Chez Omont. fin XVIIIème. In-4. En feuillets. Bon état, Tâchée, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 3 pages. Couverture muette. Imprimé sur du papier à la forme. Tampon.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Reference : RO50020717
O.C. Partitions pour piano et chant. Classification Dewey : 780.26-Partitions
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
PARIS. 17 DECEMBRE 1808. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 529 à 576.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Stances sur la perte des illusions de la jeunesse par Mme Constance de S., L'autel de la Pitié par M. Desaintange, La blanche marguerite, romance par M. Révoile, Idylles de Théocrite par M.J.B. Gail, article de M. Esménard, Les Beaux-Arts en Angleterre, traduit de l'anglais de M. Dallarway par M***, publié et augmenté de notes par A. L. Millin Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Paris, Reutlinger/ G. Camus, album non daté, circa 1900, 340x270mm, demi-chagrin rouge oblong, (80p.) Bon état. Une dizaine de planches présentent de pâles salissures Liste des artistes présentées : Julie Bartet, Blanche Pierson, Magnier, Jeanne Bertin, Suzanne Devoyod, Blanche Baretta, Delna, Francine Decroza, Suzanne Reichenberg, Cheirel, Bonheur, Segond-Weber, Duclerc, Fège, MégardMily Meyer, Paulette Filliaux, Jane Marcy, Chassaing-Taride, Marie-Louise Marsy, Emma Eames, Lucienne Bréval, Fougère, Blanche Dufrène, Yahne, Cassive, Tessandier, Emma Calvé, Derville, Hélène Murany, Rose Caron, Louise Brévazl, Avril, Yvette Guilbert, Renée de Presle, Thomsen; Miss Ethel Ross Selwicke, Carrère-Xanrof, Anne Judic, Sorel, Cléo de Mérode, Chabot, Jane Harding, Jeanne Ludwig, Marie Fériel, Jeanne Granier, Jane Demarsy, Otero, Lucy Berthet, Gabrielle Réjane, Jeanne Darlaud, Jane Pierny, Demarsy, Alice Dufrêne, Suzanne Avril Sanderson, Burty, Lucy Gérard, Yahne, Drunzer, Newa Cartoux, Frémaux, Félicia Mallet, Peyral, Suzanne Munte, Réjane, Cerny, Lynnès, Lainé Luguet, Héglon, Nancy Martel, Emilienne d'Alençon, Gabrielle Bazrot, Maria Legault, Andrée Ciriac, Henriette de Mongey, Marcelle Lender, Suzanne Elven, Simone Damaury, Julia DepoixAngèle Héraud, Mathilde Auguez, Alice Dufrène, Soel, Aimée Martial, Melba, Lucy GérardLoellia Froissard, Valérie Colbert, Jane Harding, Marguerite Caron, Suzanne Dalbray, Anna Held, Marie Delna, Rosa Bruck , Héglon, Lavallière, Miss Ethel Ross Selwicke, Raphaelle Sisos, Jane Pierny, Nebbia, Sarah Bernhardt, Marguerite Ugalde, Jeanne Bertiny, Cléo de Mérode, Emma Calvé, Méaly et Emilienne d'Alençon, Marthe Brandès, Eugénie Yahne, La Belle Otéro, Germaine Gallois, Eugénie Buffet, Théo et Saulier, Jeanne Saulier, Gabrielle Réjane-Porel, Valentine Valty, Saint-Cyr, Liane de Pougy, Cécile Sorel, J. Demarsy, Andrée Cyriac, Sybil de Sainderson, Marguerite Nébia, Biana Duhamel, Wanda de Boncza.
érisse Frères. non daté. In-12. Cartonnage d'éditeurs. Etat d'usage, 2ème plat abîmé, Dos satisfaisant, Papier jauni. 357 pages - tranches dorées - quelques illustrations en noir et blanc hors texte - 2ème plat tâché.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Collection bibliothèque blanche et rose. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Robert Laffont, collection Bouquins, 1993. In-8 broché, couverture couleurs. Bon état général. Intérieur frais .
Réduit au silence dès la fin des années 20, mais épargné par la terreur stalinienne, Mikhail Boulgakov (1891-1940) est l’auteur d’une oeuvre immense, dont la plus grande partie resta inédité de son vivant. Découverts plus d’un quart de siècle aprés sa mort, ses romans ont désormais leur place parmi les classiques de la littérature russe, et Le Maitre et Marguerite, son chef-d’oeuvre, est devenu un livre-culte. Dés La Garde blanche, qui raconte la chute de Kiev, le 14 décembre 1918, Boulgakov assigne à la littérature la tache de maintenanir envers et contre tout la cohésion d’un univers menacé par le cataclysme de la révolution. Telle sera, à partir La vie de monsieur Molière et du Roman theatral, la vocation de ses héros, écrivains maudits, victilmes d’un pouvoir implacables. Parcourue par des airs d’oprés, émaillés de réminiscences littéraires, graves ou parodiques animée par la magie du théatre, l’oeuvre romanesque de Boulgakov est nourrie d’une longue tradition, à commencer par celle de Hoffman et de Gogol, ses grands maitres. Comme ces batisseurs qui réutilisaient les pierres de temples détruits, Boulgakov contruit, avec des fragments de l’ancienne culture, un édifice original, ou se cotoient créateurset tyrans, et ou les fetes de Versailles préfigurent le grand bal chez Satan. Le réve, le fantastique, l’irrationnel sont la pour dire l’indicible oppréssion d’un pouvoir totalitaire, la sourde angoisse d’une violence aveugle que seule peut conjurer, dans l’éclat de rire libérateur, la jubilation de l’écriture.
Robert Laffont, collection Bouquins, 1993. In-8 broché, couverture couleurs. Petits plis en tête.
"Réduit au silence dès la fin des années vingt, mais épargné par la terreur stalinienne, Mikhaïl Boulgakov (1891-1940) est l'auteur d'une oeuvre immense, dont la plus grande partie resta inédite de son vivant. Découverts plus d'un quart de siècle après sa mort, ses romans ont désormais leur place parmi les classiques de la littérature russe, et Le Maître et Marguerite, son chef-d'oeuvre, est devenu un livre-culte. Dès La Garde blanche, qui raconte la chute de Kiev, le 14 décembre 1918, Boulgakov assigne à la littérature la tâche de maintenir envers et contre tout la cohésion d'un univers menacé par le cataclysme de la révolution. Telle sera, à partir de La Vie de monsieur de Molière et du Roman théâtral, la vocation de ses héros, écrivains maudits, victimes d'un pouvoir implacable. Parcourue par des airs d'opéras, émaillée de réminiscences littéraires, graves ou parodiques animée par la magie du théâtre, l'oeuvre romanesque de Boulgakov est nourrie d'une longue tradition, à commencer par celle de Hoffmann et de Gogol, ses grands maîtres. Comme ces bâtisseurs qui réutilisaient les pierres de temples détruits, Boulgakov construit, avec des fragments de l'ancienne culture, un édifice original, où se côtoient créateurs et tyrans, vampires et bureaucrates, personnages bibliques et poètes prolétariens, et où les fêtes de Versailles préfigurent le grand bal chez Satan. Le rêve, le fantastique, l'irrationnel sont là pour dire l'indicible oppression d'un pouvoir totalitaire, la sourde angoisse d'une violence aveugle que seule peut conjurer, dans un éclat de rire libérateur, la jubilation de l'écriture."