‎DENZA L. / BORDESE S. / BINGHAM C.‎
‎SI VOUS L'AVEZ COMPRIS !‎

‎G. Ricordi & C.. XXème. In-4. En feuillets. Etat passable, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Déchirures. 5 pages. Bouts de papier adhésif à divers endroits.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

Reference : RO50011353


‎a 96807 = 0008 = 0009 a. Partitions pour piano et chant. Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

€14.90 (€14.90 )
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5 book(s) with the same title

‎Laes Edmond - Verreydt Ed. - Michaux Jeff‎

Reference : 14424

(1925)

‎Partition de la chanson : Edde m'eweg ?... Vous m'avez compris?... Edde m'eweg ‎

‎Partitions sur la Belgique Michaux Jeff 1925 approx.‎


‎ Bon état Petit format ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR6.00 (€6.00 )

‎[Editions Albin Michel,] - ‎ ‎HELLENS, Franz‎

Reference : 46967

(1964)

‎[ Lot de 3 livres dédicacés par l'auteur, auxquels on joint un belle lettre autographe signée ] Documents secrets - La vie seconde - Oeil-de-Dieu Avec une LAS : "Je viens de lire la note que vous avez bien voulu consacrer à ma "Vie Seconde" dans Arts, et vous en dis merci. Vous avez compris, et avez bien fait de souligner que ces aperçus du rêve ne sont pas de simples "rêveries" d'écrivain, mais une sorte d'introduction à une oeuvre presque achevée, et comme l'éclairage de toute une vie de poète et de romancier".‎

‎Envois de l'auteur, 3 vol. in-8 br., Editions Albin Michel, Paris.Rappel du titre complet : [ Lot de 3 livres dédicacés par l'auteur, auxquels on joint un belle lettre autographe signée ] Documents secrets - La vie seconde - Oeil-de-Dieu Avec une LAS : "Je viens de lire la note que vous avez bien voulu consacrer à ma "Vie Seconde" dans Arts, et vous en dis merci. Vous avez compris, et avez bien fait de souligner que ces aperçus du rêve ne sont pas de simples "rêveries" d'écrivain, mais une sorte d'introduction à une oeuvre presque achevée, et comme l'éclairage de toute une vie de poète et de romancier".‎


‎Bel ensemble d'ouvrage tous dédicacés par l'écrivain belge Franz Hellens (à François Erval, à Jean Lemarchand "cette poursuite d'une vie fugitive, surréelle", et à l'écrivain et critique Michel Desbruères "heureux de savoir qu'il a aimé Mémoire d'Elseneur". On joint une LAS à ce dernier, datée de février 1964 : "Je viens de lire la note que vous avez bien voulu consacrer à ma "Vie Seconde" dans Arts, et vous en dis merci. Vous avez compris, et avez bien fait de souligner que ces aperçus du rêve ne sont pas de simples "rêveries" d'écrivain, mais une sorte d'introduction à une oeuvre presque achevée, et comme l'éclairage de toute une vie de poète et de romancier". Prix du lot, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR195.00 (€195.00 )

‎PATIN DE LA FIZELIERE, Albert‎

Reference : 63997

‎[ Lettre autographe signée, pleine d'ironie. La Fizelière règle ses comptes littéraires avec le "Courrier de Paris" : ] 1 L. A.S. de 3 pages, datée du 18 septembre : [ Il regrette qu'on ne l'ai pas prévenu que ses services n'étaient plus attendus : ] "J'ai donc fait une chronique, mais on me l'a laissée pour compte. Il aurait peut-être été plus correct de le faire savoir qu'on n'en avait plus besoin. Mais je n'ignore pas que les moeurs du journalisme ont beaucoup changé depuis quelque temps, aussi je passe condamnation sur ce sujet. J'ai lu votre nouveau programme. J'ai vu que le Courrier de Paris s'est mis en frais d'une "Nuance littéraire". Je vous en félicite et je m'en félicite aussi de mon côté ; car cela m'explique en quoi vous n'avez plus besoin de ma collaboration. J'éprouvais quelque embarras à la réfuter à un jeune confrère, et je suis aise de me trouver libre d'un engagement qui, je l'avoue, devenait onéreux pour moi. Et puis vous exigiez de moi - si j'ai bien compris votre lettre - des courriers dans le genre des inimitables lettres de Mme de Girardin ou des spirituelles chroniques de Villemot. C'était là plus que je pouvais faire. Si vous avez eu l'adresse de mettre la main sur le "rara avis" capable de réaliser ce prodige, faites le moi connaître, je vous prie, et je me charge de lui faire donner mille francs par mois dans un grand journal. Quant à moi, mon ambition personnelle ne saurait aller jusque là. Vous l'aurez bien compris, & je vous remercie de m'avoir épargné la rougeur de vous en faire l'aveu. Enfin, le Courrier de Paris a une nuance littéraire, comme la Revue des Deux Mondes a un esprit. C'est parfait. [... ] permettez-moi à ce sujet, un petit conseil : exigez d'eux aussi une légère teinture grammaticale. Il y en a deux ou trois dont la syntaxe doit faire tressaillir d'horreur les cendres de Lhomond et de Wailly dans leur vénérable sépulture" [il reste néanmoins à sa disposition : ] "pourvu que vous n'exigiez de moi ni le génie du Vicomte de Launay ni le bon sens incisif d'Auguste Villemot ] ‎

