‎COLLIN L . / JOUY / GERNY‎
‎CE QUE JE REGRETTE‎

‎Société Anonyme du Nouveau Répertoire des Concerts de Paris. début XXème. In-8. En feuillets. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. Non paginé. 3 pages environ. Gravure noire et blanche de O. Lapitan en couverture. Traces de crayon de couleur sur la couverture.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

Reference : RO50027563


‎S.N.R.N°845. D.R. Partitions pour chant. Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

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‎SOUBIRAN, Yvonne‎

Reference : 54723

(1928)

‎Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

‎3 cahiers manuscrits dont deux brochés (l'un oblong), 1928, 40 ff. et 1943, 36 ff. et l'autre cartonné (recueil de citations). Rappel du titre complet : Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎


‎Très remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR590.00 (€590.00 )

‎Jules MALIGNON‎

Reference : 75538

(1836)

‎Manuscrit autographe inédit et complet intitulé "Cinq semaines de vacances - Journal d'un voyage en Suisse et dans le Sud de l'Allemagne avec les élèves de mon bien cher et regretté institut"‎

‎s. l. 1836 | 22 x 27 cm | relié‎


‎Manuscrit autographe inédit et complet de 240 pages rédigées d'une écriture soignée à l'encre noire et intitulé "Cinq semaines de vacances - Journal d'un voyage en Suisse et dans le Sud de l'Allemagne avec les élèves de mon bien cher et regretté institut". L'auteur, Jules Malignon, fut aussi professeur de français à Boston. Notre manuscrit est truffé d'une planche d'herbier, d'une aquarelle orginale en couleurs, d'un dessin original au crayon et de 25 gravures dont une gommée et en couleurs. Les gravures illustrent les différentes étapes du voyage : Tharandt, Nuremberg, Munich, Füssen, Grisons... Reliure de l'époque en demi chagrin vert émeraude à coins, dos à cinq faux nerfs orné de dentelles et filets dorés, plats de papier vert, gardes et contreplats de papier caillouté, toutes tranches peignées. Mors ouvert en queue du plat supérieur. Ce manuscrit qui fourmille de détails sur la vie de l'époque dans ces contrées est l'oeuvre de Jules Malignon, professeur de français à l'Institut Blochmann de Dresde, et fut réalisé à l'occasion d'un voyage dont les participants sont listés en début de volume. L'ingénieur et entrepreneur Rudolf Sigismond Blochmann, fondateur de l'institut de Dresde fondé en 1828 et portant son nom, fut l'un des pionniers de l'éclairage au gaz en Allemagne. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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EUR2,800.00 (€2,800.00 )

‎Pierre MAC ORLAN‎

Reference : 84135

(1952)

‎"... mais dans 2 mois j'aurai 70 ans, je ne le regrette pas car c'est, en quelque sorte, un succès..." Humoristique lettre autographe datée et signée au jeune poète artésien Roger Valuet à propos de ses prochains 70 printemps‎

‎S. n. | Saint-Cyr-sur-Morin 2 Janvier 1952 | 13.50 x 21 cm | une feuille‎


‎Lettre autographe datée et signée de Pierre Mac Orlan (15 lignes à l'encre noire) à son jeune ami le poète Roger Valuet. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. Pierre Mac Orlanremercie Roger Valuet pour sa fidèle amitié et les petits cadeaux qu'il lui adresse. Il aimerait rendre visite à ses amis artésiens plus souvent mais son âge avancé lui intime l'ordre de ne pas trop se fatiguer en voyageant, désagrèment qu'il accepte tout de même en terminant sa missive avec cette pirouette humoristique : "... mais dans 2 mois j'aurai 70 ans, je ne le regrette pas car c'est, en quelque sorte, un succès..." Originaire d'Arras, Roger Valuet est un écrivain populaire ayant signé, sous le pseudonyme de Roger Vilard, de nombreux romans policiers et d'espionnage. Au début de sa carrière, il fut aidé par Pierre Mac Orlan qui préfaça son premier recueil de poèmes. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎ANONYME‎

Reference : 66579

(1815)

