'avait un peu inquiété. J'ai voulu voir sa revue [...] Mon Dieu, le fait que ce numéro s'ouvre par un texte de M. de Montherlant, me laisselibrede ne pas parler du contexte. On sait, et j'imagine que M. Victor Barbeau, de Montréal, n'ignore pas que M. de Montherlant est sur la liste des écrivains avec lesquels les membres du Comité National des Ecrivains se refusent à collaborer. Ce qui doit sans doute m'expliquer pourquoi M. Barbeau s'adresse en moi à l'homme libre: c'est-à-dire un personnage entièrement distinct de celui qui est membre du CNE, qui est pense-t-il, prisonnier du CNE, prisonnier de la parole donnée, prisonnier de son dégoût pour les collaborateurs de l'ennemi. [...] Il avait, n'est-ce-pas, fait de même appel à l'homme libre en M. de
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