‎ 1 L. A.S. de 3 pages sur papier bleu, datée du 18 septembre (sans mention d'année) : [ Il regrette qu'on ne l'ai pas prévenu que ses services n'étaient plus attendus : ] "J'ai donc fait une chronique, mais on me l'a laissée pour compte. Il aurait peut-être été plus correct de le faire savoir qu'on n'en avait plus besoin. Mais je n'ignore pas que les moeurs du journalisme ont beaucoup changé depuis quelque temps, aussi je passe condamnation sur ce sujet. J'ai lu votre nouveau programme. J'ai vu que le Courrier de Paris s'est mis en frais d'une "Nuance littéraire". Je vous en félicite et je m'en félicite aussi de mon côté ; car cela m'explique en quoi vous n'avez plus besoin de ma collaboration. J'éprouvais quelque embarras à la réfuter à un jeune confrère, et je suis aise de me trouver libre d'un engagement qui, je l'avoue, devenait onéreux pour moi. Et puis vous exigiez de moi - si j'ai bien compris votre lettre - des courriers dans le genre des inimitables lettres de Mme de Girardin ou des spirituelles chroniques de Villemot. C'était là plus que je pouvais faire. Si vous avez eu l'adresse de mettre la main sur le "rara avis" capable de réaliser ce prodige, faites le moi connaître, je vous prie, et je me charge de lui faire donner mille francs par mois dans un grand journal. Quant à moi, mon ambition personnelle ne saurait aller jusque là. Vous l'aurez bien compris, & je vous remercie de m'avoir épargné la rougeur de vous en faire l'aveu. Enfin, le Courrier de Paris a une nuance littéraire, comme la Revue des Deux Mondes a un esprit. C'est parfait. [... ] permettez-moi à ce sujet, un petit conseil : exigez d'eux aussi une légère teinture grammaticale. Il y en a deux ou trois dont la syntaxe doit faire tressaillir d'horreur les cendres de Lhomond et de Wailly dans leur vénérable sépulture" [il reste néanmoins à sa disposition : ] "pourvu que vous n'exigiez de moi ni le génie du Vicomte de Launay ni le bon sens incisif d'Auguste Villemot ] ‎


‎Belle et curieuse lettre autographe signée du critique et historien Albert de la Fizelière (1819-1878), proche de Baudelaire, Champfleury ou Baudelaire, dont il rédigera la première bibliographie. L'un des grands journaux parisiens, le "Courrier de Paris" inaugura le règne de la chronique quotidienne.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR195.00 (€195.00 )

‎QUERANGAL (Pierre-Maurice-Julien de).‎

Reference : 8783

(1803)

‎Lettre autographe signée du commandant Quérangal à l'amiral Duckworth. 21 octobre 1803. « Spanishtown le 21 octobre 1803. Le commodore Querangal, à Monsieur l'amiral Duckworth. Monsieur l'amiral. par la lettre dont vous m'avez honoré en date du 15 de ce mois, je vois avec plaisir et reconnoissance que je --- compter sur mon retour en angleterre par le premier convoi mais je vois avec peine que le nombre des officiers de marine qui doivent jouïr de cette faveur est peu considérable, puisque mon état major ne paroit pas devoir etre compris dans vos dispositions actuelles le nombre en est si petit. Ils ont déjà partis par la voie de l'amérique pour cause de maladie, que j'ose espérer qu'en… … yeux sur la liste que je vous adresse, vous ferez un nouvel effort pour me procurer l'agrément de n'en être pas séparés. Mais s'il vous est impossible Monsieur l'amiral, de m'accorder le passage de tous, je réclame particulièrement Monsieur Belleville mon adjudant, et Monsieur Savery mon agent comptable. Le premier est inséparable de la dignité de mon grade, et le second n'était en quelque sorte que mon premier secrétaire, chargé de la comptabilité générale d'un vaisseau que je commandois depuis cinq ans et demi, il est instant qu'il opere son retour avec moi, afin que je puisse rendre compte à mon gouvernement, remettre les inventaires des morts, et faire toucher aux familles des malheureux prisonniers des secours en a-compte de la solde qui leur est dûe. Quand a Messieurs Corvoisier et Fouquier, tous deux officiers d'infanterie passagers à mon bord pour cause de maladie, l'humanité autant que votre bienveillance… le… faveurs, puisqu'il est constant qu'ils ont toujours été malades depuis leur séjour a la Jamaïque, et qu'ils ne doivent point espérer de se rétablir parfaitement en cette isle. J'ai egalement l'honneur, Monsieur l'amiral, de vous adresser la liste de mes premiers maitres dont je demande avec instance le retour. Ces hommes servent sous mes ordres depuis plusieurs années, et ont acquis des droit à mon estime et a ma sollicitude. Je suis bien sincèrement affecté, Monsieur l'amiral, des difficultés qu'éprouve le retour en france des malheureuses femmes passagères a bord du Duquesne. Je conçois que vos lois s'opposent a ce qu'elles obtiennent leur passage sur les batiments de guerre mais ne seroit-il pas possible qu'elles passent sur les batiments de commerce faisant partie du convoi. Si vous leur refuter cette faveur que deviendront elles, puisqu'elles sont toutes dans l'impossibilité de payer leur passage, même pour l'amerique. Veuillez, Monsieur prendre ma lettre en considération, m'honorer d'une réponse définitive et agréer l'assurance des sentiments avec lesquels j'ai l'honneur d'Etre votre très humble et obéissant serviteur. Querangual ».‎