‎Buonaparte au 4 mai 1815. "Le système des journaux de Buonaparte n'est pas changé quant au fond ; c'est toujours le même esprit de mensonge, d'impudence et de perfidie, mais dans la vue d'un résultat différent [... ] Vous êtes Français, soldats, et la trahison vous indigne. Une noble rougeur couvre vos fronts au nom d'Elchinger et de La Bédoyère. J'ai vu de saintes larmes rouler dans vos yeux au souvenir du Roi. Vous justifierez l'armée française devant l'histoire qui l'attend. Disons en peu de mots quelle est la situation actuelle de la France entière à l'égard de Buonaparte : Les royalistes n'en voudront jamais ; Les républicains n'en veulent plus ; L'armée regrette d'en avoir voulu ; Les buonapartistes n'osent plus avouer qu'ils en veulent".‎

‎1 placard in-4 format 26x 20 cm, s.l.n.d. [ 1815 ] : Buonaparte au 4 mai 1815. "Le système des journaux de Buonaparte n'est pas changé quant au fond ; c'est toujours le même esprit de mensonge, d'impudence et de perfidie, mais dans la vue d'un résultat différent [... ] Vous êtes Français, soldats, et la trahison vous indigne. Une noble rougeur couvre vos fronts au nom d'Elchinger et de La Bédoyère. J'ai vu de saintes larmes rouler dans vos yeux au souvenir du Roi. Vous justifierez l'armée française devant l'histoire qui l'attend. Disons en peu de mots quelle est la situation actuelle de la France entière à l'égard de Buonaparte : Les royalistes n'en voudront jamais ; Les républicains n'en veulent plus ; L'armée regrette d'en avoir voulu ; Les buonapartistes n'osent plus avouer qu'ils en veulent".‎


‎Rare placard publié pendant les Cent Jours, et s'opposant au retour de Napoléon revenu de l'île d'Elbe. Bon état (feuillet plié en quatre). Nous disposons d'un autre exemplaire intitulé "Bonaparte au 4 mai 1815".‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR150.00 (€150.00 )

‎ANONYME‎

Reference : 66582

(1815)

‎Bonaparte au 4 mai 1815. "Le système des journaux de Buonaparte n'est pas changé quant au fond ; c'est toujours le même esprit de mensonge, d'impudence et de perfidie, mais dans la vue d'un résultat différent [... ] Vous êtes Français, soldats, et la trahison vous indigne. Une noble rougeur couvre vos fronts au nom d'Elchinger et de La Bédoyère. J'ai vu de saintes larmes rouler dans vos yeux au souvenir du Roi. Vous justifierez l'armée française devant l'histoire qui l'attend. Disons en peu de mots quelle est la situation actuelle de la France entière à l'égard de Buonaparte : Les royalistes n'en voudront jamais ; Les républicains n'en veulent plus ; L'armée regrette d'en avoir voulu ; Les buonapartistes n'osent plus avouer qu'ils en veulent".‎

‎1 placard in-4 format 26x 20 cm, s.l.n.d. [ 1815 ] : Bonaparte au 4 mai 1815. "Le système des journaux de Buonaparte n'est pas changé quant au fond ; c'est toujours le même esprit de mensonge, d'impudence et de perfidie, mais dans la vue d'un résultat différent [... ] Vous êtes Français, soldats, et la trahison vous indigne. Une noble rougeur couvre vos fronts au nom d'Elchinger et de La Bédoyère. J'ai vu de saintes larmes rouler dans vos yeux au souvenir du Roi. Vous justifierez l'armée française devant l'histoire qui l'attend. Disons en peu de mots quelle est la situation actuelle de la France entière à l'égard de Buonaparte : Les royalistes n'en voudront jamais ; Les républicains n'en veulent plus ; L'armée regrette d'en avoir voulu ; Les buonapartistes n'osent plus avouer qu'ils en veulent".‎


‎Rare placard publié pendant les Cent Jours, et s'opposant au retour de Napoléon revenu de l'île d'Elbe. Bon état (petite brunissure en pliure centrale). Nous disposons d'un autre exemplaire intitulé "Buonaparte au 4 mai 1815".‎

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