G. Brandus & S. Dufour. XIXème. In-8. Relié demi-cuir. Bon état, Couv. convenable, Dos à nerfs, Quelques rousseurs. 347 pages. Titre et auteur dorés sur le dos.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Reference : RO50012451
B. et Cie. 9256. Opéra en 5 actes. Partitions pour piano et chant. Classification Dewey : 780.26-Partitions
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XVIIIè siècle Taille-douce sur papier vergé fin. 22,5 x 32 Très importante suite, rare complète. Le musée national des arts et traditions populaires n’a que 3 estampes sur les 6 que doit avoir la série complète. Dans un beau cartonnage 1/2 parchemin et plats papier escargot XVIIIè, avec les planches en feuilles libres à l’intérieur. en feuilles Très bon XVIIIè siècle
édition originale
A Paris, Chez Prault, 1738, in-12 , 4ff.-104pp. Illustré d’une vignette au titre, relié plein cuir époque , reliure usée , gardes décollées , écritures au titre ,manque la fin du dernier feuillet avec atteinte, de la préface et à un feuillet blanc , mouillure et petit travail de vers, reliure décollée aux bord.
Édition originale , publiée anonymement , l’éditeur réfute même la paternité à Voltaire , qui n'a reconnu en être l'auteur que lors de la publication de la pièce à Amsterdam, en 1738. «Premièrement, il faut que le secret soit toujours gardé sur l’Enfant prodigue. Il n’est point joué comme je l’ai composé, il s’en faut beaucoup. Je vous enverrai l’original : vous le ferez imprimer, vous ferez marché avec Prault dans le temps ; mais surtout que l’ouvrage ne passe point pour être de moi … Je veux vous devoir tout le plaisir de l’incognito, et tout le succès du théâtre et de l’impression. » Voltaire , lettre à M. Berger , 18 octobre 1736 L'Enfant prodigue est une comédie de Voltaire en cinq actes, en vers de dix syllabes. Elle fut donnée pour la première fois à la Comédie-Française, le 10 octobre 1736, sans avoir été annoncée ni affichée, et ne fut interrompue qu'à la vingt-deuxième représentation à cause de l'indisposition d'un acteur . P2-2D
[Genève, Cramer], 1756.
Un volume grand in-12°, reliure en veau marbré de l’époque. XV puis cinq textes dramatiques. Successivement: L’orphelin de la Chine (pp1-80), L’enfant prodigue (pp 83-198), L’indiscret (pp 203-244, La Prude ou La Gardeuse de Cassette (pp 245-356), Nanine ou L’Homme sans Préjugés (pp 357-440). On trouve en fin de volume, relié à la suite, un “Appel à toutes les nations de l’Europe, des jugemens d’un écrivain anglais ; ou manifeste au sujet des honneurs du pavillon entre les théâtres de Londres et de Paris”. Cet appel contient divers articles de VOLTAIRE sur le Théâtre. Présence d’un bel Ex libris : “Marii Joannis baptistoe Nicolai d’Aine”. Exemplaire en TRES BON ETAT
Non précisé. 1988. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 36 pages agrafées. Nombreuses illustrations en couleurs dans le texte. Quelques pages de bandes déssinées.. . . . Classification Dewey : 248-Vie chrétienne et méditations
Sommaire : La petite grenouille - Adelinette aime sa Maman - La parabole de l'enfant prodigue - L'enfant roi - Le foyer marial d'enfants : prier pour les prêtres - etc. Classification Dewey : 248-Vie chrétienne et méditations
Paris Le Normant 1811 In-8° ( 202 x 132 mm ) [3] ff. - 289 pp., demi-basane brune, dos lisse orné, plats de papier marbré bleu, tranches mouchetées (reliure de l'époque)
DE POÈTE À POÈTE : EX-DONO DU PREMIER ACADÉMICIEN GUADELOUPÉEN À SON JEUNE CONFRÈRE DE LA SOMME Édition originale de ce poème à succès avec ex-dono de l'auteur : « A Mr Millevoie de la part de l'auteur ». Vincent Campenon (1772-1843) naquit en Guadeloupe ; il rejoignit Paris avec sa famille en 1776. « Ému de pitié pour cette monarchie qui tombait, pour cette reine surtout dont le trône se changeait en échafaud » (Saint-Marc Girardin, Essais de Littérature et de morale, 1853, p. 99) il composa à la Révolution une romance à la gloire de Marie-Antoinette. Menacé d'arrestation, il se réfugia à la frontière Suisse. Ce n'est qu'à la Restauration qu'il regagna Paris, où il fréquenta le Salon de Virginie Ancelot. Là, il publia L'enfant prodigue, long poème élégiaque qui rencontra un grand succès populaire. Il fut le premier guadeloupéen à être élu membre de l'Académie française, bien qu'un épigramme moqueur ait circulé dans Paris : « Au fauteuil de Delille aspire Campenon, / A-t-il assez d'esprit pour qu'on l'y campe ? Non. » PROVENANCE : 1. Charles-Hubert Millevoye (Abbeville : 1782 - Paris : 1816), ex-dono. De précoces infirmités développèrent chez Millevoye cette mélancolie maladive qui fut le caractère de son talent. Il s'essaya à la poésie sur les bancs du collège, eut même quelques pièces de vers imprimées dans des recueils locaux, et vint à Paris pour achever ses études à l'École centrale, qui remplaçait alors le collège des Quatre-Nations (1798). Après avoir commencé son droit, puis être entré en qualité de commis chez un libraire, il se tourna décidément vers la littérature. A dix-huit ans, il publia un petit recueil de vers : Poésies (1800, in-8), dont les meilleures pièces sont : les Plaisirs du poëte et le Passage du Saint-Bernard. Son goût et la nature même de son talent le portaient vers les concours académiques ; l'Académie de Lyon couronna son épître sur le Danger des romans (1804) et l'Académie française une série de poèmes : l'Indépendance de l'homme de lettres (1806), les Embellissements de Paris, le Voyageur (1807), la Mort de Rotrou (1811), Goffin ou le Héros liégeois (1812) ; l'Invention poétique fut couronnée par l'Académie d'Angers et Belzunce ou la Peste de Marseille fut désigné pour un des prix décenneaux. Ce genre n'était cependant pas la vraie veine poétique de Millevoye ; il réussit beaucoup mieux dans l'élégie. Son deuxième recueil, qui contenait l'Amour maternel, la Demeure abandonnée, le Bois détruit, la Promesse, le Souvenir, le Poète mourant et la Chute des feuilles, est l'expression la plus complète de son talent. 2. « A. CHEVÉ », étiquette contrecollée au contreplat supérieur (vers 1900). Non identifié. Petits manques à la coiffe de tête, quelques griffures et petits sauts sur les plats.