‎, , 1803. 4 pp. in-8. ‎


‎« Spanishtown le 21 octobre 1803. Le commodore Querangal, à Monsieur l'amiral Duckworth. Monsieur l'amiral. par la lettre dont vous m'avez honoré en date du 15 de ce mois, je vois avec plaisir et reconnoissance que je --- compter sur mon retour en angleterre par le premier convoi mais je vois avec peine que le nombre des officiers de marine qui doivent jouïr de cette faveur est peu considérable, puisque mon état major ne paroit pas devoir etre compris dans vos dispositions actuelles le nombre en est si petit. Ils ont déjà partis par la voie de l'amérique pour cause de maladie, que j'ose espérer qu'en regardant sur la liste que je vous adresse, vous ferez un nouvel effort pour me procurer l'agrément de n'en être pas séparés. Mais s'il vous est impossible Monsieur l'amiral, de m'accorder le passage de tous, je réclame particulièrement Monsieur Belleville mon adjudant, et Monsieur Savery mon agent comptable. Le premier est inséparable de la dignité de mon grade, et le second n'était en quelque sorte que mon premier secrétaire, chargé de la comptabilité générale d'un vaisseau que je commandois depuis cinq ans et demi, il est instant qu'il opere son retour avec moi, afin que je puisse rendre compte à mon gouvernement, remettre les inventaires des morts, et faire toucher aux familles des malheureux prisonniers des secours en a-compte de la solde qui leur est dûe. Quand a Messieurs Courvoisier et Fouquier, tous deux officiers d'infanterie passagers à mon bord pour cause de maladie, l'humanité autant que votre bienveillance… le… faveurs, puisqu'il est constant qu'ils ont toujours été malades depuis leur séjour a la Jamaïque, et qu'ils ne doivent point espérer de se rétablir parfaitement en cette isle. J'ai egalement l'honneur, Monsieur l'amiral, de vous adresser la liste de mes premiers maitres dont je demande avec instance le retour. Ces hommes servent sous mes ordres depuis plusieurs années, et ont acquis des droit à mon estime et a ma sollicitude. Je suis bien sincèrement affecté, Monsieur l'amiral, des difficultés qu'éprouve le retour en France des malheureuses femmes passagères a bord du Duquesne. Je conçois que vos lois s'opposent a ce qu'elles obtiennent leur passage sur les batiments de guerre mais ne seroit-il pas possible qu'elles passent sur les batiments de commerce faisant partie du convoi. Si vous leur refuter cette faveur que deviendront elles, puisqu'elles sont toutes dans l'impossibilité de payer leur passage, même pour l'amerique. Veuillez, Monsieur prendre ma lettre en considération, m'honorer d'une réponse définitive et agréer l'assurance des sentiments avec lesquels j'ai l'honneur d'Etre votre très humble et obéissant serviteur. Querangal ». ‎

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‎Collectif‎

Reference : R110479632

(1956)

‎Les lettres françaises n° 632 - L'évasion de Montluc recréée a l'écran par Catherine Touquet, Etre compris sur le champ par René Clément, Un Balzac que vous n'avez pas lu, Pour le vingtième anniversaire de la mort de Lorca, a Grenade dans les jardins‎

‎Bureau du journal. 9-23 aout 1956. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 11 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)‎


‎Sommaire : L'évasion de Montluc recréée a l'écran par Catherine Touquet, Etre compris sur le champ par René Clément, Un Balzac que vous n'avez pas lu, Pour le vingtième anniversaire de la mort de Lorca, a Grenade dans les jardins du Tamarit par Claude Couffon Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)‎

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